Les Métamorphoses Ovide

évanescentes, de courbes et de spirales. [pic]La mobilité d'œuvres en mouvement qui exigent du spectateur qu'il se mette lui-même en mouvement et multiplie les points de vue (vision multiple). [pic]La métamorphose ou, plus précisément : l'unité mouvante d'un ensemble multiforme en voie de métamorphose. [pic]La domination du décor, c'est-à-dire la soumission de la fonction au décor, la substitution à la structure d'un réseau d'apparences fuyantes, d'un jeu d'illusions. Il se traduit généralement par

850/750 avant JC) Sophocle, Antigone (442 avant JC) ou Œdipe  roi  (vers 425 avant JC) ∆  Aristote,  Poétique (vers 335 avant JC) Virgile, Enéide (29-19 avant JC) et les Bucoliques (39 av. JC). ∆  Horace, Art poétique (vers 14 avant JC) *Ovide, Métamorphoses (vers 1-8 après JC) Sénèque (mort en 65 après J-C),  ∆  De la Brièveté de la vie ou Médée Saint Augustin, Les Confessions (397-398) (extraits) Moyen Âge La Chanson de Roland (vers 1100) *Le Roman de Tristan (de Béroul [entre 1165 et 1180]

Amaltea. Revista de mitocrítica Vol. 3 (2011) | pp. 73-93 Le double mythique: la figure d’Eurydice dans Mercure... prisonnière des flammes. L’état d’Adèle à ce moment rappelle l’inertie de la figure d’Eurydice telle que présentée par Virgile et Ovide: La fête battait son plein quand un incendie fulgurant s’est déclaré. Ce fut la débandade. […] La panique avait produit sur elle un effet étrange: elle restait immobile au milieu des flammes, tétanisée, comme absente. Elle s’était pour ainsi dire

Ainsi Actéon, chasseur célèbre de la Grèce antique est métamorphosé en cerf fuyant ses propre chiens qui ne le reconnaissent pas. De chasseur, actéon devient gibier. Ovide dans les métamorphoses écrit à son sujet: « Ses chiens l'ont aperçu (...) Cette meute avide de la curée(...)poursuit le jeune homme(...)Il fuit dans ces mêmes lieux où il a si souvent poursuivi le gibier; hélas oui il fuit ceux qui étaient à son service16 » Les métamorphoses du chasseur en gibier ne sont pas inconnues du Moyen Âge

ne veut pas le mal , il veut mal le bien . Or cette position même si elle est rassurante est-elle tenable ? Ne faut-il pas avouer comme Médée qui s’apprête à tuer ses enfants « je vois le meilleur et je l’approuve mais je fais le pire » ?(Ovide. Métamorphoses) ou comme Saint Augustin qu’il y a délectation de la transgression ,une véritable jouissancxe du mal ? B La méchance té est volontaire Aristote contre Platon pose que céder au mal n’est pas erreur mais négligence . D’ailleurs les tribunaux

donc : pourquoi de l’existence partout, "cette profusion d’êtres sans origine" ? (cf. Sartre, La nausée) : "La nature dans l’univers entier ne montrait qu’un même visage informe, que les Grecs appelaient chaos, masse brute et confuse" (cf. Ovide, Métamorphoses, I, V.). Cet état de "non-sens", nous l’éprouvons comme une affliction intolérable, une sorte de crime perpétré contre la dignité morale de notre raison. Il faut donc que cette apparente impensable réalité dépende d’un "logos" essentiel, d’une

aliénant : caractère délétère de la haine et aliénation paradoxale de soi à l’autre (la destruction de la personne devient notre but principal) amour propre nous empêche paradoxalement d’aimer : Les Métamorphoses Ovide  absence du rapport à l’altérité conduit Narcisse à sa perte : il est enfermé dans le solipsisme au point de se noyer en voulant étreindre cet autre qui n'est jamais que lui-même → "l’objet de tes désirs est

dans les écrits anciens, il faut les adapter. Héritages : Antiquité latine et Folklore breton Ainsi, les origines de l'oeuvre de Marie de France se situent dans deux pôles. D'une part dans l'Antiquité latine (à laquelle elle fait référence : Ovide pour les théories érotiques, Priscien pour la rhétorique). D'autre part dans le folklore breton. Nous pouvons nous attarder sur cette influence de la culture bretonne et celtique. Les Celtes sont à l'origine un peuple venant d'Asie, et qui s'est

nationaux. On a des récits mythologiques qui racontent l’origine du destin de Rome. Il accommode l’élégie à l’aspiration nationale. · Ovide  : avec Virgile et Horace il est l’un des poètes majeurs. Il a beaucoup écrit, principalement du style élégiaque (excepté les métamorphose et Médée). Il recourt à des genres variés au sein de sa poésie. Il écrit : - Les Amours  : traite d’amour ; - Les Héroïdes

d’ailleurs le rapport entre l’intrigue amoureuse et le genre narratif des « histoires tragiques » qu’aimait la Renaissance et qui se caractérisent par des fins atroces et sanglantes. La véritable source de cette histoire est cependant le livre IV des Métamorphoses d’Ovide, où le sang des amants sert d’explication anthropologique à la couleur rouge des mûres, sans qu’il y ait dans ce conte aucun roi pour persécuter les amants. Théophile de Viau n’est certes pas le premier à exploiter la matière ovidienne