Les Moissons du ciel

pareils à des grains de poussière, Des foules d'animaux de nos yeux inconnus, Pour qui les fins bourgeons sont d'immenses royaumes, Mêlaient au jour levant leurs tendresses d'atomes. Deux jeunes gens suivaient un tranquille chemin Noyé dans les moissons qui couvraient la campagne. Ils ne s'étreignaient point du bras ou de la main ; L'homme ne levait pas les yeux sur sa compagne. Elle dit, s'asseyant au revers d'un talus : "Allez, j'avais bien vu que vous ne m'aimiez plus." Il fit un geste

· Cadre naturel de la strophe avec quelques présences humaines · Vocabulaire de la nature : «  champs  », «  roses  », «  ruches de miel  », «  moissons  », «  mûrir  », «  fleurir  » · «  Ce père nourricier  » : périphrase. Soleil présenté comme le principe créateur. « Père » : engendre. Plus

nature (en Irlande, il est aussi le dieu de l’agressivité et la virilité ) Déesse Epona : Elle est représentée sur un cheval Protectrice des cavaliers, des conducteurs de chars, des palefreniers et des écuries. Taranis : dieux du ciel, de la foudre et de la colère Dagda : dieu bienfaiteur, de l’abondance et de la fertilité Déesse Nantosvelta : déesse des rivières Les armes et les outils gaulois Le forgeron * gaulois très bon

Laurentes[2] (8, 371) et les combats à venir. Elle obtient sans peine de l’ignipotens qu’il forge des armes dignes d’Énée.   I Le bouclier d’Achille :   |Vers 483 – 489 |1er cercle ( au centre) : un motif cosmologique (terre, ciel, mer, étoiles) | |Vers 490 - 540 |2ème cercle : les activités humaines :

à son déguisement et soupire de bonheur. Quelques instants plus tard, levant la tête, la fillette aperçoit une grotte en haut de la falaise. Aussitôt elle escalade la roche moussue. Là, un homme4 assis sur une malle en fer, le front tourné vers le ciel, semble l’attendre. Il dit seulement en la voyant surgir couronnée de branches et de pétales : « Tiens, voici la fille de Déméter5... » 1. Liserons, herbes invasives aimant les sous-bois et l’humidité, faisant de petites fleurs en forme de trompette

recueille-le au fond de ta mémoire. L'âge d'or Quand les hommes et les dieux furent nés ensemble, d’abord les célestes habitants de l'Olympe créèrent l'âge d'or (8) pour les mortels doués de la parole. Sous le règne de Saturne qui commandait dans le ciel, les mortels vivaient comme les dieux, ils étaient libres d'inquiétudes, de travaux et de souffrances ; la cruelle vieillesse ne les affligeait point ; leurs pieds et leurs mains conservaient sans cesse la même vigueur, et loin de tous les maux, ils

bien tôt effacé. Théodore Agrippa d’Aubigné, « L'Hécatombe à Diane » Dans l’interminable Ennui de la plaine, La neige incertaine Luit comme du sable. Le ciel est de cuivre Sans lueur aucune, On croirait voir vivre Et mourir la lune. Comme des nuées Flottent gris les chênes Des forêts prochaines Parmi les buées. Le ciel est de cuivre Sans lueur aucune. On croirait voir vivre Et mourir la lune. Corneille poussive Et vous, les loups maigres, Par ces bises aigres Quoi donc vous

Toulouse-Lautrec et Paul Gauguin. C'est une période très fertile où son art s'oriente vers l'impressionnisme mais l'absinthe et la fatigue aggravent son état mental. En 1888, il s'installe à Arles, parcourt la région et peint des paysages, des scènes de moissons et des portraits. Dans la "maison jaune" qu'il a achetée, Gauguin vient le rejoindre. A la suite d'une dispute plus violente que les autres, Van Gogh se mutile l'oreille, en proie au délire. Il décide lui-même d'entrer dans un asile près de Saint-Rémy-de-Provence

le vin. Aria roussa de sera, ban temp aspera. Air rouge du soir, attend du bon temps. Aria roussa de maten, vent e aiga per camen. Ciel rouge le matin, vent et pluie en chemin. San Jouan da mishian, fa sourti ou tabardan. San Jean de la moisson, fait sortir le faux bourdon. San-Jouan, da meishan, Fa sourtì ou tabardan. « Saint-Jean de la moisson, Fait sortir le hanneton. » Bousquièra dou fueg de San-Jouan, Garda ban piech per tout r'ann. « Bûcher du feu de la Saint-Jean, garde

des rayons aussi !» lui disait-elle. Victor Hugo XIXes ChansonLe printemps n'a point tant de fleurs,L'autonne tant de raisins meurs,L'este tant de chaleurs halées,L'hyver tant de froides gelées,Ny la mer a tant de poissons,Ny la Beauce tant de moissons,Ny la Bretagne tant d'arènes,Ny l'Auvergne tant de fonteines,Ny la nuict tant de clairs flambeaux,Ny les forests tant de rameaux,Que je porte au coeur, ma maitresse,Pour vous de peine et de tristesse. Pierre de Ronsard XVIes A M. V. H. SonnetIl