Les Misérables Un Juste

ce roman est une sorte d'aventurier urbain. Sa route est semée d'embuches. Duroy affine au fur et à mesure des pages son talent de grimpeur ne cessant de gravir des obstacles. Duroy est présenté au début du livre comme sans le sou et quelque peu misérable. Il apprend ce que chômage et misère veulent dire, mais il parvient néanmoins à se trouver une place dans un journal. On observe ici que Georges a surmonté un obstacle et s'est calmement assis sur ce qui sera pour lui un tremplin vers la réussite

VICTOR HUGO ­ 1 VICTOR HUGO ET LE XIXème SIÈCLE A. INTRODUCTION a. Contexte historique b. La littérature au XIXème siècle c. Vie de Victor Hugo B. TRAJET LITTÉRAIRE a. Oeuvres de Victor Hugo b. Poésie c. Théâtre d. Roman i. “Les Misérables” e. Artiste graphique C. ÉVOLUTION IDÉOLOGIQUE (Homme politique) D. CONCLUSION VICTOR HUGO ­ 2 A. INTRODUCTION a. Contexte historique Le  XIXème  siècle  est  une  époque  de  grande  diversité.  C’est  un  siècle  qui se  caractérise

chez Victor Hugo. Il existe une langue des choses muettes. L'homme est entouré de voix que le poète a le privilège d'entendre mieux que tout autre. Le Romantisme recherche une nouvelle simplicité en poésie. Il prône le choix de la figure de style juste, inventive, loin des figures pompeuses et figées des poètes classiques. Pour le lexique, il choisit le terme le plus simple. Le Romantisme rejette le côté trop structuré de l'alexandrin classique, avec se césure automatique à la sixième syllabe. Césure

partie, nous étudierons l’enterrement du Père Goriot. 1ere partie :Dans cette partie, nous allons étudier la famille du père Goriot ainsi que les personnes qui l’entourent. (((( Tout d’abord, le père Goriot vivait dans des conditions de vie misérable. Il n’avait qu’une petite chambre dans une pension et se privait de mangé certains ingrédients car cela lui coutait trop chère. ))))Le père Goriot était une personne qui n’avait que ses filles comme famille. Mais celles-ci, n’attachent aucune importance

le bureau de son père mais en vain. Jusqu’au jour où, caché dans une armoire du bureau de son père, il découvrit le marchand de sable entrer dans le bureau et discuter avec son père. Puis il remarque que le marchand de sable n’était autre que ce misérable avocat Coppelius. Celui-ci était la représentation parfaite du méchant et horrible marchand de sable. Coppelius était un personnage répugnant, méchant et détestable. Puis il vit un jour son père et Coppelius faire des expériences. Il fut pris d’angoisse

Domenico a à la fois raison et tort. En effet, le régime de Mussolini était totalitaire, la plupart des gens menait donc une vie misérable comme le souligne l'expression «les crève-la-faim». Leur vie sera forcément différente en Amérique, mais je ne suis pas sûre qu'on peut dire qu'elle «commence» car il n'existe pas de monde parfait et la vie ne se réduit pas juste à la richesse matérielle. Réécriture: Comme tous les autres, ils se sont tenus par la main pour ne pas se perdre dans la foule.

puissants. De même, il se soumet à leur jugement sans même tenter de sauver sa vie. Face à un personnage aussi naïf et dénué de mauvaises intentions, le lecteur éprouve de la sympathie et de la compassion. III. Une réflexion sur la société. 1. Le juste et l’injuste. Il n’y a pas de justice dans cette fable. Le procès de l’âne n’est pas fondé sur une réelle justice ; il s’agit avant tout de disculper le lion et les autres puissants. C’est un tribunal où chacun défend sa cause. Nous avons l’illusion

LECTURE Suzanne en est à son deuxième couvent avec comme mère supérieur Mère Sainte Christine qui est horrible avec elle. Suzanne veut convaincre la mère supérieur de la laisser partir s’en suit une cérémonie, on est pendant le procès la scène juste avent le passage est celle de l’interrogatoire de Suzanne par l’archidiacre sur sa condition dans le couvent, après notre extrait on apprendra par la suite que Suzanne a perdu son procès comme dans la vraie histoire et qu’elle changera de couvent.

Phèdre, « elle peut comme moi sur des gages trompeurs s’assurer de sa foi » Bajazet, «si ce gueux du moins avait quarante mille vie ! Une seule est trop misérable, trop chétive pour ma vengeance ! »). Cette envie de vengeance est progressive, on voit qu’au début des textes les jaloux n’ont pas encore eu l’idée de tuer leurs rivaux, ils constatent juste que leurs bien aimée ne partage pas leurs sentiments. Ce n’est qu’en progressant vers la fin du texte qu’ils décident de passer à l’acte. Dans ces quelques

d’une double réécriture : - réécriture de la fable d’Esope : « Le Vieillard et la Mort » ; - réécriture de la fable de La Fontaine lui-même : « La Mort et le Malheureux » (critiquée par Boileau, elle figure cependant dans le livre I des Fables, juste avant « La Mort et le Bûcheron » (I-15) Donc fable tributaire d’une tradition, d’une filiation. Se pose le problème du renouvellement… La Mort Et Le Bûcheron - Le Fontaine - Plan Détaillé C’est en 1667 que La Fontaine publia et dédia à Monseigneur