Les Misérables La Petite Toute Seule

Si l’on peut nommer crime un malheureux divorce, Où le soin que j’ai d’eux me réduit et me force. Toi-même, furieuse, ai-je peu fait pour toi D’arracher ton trépas aux vengeances d’un roi ? Sans moi ton insolence allait être punie ; À ma seule prière on ne t’a que bannie. C’est rendre la pareille à tes grands coups d’effort : Tu m’as sauvé la vie, et j’empêche ta mort. Médée On ne m’a que bannie ! ô bonté souveraine ! C’est donc une faveur, et non pas une peine ! Je reçois une

eûmes des oiseaux, des poissons rouges, des lapins, un petit singe, et un chat. Ce dernier était un chat remarquablement grand et beau, tout noir, et intelligent au plus haut point. En parlant de son intelligence, ma femme, qui de coeur n’était pas peu supertitieuse, faisait souvent allusion à l’ancien dicton populaire, qui faisait de tous les chats noirs des sorciers déguisés. Elle ne prenait pas toujours cela au sértieux; je note ceci à la seule fin qu’on s’en souvienne. Pluton, le chat s’appelait

« J'exècre » (l.15); « Moi! » (l.29); « je suis » (l.30). Avec le champs lexical de la misère, il présente le décor, faisant du poème un texte sombre et triste: « misère »; « boue »; « peste »; « goule ». Une accumulation insiste sur ces conditions misérables, ce qui donne au texte une tournure pathétique. Son texte veut faire passer un message, comme un appel de détresse, il fait ressortir la misère. Ce texte inspire donc la pitié. Elle permet de nous dresser le tableau de la vie urbaine, et le décore

composé de ruraux qui ont quitté leur campagne à cause de la misère pour trouver un emploi dans les industries naissantes. Ils s'entassent alors dans les villes ou dans leurs banlieues et pour beaucoup d'entre eux les conditions d'existence sont misérables. Au milieu du XIXème, la vie quotidienne est très difficile pour les ouvriers, notamment dans les grandes villes. Ainsi à Lille la vie hors de l'usine est difficile, les logements sont insalubres, beaucoup d'ouvriers vivent dans des caves et des

ja monstrer son espace ? Et si ce temps qui toute chose enfante, Nous eust offert ta gloire triomphante, Pour assez tost de nous estre chantee Et maintenant à tes yeux presentee, Tu n'orrois point de nos bouches sinon Du grand HENRY le triomphe et le nom, Mais pour autant que ta gloire entendue En peu de temps ne peut estre rendue, Que dis-je en peu ? mais en cent mille annees Ne seroyent pas tes louanges bornees, Nous t'apportons (ô bien petit hommage) Ce bien peu d'oeuvre ouvré de ton

compris, il se considère malchanceux ou, mieux, que toute opportunité de réussite, qui lui serait due, lui a été scandaleusement refusée. C'est, dirait-on aujourd'hui, la figure du "loser", du perdant. Et la fin le confirme "Massias retombé à sa misérable condition de chien rabatteur, cloué pour la vie à la Bourse par la dette". On ne pourra s'empêcher de faire un rapprochement entre les noms "massias" et "messie" — du coup le terme "cloué" prend toute sa valeur...   Cette suite de la première partie est

fresque en vingt volumes, raconte l’« histoire naturelle et sociale d’une famille sous le second Empire ». Nana(1880), Neuvième roman du cycle des Roulon-Masquât, raconte l’ascension sociale et le déclin d’une prostituée qui mourra misérablement de la petite vérole  le jour de la déclaration de la guerre à la Prusse. Le texte étudié est ci après est narratif. Le thème de ce texte porte sur la vie d’une courtisane issue du milieu ouvrier (Nana) qui, pour fuir la misère, s’est prostituée. Et a connu une

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multimédias de l’A.P.H.G., ce travail a fait l’objet d’une présentation. Toute remarque sur ce travail est appréciée : nsmaghue@free.fr Introduction : un travail féminin plus visible. Les femmes ont toujours travaillé : le XIXe siècle n'a pas inventé la « femme au travail ». Depuis longtemps existaient outre les paysannes, des fileuses, couturières, dentellières, femmes de chambre, commerçantes : les femmes ont, toujours, à une petite minorité près, apporté une lourde contribution à la vie sociale..

trouve. A chaque facteur il y a une fonction Fonction expressive : Fonction qui se centre sur les émotions, la personnalité, le ressenti du destinateur. Ex : «  Avec mixa, j’oublie que j’ai la peau sensible » «  Moi, Léo, je lui donne des petits philous » Fonction conative : Fonction qui permet au destinateur sur le destinataire et qui permet d’interpellé le destinataire. Ex : « Peugeot 308 : essayez-la vous comprendrez » «  Maroc : vivez de l’intérieur » Fonction phatique : Fonction