Les Missionnaires Et Les Explorateurs

(ex : pour la France volonté d’effacer l’humiliation de la guerre de 1870 contre la Prusse) L’Italie et l’All, récemment unifiées (années 70) se lancent à leur tour dans la course 2) La course aux colonies Curiosité + intérêt scentif => explorateurs et géographes se lancent à la conquête du monde (cf Jules Verne) ← Les premières conquêtes sont dues à des initiatives personnelles (investisseurs, aventuriers) par la GB (Singapour dès 1819, Hong-Kong en 1842, la Nouvelle-Zélande en 1840)

nouveaux horizons des Européens XVe - XVIIIe siècles Chapitre 6: L’élargissement du monde (XVe-XVIe siècle) Page 137 Introduction: Le monde qui s’ouvre aux Européens est partagé en civilisations et cultures qui ne se connaissent pas. Les explorateurs servent de liens entre elles. On découvre l’Amérique et ses Empires anciens (Incas et Aztèques), ils découvrent aussi les coutumes de l’Inde et de la Chine. Le but de Magellan ou Christophe Colomb c’est d’ouvrir de nouvelles routes commerciales

les races « inférieures » et de les cultiver. Il s’agit aussi, d’évangéliser des peuples considérés comme primitifs. Pour se faire, les pays colonisateurs envoient des missionnaires c’est à dire des religieux dans les pays colonisés pour converser sa religion aux populations de ce pays. Sont également envoyés des explorateurs en « Terres inconnues » pour partir à la rencontre de « nouvelles races ». A leur arrivé, ils expliquent qu’ils sont là pour cultiver les peuples, les faire évoluer et développer

Ces migrations de populations se sont produites y a 50000 ans ou plus. Durant les siècles suivants d’autres pays ont occupés ces territoires comme l’Australie, la Tasmanie et la Nouvelle Guyane. B) C’était avec le capitaine Cook ( navigateur, explorateur et cartographe britannique ) que l’attention a été tirée d’une façon majeure aux différences entre les peuples et les cultures dans les parties diverses de l’Océan Pacifique. George Forster, qui a accompagné Cook en son 2ème voyage en 1772-1775

telle expédition grâce notamment aux écrits de Ptolémée qui a même fait des estimations sur la distance à parcourir : 16 090 km. La distance, très largement fausse, paraît trop importante à Christophe Colomb qui la réduit à 2 414 km. Le futur explorateur n’est pas au bout de ses peines. Un groupe d’experts choisi par le roi Dom João II (Jean II du Portugal) rejette son projet. Christophe Colomb se tourne alors en direction des chefs d’États rivaux du Portugal. Il est reçu par Isabelle de Castille

Cour qui montrent la richesse de la France comme la puissance de son Roi. Versailles incarne la nation. Une nation dont il faut rappeler l’immémorialité, une nation connue jusqu’aux extrémités de la terre qui envoi partout ambassadeurs, explorateurs et missionnaires et qui n’est pas toujours en lutte contre les puissances étrangères. Versailles exerça un pouvoir de séduction considérable auprès des aristocraties de toute l’Europe, car jamais sans doute un modèle politique n’avait trouvé traduction

repris ses droits sur la plupart de leurs cités, et, au lendemain de la conquête espagnole, au XVIe et XVIIe siècles, les prètres européens avaient brûlé la quasi-totalité des rares livres en écorce de figuier laissés par les Mayas. Les premiers explorateurs à approcher les vestiges de la civilisation maya au XIXe siècle ont contribué à lui forger une image romantique mais bien différente de la réalité : « qui n’a pas entendu parler, par exemple, d’un ancien Empire maya, véritable âge d’or durant lequel

wikiwàn ou en bois mikiwàn, bien que les Algonquins vivent aujourd'hui dans des logements identiques à ceux des autres habitants du pays. Ils pratiquaient le Midewiwin, estimaient qu'ils étaient entourés de nombreux manitòk. Avec l'arrivée des missionnaires français, de nombreux Algonquins furent convertis au christianisme, mais encore beaucoup pratiquent le Midewuwin ou encore une pratique entre le christianisme et le Midewiwin. Bien que leur culture fût principalement tournée vers la chasse et

seul lien du centre avec le monde colonial : l'Institut est financé par le Ministère des colonies et le premier de ses objectifs est certes de former des ethnologues professionnels mais aussi d'enseigner quelques rudiments de méthode aux futurs missionnaires, administrateurs et médecins coloniaux, afin d'améliorer leur compréhension des « indigè neset la qualité de leurs « observations ethnographique 7 ». Pourtant, si » Rivet et Lévy-Bruhl ne ménagent pas leurs efforts pour démontrer l'intérêt de l'ethnologie

supérieur sur le plan militaire. b) Les causes : - Volonté de dominer et apporter la culture Européenne qui est supérieur. - Montrer leurs puissances. - Découvrir autre chose (curiosité). - Trouver une nouvelle route des vers les Indes. c) Les explorateurs avec la route empruntée, le pays commanditaire, la date et les régions découvertes : A. Route du Sud-est : Les premiers qui sont se lancés dans cette courbe sont les Portugais. Il y a différentes étapes : le Cap de Bojador (1434) et le Cap