Les Métamorphoses Ovide

dieu de la mer Uranus : l’ancien dieu du ciel Et Pluton : le dieu des Enfers. B) La mythologie dans la Littérature Bien sur, la Mythologie c’est d’abord Les Métamorphoses d’Ovide ( 43 av.JC – 17 ou 18 apr JC). Dans cette épopée mythologique, il raconte quantité d’histoires de passage de personnes d’une forme à une autre. Ovidé s’inspira largement du corpus des mythes grecs, comme par exemple de la légende de l’enlèvement de Perséphone par Hadès. La guerre de Troie et les aventures d’Ulysse

flauaque de uiridi stillabant ilice mella. OVIDE, Les métamorphoses, I, 89-112 1 vindice nullo : sans personne pour punir fixo aere : sur des tables de bronze affichées en public (et où sont gravées les lois) ora : le visage 4 erant <homines> 5 aeris : en cuivre, a pour épithètes à la fois directi et flexi 6 legebant <homines> : ils cueillaient ; attention au sens de corna et mora ! 7 Iouis arbore : l’arbre de Jupiter, c’est-à-dire le chêne 2 3 I, 4 – OVIDE, L’Age d’Or absum, es, esse, afui : être

l’époque qui a pas symbole l’amour, la jouissance et la luxure. On pense donc qu’il a choisit ce thème pour le sujet mythologique (prôné par l’Académie) et pour le côté sensuel de la scène : une déesse (luxure) nue. C’est la scène intime évoquée par Ovide : Diane à sa toilette. A la différence du poète latin, Boucher ne représente qu'une nymphe, renforçant côté privé de l'instant pris sur le vif. Diane sortant du bain : Les attributs de la déesse sont auprès d'elle : son carquois est devant elle, l'arc

Hélène, mais ils voulaient aussi tuer les ambassadeurs. III, 29. Ces derniers furent sauvés par Anténor, et les Grecs, alors, révoltés par l’outrecuidance des Barbares, s’armèrent et marchèrent contre eux. Ovide s'inspire de la même version, qui semble bien attestée (Métamorphoses - XIII, v.181 sqq) : Mittor et Iliacas audax orator ad arces, uisaque et intrata est altae mihi curia Troiae, plenaque adhuc erat illa uiris; interritus egi quam mihi mandarat communem Graecia causam accusoque

qui lui feraient obstacle. Dans les 4 textes que nous allons étudier, il est question de lui et de sa bien-aimé Eurydice, mais surtout de l'histoire du voyage qu'à fait Orphée pour sauver sa femme des Enfers. Le premier texte est un extrait Métamorphoses d’Ovide, appartenant au livre X appelé « Orphée et Eurydice » datant du 1er siècle après J.C. Le deuxième texte est l’acte IV, scène 1,du livret d’Orphée et Eurydice de Pierre-Louis Moline, de l’opéra de Christoph Willibald Gluck datant de 1774

aux concours en seconde année : la maîtrise de ces thèmes est donc la condition de la réussite dans cette matière. • L'héritage de la pensée grecque et latine : Homère L’Iliade et l’Odyssée, tragédies grecques d’Eschyle, d’Euripide. Ovide Les Métamorphoses , recueil latin des mythes l’Antiquité. • Les apports du judaïsme, du christianisme et de l'islam à la pensée occidentale. La Bible : La Genèse, L’Exode (avec la figure de Moïse), Un Evangile si possible dans l’édition Bouquins Laffont

embellit,… La célébration du monde s’émancipe de la biographie véritable par son côté onirique car la biographie, elle, relate des faits. -Dans l’Antiquité ce genre épidictique permet de faire l’éloge de quelque chose par exemple : Ovide, Métamorphoses  : célébration de l’âge d’or : période de bonheur et de paix l’homme vit en harmonie totale avec la nature ou bien dans la Bible où l’on peut faire référence au jardin d’Eden : paradis terrestre glorifié. Dans l’œuvre

jusque dans nos rêves. Ils sont une clé pour la compréhension des allusions et références culturelles, mais aussi pour la pénétration du . Leur interprétation invite à réfléchir à des questions étonnamment modernes. Les textes originaux (d'Homère à Ovide) ne sont pas d'un style facile; mais il existe un livre, au format de poche, qui récapitule les mythes de façon simple, drôle et intelligente: Hamilton (Edith) : La mythologie. XVIIème & XVIIIème siècles: En Europe, c'est la période

l'angoisse et l'ennui existentiels qui l'habitent. La recherche du divertissement est, on le comprend, celle de M.V, qui ne le trouvera que dans le sang, et celle de Langlois (battue au loup, messe de minuit, labyrinthe, tabac, érotisme, fêtes) qui se métamorphose en tueur mais qui offre son suicide comme un spectacle ultime et l' apothéose de celui qui se tue pou ne pas devenir M.V ou le loup. La citation de Pascal dévoilée entièrement lors du dénouement fait le lien entre les différents volets de l'histoire

d'acanthe, comme pour l'objet précédent, mais plutôt à des algues marines qui adoptent le mouvement de la volute. Dans cette représentation le règne animal et végétal semblent s'engendrer mutuellement. Nous devons souligner cette formule de la métamorphose qui est à mettre en lien avec une littérature poétique contemporaine. On peut ici observer un traitement dynamique du motif ornemental, caractérisé par la multitude et le déploiement des formes. En outre, l'extrême finesse des tiges végétales accentue