Les Misérables La Descente

équipe. Étienne remarqua alors la Mouquette, une herscheuse de dix-huit ans, grossière et indécente. Une vieille ouvrière de l’équipe de Maheu étant morte, on engagea Étienne. Il découvrit ainsi «la lampisterie» où Maheu lui expliqua les choses. La descente dans le puits l’impressionna grandement. Puis ils marchèrent longuement dans le dédale des galeries pour accéder à «la taille de Maheu» où était attaquée la veine de charbon. S’y trouvait déjà Chaval qui se montra mécontent de voir Étienne : ils

semaines plus tard: le monstrueux alambic , la demande en mariage et la maison ouvrière où Gervaise envisage de vivre un jour. Résistance (un mois ) et consentement (résignation) 3. Mariage expédié : le Louvre : luxueux labyrinthe. Ascension et descente (colonne Vendôme et Pont-Royal) rencontre finale avec la mort (père Bazougue) 4. Rue Neuve de la Goutte d'Or , quatre années d'un couple d'ouvriers modèles , bonheur parfait , un projet , un voisin bienfaisant. Mais Nana naît sur un paillasson

Un bateau de pêche s’est échoué, cinq hommes ont péri dont le patron Javel. Dixhuit ans auparavant, ce Javel avait sacrifié le bras de son frère dans des circonstances terribles. À l'époque, ils pêchaient au chalut. Javel cadet en dirigeait la descente. En chancelant, il se coince le bras dans la corde qui retient le chalut. Son frère, par avarice, refuse qu’un marin coupe le câble du chalut. Il essaie de faire venir au vent le bateau, puis de mouiller l’ancre, mais c'est trop tard. Quand on

: Un bateau de pêche s’est échoué, cinq hommes ont péri dont le patron Javel. Dix-huit ans auparavant, ce Javel avait sacrifié le bras de son frère dans des circonstances terribles. À l'époque, ils pêchaient au chalut, Javel cadet en dirigeait la descente, en chancelant il se coince le bras dans la corde qui retient le chalut, son frère refuse par avarice qu’un marin coupe le câble du chalut, il essaie de faire venir au vent le bateau, puis de mouiller l’ancre, mais c'est trop tard. Quand on dégage

description négative du monde. On a de nombreux termes négatifs « infâmes », « méchant », « corruption », « vanité », elle méprise le monde dans lequel elle vie. Elle utilise des hyperboles pour monter la profondeur des humains « profonde féminine », « misérable ». Elle méprise ce monde, il est sans valeur. Pour que Rastignac réussisse, il devra passer la bassesse, il devra tromper, être craint, se servir des autres sans avoir de scrupule. « Plus froidement […] vous irez » elle utilise une maxime qui montre

l’indépendance, méfiance vis-à-vis d’un rôle trop fort de l’Etat, attention à la diversité des intérêts particuliers. Dans la fonction publique, nombres de fonctionnaires augmentent largement. Travail des femmes de plus en plus important mais salaire misérable. Fonctionnaires ne bénéficient pas du droit de grève ou de syndicat et muté d’office si se révoltent. Idem pour instits. Effectifs des employés augmentent et hiérarchie mise en place (cf. Bon marché) pour laisser espérer promotion professionnelle

suggère la lenteur et l'ennui dans cette ville étouffante accentuée par le paradoxe avec la ville qui semble vide et pourtant qui est le lieu de “secrète luxure”. - vocabulaire dévalorisant "vieux", "pendent", "faubourg", "masures" qui évoque l'aspect misérable du quartier elle apparaît comme délabrée, sous un mauvais jours - rimes avec "masures" et "luxures" alliance entre la misère, la débauche et la vice dans cet espace urbain. - long: sensation de langueur qui peut faire référence à la langueur du poète

à ouvrir une blanchisserie et devient quelqu’un d’aisé. Cependant son mari, Coupeau, qui a eu un accident devient un fardeau pour elle et de plus il sombre dans un alcoolisme profond. Un jour, Lantier, revient à Paris et c’est là, le début de la descente aux enfers de Gervaise. En effet, ils redeviennent amants et tout commence à s’empirer. Elle sombre peu à peu elle aussi dans l’alcoolisme et elle perd son commerce. Son mari finit par mourir et ruinée, seule et délaissée, se résolvant à aller jusqu’à

 www.comptoirlitteraire.com présente ‘’Les misérables’’ (1862) roman de Victor HUGO (1490 pages) pour lequel on trouve un résumé puis une analyse de : - la genèse (page 16) - l’intérêt de l’action (page 19) - l’intérêt littéraire (page 29) - la langue (page 29) - le style (page) - l’intérêt documentaire (page 71) - l’intérêt psychologique (page 87) - l’intérêt philosophique (page 109) - la destinée de l’œuvre (page 118) - des commentaires de passages (pages 125-) Bonne

et sans gêne.» Il dit s’être rendu compte qu’il a déjà «trop tardé» car il sent arriver son «déclin». Il indique : «J’appris par mon propre expérience que la source du vrai bonheur est en nous, et qu’il ne dépend pas des hommes de rendre vraiment misérable celui qui sait vouloir être heureux. Depuis quatre ou cinq ans je goûtais habituellement ces délices internes que trouvent dans la contemplation les âmes aimantes et douces.» Il révèle que, en se promenant seul, il éprouvait des «ravissements», des