Les Monstres Dans La Société

une créature bestiale : « son chignon de cheveux jaunes dénoué lui couvrait le dos d’un poil de lionne », « Il songeait à son ancienne horreur de la femme, au monstre de l’Écriture, lubrique, sentant le fauve », « il y avait de la bête », « l’animal reparut au fond des ténèbres, grandi, terrible, exagérant sa posture ». - Ce monstre est l’incarnation du diable, venu « du fond des ténèbres » pour tenter l’homme et prendre possession de son corps et de son âme : « maintenant, il serait là, devant

Pablo Picasso Le contexte : (Espagne : depuis la fin de la dictature du général Primo de Rivera (1923-1930) et la chute de la royauté en 1931, est une République parlementaire qui ne vient pas à bout de la crise économique et sociale. La société espagnole est profondément divisée et les conflits s’exacerbent : grands propriétaires contre ouvriers agricoles en Andalousie, industriels contre ouvriers dans le Nord, castillans partisans d’un Etat unitaire contre autonomistes des périphéries (Catalogne

Century-Fox Film Corporation et commença ses activités le 31 mai 1935. Schenk fut nommé chef de direction, cette entreprise Kent resta président Zanuck fut nommé vice président en charge de la production, ce dernier engagea plusieurs acteur pour amené la société vers des sommets en quelques années : Tyrone Power, Don Ameche, Henry Fonda, Gene Tierney, Sonja Henie, et Betty Grable. Après la guerre, et l’arrivé de la télévision, le public se délaissa du cinéma. La Fox voulu rester combative grâce au théâtre

auxquelles ils pouvaient donner lieu. »1 Consignes : En un sens, on peut considérer que le monstre du docteur Frankenstein est l'exemple parfait d'un être humain dans l'état de nature. En effet, il est créé déjà comme un adulte, ce qui fait qu'il s'est passé de l'influence de l'éducation parentale et il est abandonné à sa naissance, ce qui fait qu'il ne subit pas immédiatement l'influence du reste de la société. De plus, son isolement nous permet bien de voir le comportement d'un être humain laissé

un être qui ne peut que vivre dans une société, à laquelle il appartient. Car il est soumis à des règles, à des lois qu'il doit respecter. D'un point de vue général, l' homme adopte dès sa naissance les comportements pour rendre le monde humainement habitable et qu'il ne peut ignorer. Cependant, l'homme peut être à l'encontre de ces règles fondamentales et parfois malgré sa propre volonté. Ce genre de personne face à des désirs qui s'oppose à la société, les envoient alors au fin fond de leurs

sauvage dans sa sexualité (« violentée plus tard par les appétits brutaux de son mari » page 218). Cabuche, ensuite, présente des signes extérieurs d’animalité (« le front bas disaient la violence de l’être borné » page 162) parce que, chez lui, la société ne les a pas atténués. Il est capable lui aussi de violences : il a déjà tué dans une rixe et sous l’effet de l’alcool. De plus, il vit dans une cabane au fond de la forêt, ce qui rappelle les bêtes sauvages (« cette bête féroce » page 397). Paradoxalement

I- Médée, figure marginale qui dénonce les fonctionnements du pouvoirDans la pièce de Corneille comme dans toutes les versions qui la précèdent, la figure de Médée se définit par son extériorité vis-à-vis de la société dans laquelle elle évolue. Elle est une figure du monstre, de l’atrocité d’autant plus choquante pour le public de Corneille qu’elle s’oppose à toutes les qualités cultivées et recherchées dans les femmes de l’époque. Elle ne craint pas de faire couler le sang des autres comme

pouvons reconnaître dans cette phrase une certaine critique envers le freudisme. Pour Alain cet inconscient « trois en un » (voir la seconde topique de Freud qui est composée du Surmoi qui est l’intériorisation des valeurs morales, du Ca qui est un monstre constitué de désirs sexuels refoulés, tous deux influençant le Moi. D’où la citation de Freud «  le moi n’est pas maître dans sa propre maison » qui montre que nous sommes en perpétuel combat intérieur, jamais libre) est un être fictif, un peu comme

Le sang rouge Pierre OSENAT Lily Pierre PERRET Tu me grondes Joël SADELE Il m'a dit Edmond JABES Cent Ans De Plus Francis CABREL Conclusion     Préface Il a toujours existé des préjugés culturels au sein des sociétés. Chaque société se définissant différente des autres par sa langue et ses croyances a toujours eu tendance à dévaloriser les autres en s’attribuant les meilleures vertus. Ainsi, les grecs et les Egyptiens se sentaient supérieurs et s'opposaient à ceux qui

Ces filles de huit ans qu'on voit cheminer seules ? Ils s'en vont travailler quinze heures sous des meules ; Ils vont, de l'aube au soir, faire éternellement Dans la même prison le même mouvement. Accroupis sous les dents d'une machine sombre, Monstre hideux qui mâche on ne sait quoi dans l'ombre, Innocents dans un bagne, anges dans un enfer, Ils travaillent. Tout est d'airain, tout est de fer. Jamais on ne s'arrête et jamais on ne joue. Aussi quelle pâleur ! la cendre est sur leur joue. Il