Les Misérables La Descente

ds des conditions pour cette saleté deviennent dégradantes ; on est dans un processus quasi volontaire de déshumanisation ; La situation de misère , pour être supportable, vont chercher une situation pire ; rassurer son orgueil en trouvant plus misérable que soi ; Barbusse a crée la symbolique de la déshumanisation en travaillant sur la déconstruction … stratégie d’écrivain, il se permet des choix qu’il ne pourra plus maintenir . Jeudi 23 février : test de lecture de la condition ; jeudi

prendre parti jusqu’en mars 1871 pour l’un ou l’autre camp, puis son total engagement aux côtés des martyrs communards, c’est-à-dire des « misérables ». Ils concentrent une force dramatique exceptionnelle et sont caractéristiques du mouvement dialectique hugolien incarné dans le combat permanent de l’ombre et de la lumière ; d’avril à juin, c’est une lente descente aux enfers qu’il nous est proposé de suivre avant la remontée vers la lumière que consacrent le mois de juillet et l’épilogue

déployés comme les Einsatzgruppen (unité mobile chargé de tuer tous les juifs qu’elle rencontre de manière brutale et sans concession). Les Ghettos contribuèrent également à affaiblir les juifs en les laissant mourir de faim et de conditions misérables. Sommaire : I – Contexte d’avant guerre 1 – Le contexte politique Allemand page 3 2 – Les camps de concentration page 5 3 – Les lois de Nuremberg (1935) page 8 4 – La propagande Ant i-Juive page 10 5 – La Nuit de Cristal

fallait donc crever de faim ? Bientôt les routes seraient pleines de mendiants». Zola n’est pas le seul à avoir décrit une telle pénurie au point que les mineurs ne puissent pas disposer de pain. Victor Hugo reconnaît aussi cette pénurie dans Les misérables où le personnage principal, Jean Valjean, va au bagne pour avoir cherché à voler un pain : « Un dimanche soir, Maubert Isabeau, boulanger sur la place de l'église, à Faveroles, se disposait à se coucher, lorsqu'il entendit un coup violent dans la

qu’Étienne comprît rien à ces besognes compliquées. Il ne comprenait bien qu’une chose : le puits avalait des hommes par bouchées de vingt et de trente, et d’un coup de gosier si facile, qu’il semblait ne pas les sentir passer. Dès quatre heures, la descente des ouvriers commençait. Ils arrivaient de la baraque, pieds nus, la lampe à la main, attendant par petits groupes d’être en nombre suffisant. Sans un bruit, d’un jaillissement doux de bête nocturne, la cage de fer montait du noir, se calait sur

qu’Etienne comprît rien à ces besognes compliquées. Il ne comprenait bien qu’une chose : le puits avalait des hommes par bouchées de vingt et de trente, et d’un coup de gosier si facile, qu’il semblait ne pas les sentir passer. Dès quatre heures, la descente des ouvriers commençait. Ils arrivaient de la baraque, pieds nus, la lampe à la main, attendant par petits groupes d’être en nombre suffisant. Sans un bruit, d’un jaillissement doux de bête nocturne, la cage de fer montait du noir, se calait sur

voyageurs se reposent. Le professeur et son neveu s’adonnent à des considérations scientifiques. CHAPITRES 26-30 Peu à peu, le mutisme de Hans les gagne. Le 7 aout, Axel perd de vue ses deux compagnons et le ruisseau qui les accompagnait dans leur descente. Axel sombre dans le désespoir. Sa lampe s’éteint peu à peu. Paniqué, il se cogne la tête et perd connaissance. L’obscurité est alors totale. Il se réveille enfin et perçoit au loin un bruit. La paroi conduit sa voix et celle de son oncle. Ils

aller en classe : « Apprends un métier ! Tu ne tireras rien de tes livres. » De ce fait, Omar, à l’âge de treize ans, accède au monde du travail, au monde des adultes. Dans la cave étouffante servant d’atelier de tissage, il entreprend une sorte de descente aux enfers qui va l’initier à l’aliénation des hommes. Aliénation que tous vivent et ressentent de manières diverses : à travers une acceptation triste et amère, un insupportable mépris de soi, une révolte, une fureur impuissantes, une quête tourmentée :

pas une seule vraie vérité à cette question : il y a une multitudes de questions sous jacentes. 2.5 Homlette, Acte III, Scène 3 Hamlet veut se venger. Il est en colère mais il doute encore (et toujours). Il est persuadé que son oncle est un misérable et qu’il doit mourir dans des conditions les plus atroces. Il doit le tuer. L’oncle est sans défense mais il est en train de prier. Si Hamlet le tue maintenant, le meurtrier irait au paradis et ne serait pas assez puni. Hamlet attend donc.

qu'Etienne comprît rien à ces besognes compliquées. Il ne comprenait bien qu'une chose: le puits avalait des hommes par bouchées de vingt et de trente, et d'un coup de gosier si facile, qu'il semblait ne pas les sentir passer. Dès quatre heures, la descente des ouvriers commençait. Ils arrivaient de la baraque, pieds nus, la lampe à la main, attendant par petits groupes d'être en nombre suffisant. Sans un bruit, d'un jaillissement doux de bête nocturne, la cage de fer montait du noir, se calait sur