Les Métamorphoses Ovide

alors un signe d'adieu avant de disparaître pour toujours. Myrrha et Cinyras Dans la mythologie grecque, Myrrha  est la fille de Cinyras (roi de Chypre). Sa légende est contée notamment dans les Métamorphoses d'Ovide. Cinyras veut marier sa fille, alors que celle-ci est secrètement éprise de lui. Elle tente de mettre fin à ses jours, accablée de honte pour cet amour interdit. Avec l'aide de sa nourrice, elle réussit pourtant à rejoindre le lit paternel

spécialement par ceux qui précédèrent immédiatement Lamartine, tels Gilbert, Millevoye ou Charles Loyson. Surtout, l’automne a de tout temps largement inspiré les poètes lyriques. Une tradition, remontant à l'Antiquité gréco-latine (Théocrite, VII ; Ovide, “Métamorphoses”, II, vers 29 : «pomifer automnus»), n'a d'abord voulu y voir que la saison des fruits, de l’abondance et des joies causées par une plantureuse fécondité : Ronsard, dans son “Hymne à l'automne” (1564), Pope dans sa pastorale “Autumn” (1709)

humaine, d’autant plus qu’elle est nécessaire à la survie. Genèse : « tu gagneras ton pain à la sueur de ton front » pour punir le péché originel. Rousseau : nostalgie de l’Etat de nature où la nature se donne et où il n’y a qu’à prendre. Ovide, les Métamorphoses : nostalgie de l’âge d’or : « per se dabat omnia tellus » Hésiode, les travaux et les jours : le travail doit éloigner la faim et limiter le désir coupable et faisant chacun rester à sa place. * Nature et conditions du travail : une

Au cours de la Renaissance, on redécouvre l’art antique. Ainsi Shakespeare qui appréciait particulièrement les auteurs de l’Antiquité gréco-romaine s’est également largement inspiré du mythe de Pyrame et Thisbé issu des Métamorphoses d’Ovide. En effet, Shakespeare a emprunté à Ovide le thème de la rivalité entre deux familles ainsi que le malentendu tragique Thisbé se suicide croyant Pyrame mort et Pyrame se tue en la voyant morte. IV. Figures de style Le style de William Shakespeare est particulièrement

encore référence à sa culture sur le monde grec puisque la fontaine de Péguse est un référence aux Métamorphoses du poète grec Ovide, qui écrit au Ier siècle de notre ère, raconte l’histoire mythique du monde depuis le chaos originel jusqu’à la mort de Jules César. Ce désire de montrer ces compétences sur le monde grec est contemporain au milieu du XII eme puisque les textes antiques (notamment Ovide, Platon, Aristote pour les plus important) redeviennent les sources les plus recherchées et étudiées

Je l’ai vu cette nuit le malheureux Sévère, La vengeance à la main. Corneille, Polyeucte, I, 3 Un rat hôte d’un champ, rat de peu de cervelle... Jean de La Fontaine, Fables La poupe en pleine mer s’éloigne de la rive. Ovide, Métamorphoses Dans les exemples suivants, distinguez les antithèses, antiphrases, paradoxes et oxymore et étudiez leurs effets. (Phèdre, reine d’Athènes, avoue son amour coupable pour son beau-fils) Pour bannir l’ennemi dont j’étais idolâtre, J’affectai

3. ŒUVRES LITTERAIRES EXPLOITANT LE MYTHE DE NARCISSE A. « Les métamorphoses » d’Ovide (1806 pour la traduction) « Les métamorphoses » est un long poème divisé en 15 livres qui décrit la naissance et l’histoire du monde gréco-romain. Dans cette œuvre sont regroupés des récits et des légendes mythologiques sur le thème de la métamorphose. Les Métamorphoses d’Ovide constitue le premier écrit qui évoque le mythe de Narcisse. En voici le résumé : Narcisse

romain, c’est Ovide (Publius Ovidius Naso). C’est un poète très important, une des figures majeures de la lyrique occidentale qui a eu une influence majeure et constante, y compris au Moyen-Âge. A partir du XII° siècle, il est très connu dans l’occident médiéval, surtout pour les Métamorphoses (dont le thème est les métamorphoses mythologiques). Ovide est un des écrivains antiques les plus connus au Moyen-Âge et à la Renaissance. Un des grands thèmes du Baroque est la métamorphose (cf. Jean Rousset

importante cités de la Grèce antique, elle abritait autrefois un célèbre temple d’Aphrodite. Prés de lui vivait le fils de Chioné, Autolycos, qui se disait fils d’Hermès. Il était passé maître dans l'art de voler. Hermès lui avait donné le pouvoir de métamorphoser toutes les bêtes qu'il volait. Autolycos vola des animaux a Sisyphe qui s’en rendu compte. Sisyphe fut rusé et décida de marquer ses bêtes sous le sabot. La nuit même, Autolycos, comme à son habitude, le vola. Le lendemain, Sisyphe inspecta l’étable

OVIDE, MÉTAMORPHOSES, LIVRE I [Trad. et notes de A.-M. Boxus et J. Poucet, Bruxelles, 2005] Autour d'Apollon(vers 416-567) Apparition de créatures, dont Python terrassé par Apollon (1, 416-451) Après le déluge, apparurent ou réapparurent divers animaux, nés spontanément de la terre et de la combinaison de l'humide et du chaud, êtres plus ou moins aboutis d'ailleurs. (1, 416-437) Au nombre de ces « monstres » figure le serpent Python, qu'Apollon tua