Les Misérables La Petite Fille

L'enfant et révolutionne les romans comme Les Misérables. L'enfance joue un rôle déterminant dans l'imaginaire de Victor Hugo et la figure de l'enfant revient constamment dans l'univers de sa création. Il suffit de se rappeler les personnages emblématiques que sont devenus le petit Gavroche ou Cosette, la peine éprouvée par le poète à la mort de sa fille Léopoldine ou encore les plaintes du condamné du Dernier Jour d'un condamné quand il songe à sa petite Marie qu'il va laisser seule et sans armes

apparaît comme une échappatoire, elle décide alors de suivre son amant jusqu’à Paris où elle y exerce le métier de blanchisseuse. Elle met au monde deux garçons, Etienne et Claude. Mais un jour, Gervaise et ses fils sont abandonnés par Auguste dans une misérable chambre de l’hôtel Boncœur. Abandonnée sans un sou, elle entre dans une blanchisserie comme ouvrière. Dès le début, on comprend rapidement que la jeune femme est une battante, qui travaille dur et agit sans retenue pour atteindre son idéal, celui-ci

de sa mission d'écrivain l'amène à s'engager dans l'action politique pour mettre son art et sa personne au service des Fantine, la mère de la petite Cosette, a été renvoyée de la fabrique de M. Madeleine le jour où, à la suite d'une dénonciation, on a découvert qu'elle avait un enfant sans être mariée. Or elle doit subvenir aux frais de pension de sa fille, que les Thénardier augmentent sans cesse pour des raisons mensongères. Fantine a ainsi été réduite à vendre ses cheveux, puis ses dents.]

ont été principalement des romans tels que « Notre Dame de Paris » ou encore « Les Misérables ». Ce roman est paru en 1862 et décrit la vie misérable dans Paris et dans la France Provinciale du XIX ème de plusieurs personnages et s’attache plus particulièrement au bagnard Jean Val jean, qui n’est autre que le personnage principal du roman « Le dernier jour d’un condamné » et au personnage de Cosette, petite fille adoptée par un couple cruel. Cet extrait présente en détail ce couple nommé Thénardier

Louis-Philippe. Le tableau : —> La liberté : elle est incarnée ici par une fille du peuple qui envoie un message de révolte et de victoire. Coiffée du bonnet phrygien, les mèches flottant sur la nuque, elle évoque la Révolution de 1789, les sans-culottes et la souveraineté du peuple. Le drapeau, symbole de lutte, se déploie en ondulant vers l’arrière, bleu, blanc, rouge. Du sombre au lumineux, comme une flamme. La fille est mise en valeur car elle est au sommet du triangle, debout au-dessus des

est connus pour ses critiques de la société bien souvent indirectement remise en question à travers ses œuvres: « le dernier jour d'un condamné » dénonce ainsi la peine de mort (une cause pour pour laquelle Victor Hugo a luté toute sa vie) , « Les misérables » »notre dame de paris »... « Les contemplation » n'est pas la dernière œuvre écrite par Victor Hugo mais il s'agit certainement d'une de ses plus célèbre. Il s'agit en quelque sorte du résumé de sa vie et les poèmes qui y apparaissent

française couronnèrent le poème. ____________________________________________________________ _____________________________ “Bug-Jargal” (1820) Roman À Saint-Domingue en 1791, dans une plantation, un esclave, Pierrot, est amoureux de la fille du maître, la douce Marie, qui est fiancée à Léopold d’Auverney. Elle est enlevée lors d’une révolte, et d’Auverney part à la recherche des ravisseurs. Pris par les insurgés, il serait mis à mort si leur chef, Bug-Jargal, qui n’est autre que Pierrot

dégénérescence sur le milieu social et particulièrement sur le milieu familial. Gervaise aura eu deux enfants de son amant Lantier – homme paresseux et beau parleur qui vit des femmes comme s’il les mangeait - et de son union avec Coupeau naîtra la petite Nana, très tôt exposée comme le personnage incarnant le vice et l’immoralité de toute une société. Dans cette prochaine analyse, nous observerons comment le destin du personnage de Nana s’est construit dans l’Assommoir en celui d’une prostituée

dix-huitième siècle. 1.2. Le deuxième document est un extrait du roman de Victor Hugo, Les Misérables, écrit en 1881. Ce document est de type narratif. Cet extrait de Victor Hugo, nous narre l’histoire du personnage de Fantine, qui est contraint de confier sa fille, Cosette, auprès de la famille Thénardier, car elle doit s’en aller dans un pays pour chercher de quoi survivre, mais elle ne peut pas y emmener sa fille. Le sujet sous-jacent, est l’abandon d’un enfant pour cause de misère. Cela rejoint

m’expliquer tout ça. » « le reproche qu’elle faisait à sa fille, d’aimer la peinture, quand on sait ce que la peinture nous a coûté. (Ce trait-là a passé dans Les voyageurs.) » Le grand-père est parti une première fois (d’Algérie), a créé des revenus sur le jeu en Turquie, a trempé dans la Commune, s’est marié pour arranger sa situation, est reparti, a reconstruit son commerce, a tout perdu avec la Guerre, est revenu (à Paris), et vit au crochet de sa fille aînée, la mère d’Aragon. « J’ai raconté l’histoire