Les Métaphore Dans Le Pere Goriot

construit autour d’un évènement central; découpé généralement en trois temps : un nœud, un retard et un dénouement • séquence narrative dominante, séquences enchâssées dialogales à l’occasion • figures (de style) et procédés22 : comparaison, métaphore, répétition (pour mettre l’accent sur certains évènements du récit), allitération, assonance, jeux de mots, etc. • récit court ou long fait d’une séquence d’unités successives composées d’illustrations généralement présentées sur un plan horizontal

au passé, plus particulièrement à l’imparfait de l’indicatif. B - Une fois la dictée terminée 1- a) b) Les verbes conjugués et leurs sujets, qui sont soulignés, sont : ils traînaient leurs pas semblaient quelques uns … étaient et discutaient le père Simon était installé la porte qui donnait il surveillait … gourmandait les petits garçons … passaient, traversaient, et se répandaient © Cned, Français 3e —  © Cned – Académie en ligne c c Séquence 1 DICTÉE ( points) a) b) Le

complément de la phrase (CC) Identi er la proposition principale et la proposition subordonnée Identi er la proposition principale et la proposition subordonnée Analyser les principales gures de style (comparaison, métaphore, antithèse…) Analyser les principales gures de style (comparaison, métaphore, antithèse…) Savoir décomposer un mot pour trouver son sens Savoir décomposer un mot pour trouver son sens Dégager, par écrit ou oralement, l’essentiel d’un texte lu Dégager, par écrit ou oralement, l’essentiel

véritable métaphore filée. En comparaison, la plus longue phrase de l’extrait du Roman d’Eneas, qui contient cinquante-deux mots, est loin d’avoir une structure si complexe : uniformément simples, ses propositions sont soit coordonnées soit juxtaposées. Des figures de style utilisées dans le texte de Virgile, nous avons déjà évoqué la plus caractéristique : « telle une biche imprudente, atteinte d’une flèche... » (qui évoque la flèche du mythologique Cupidon). Ajoutons-y les métaphores : « elle

ruinés, la pâleur des yeux » l. 40-41). L’imagination du narrateur s’échauffe : accumulations, énumérations, antithèses (« bouffonnes » / « sérieuses » l. 18, « mourants » / « vivants » l. 24), hyperboles (« exorbitants », « luxuriantes » l. 34), métaphores outrées (« couleurs fanées » l. 38 , « fronts ruinés » l. 40-41), comparaisons qui établissent une analogie entre l’humain et l’inanimé (« qui ressemblaient aux têtes de casse-noisettes » l. 30-31) révèlent un affolement du style, un goût pour

à travers la lecture et l’étude de textes. • Le lexique et le discours : – – – – lexique et niveaux de langue ; dénotation et connotation ; lexique de l’évaluation méliorative et péjorative ; lexique et expressivité : les figures (comparaison, métaphore, métonymie, périphrase, antithèse ; leur rôle dans la créativité et dans l’efficacité du discours). • L’enrichissement du vocabulaire notamment : – vocabulaire abstrait avec l’étude de l’argumentation ; – vocabulaire de la personne (sensations

que nous avons retenus. Nous vous invitons également à flâner dans la liste ci-dessous, et à lire, pour le plaisir, l’une des œuvres suivantes : Mérimée, Mateo Falcone et autres nouvelles ; Honoré de Balzac, Eugénie Grandet, Le Cousin Pons, Le Père Goriot, La femme de trente ans ; E Stendhal, Le Rouge et le Noir ; E Flaubert, Madame Bovary, L’Éducation sentimentale, Trois contes ; E Jules et Edmond de Goncourt, Germinie Lacerteux ; E Émile Zola, Thérèse Raquin, L’Assommoir, Nana, Germinal ; E Guy

nous avons retenus. Nous vous invitons également à flâner dans la liste ci-dessous, et à lire, pour le plaisir, l’une des œuvres suivantes :  érimée, Mateo Falcone et autres nouvelles ; M Honoré de Balzac, Eugénie Grandet, Le Cousin Pons, Le Père Goriot, La femme de trente ans ; E Stendhal, Le Rouge et le Noir ; E Flaubert, Madame Bovary, L’éducation sentimentale, Trois contes ; E Jules et Edmond de Goncourt, Germinie Lacerteux ; E Émile Zola, Thérèse Raquin, L’Assommoir, Nana, Germinal ;

avons retenus. Nous vous invitons également à flâner dans la liste ci-dessous, et à lire, pour le plaisir, l’une des œuvres suivantes : M  érimée, Mateo Falcone et autres nouvelles ; H  onoré de Balzac, Eugénie Grandet, Le Cousin Pons, Le Père Goriot, La femme de trente ans ; E  tendhal, Le Rouge et le Noir ; S E  laubert, Madame Bovary, L’éducation sentimentale, Trois contes ; F E  ules et Edmond de Goncourt, Germinie Lacerteux ; J E  mile Zola, Thérèse Raquin, L’Assommoir, Nana

que nous voyons évoluer. Le désarroi du héros de R. Boudjédra n’est pas moins profond même si les origines en sont différentes. Le quinquagénaire de L’escargot entêté est perturbé psychologiquement par son vécu familial : une mère dominatrice et un père trop effacé en ont fait un adulte névrosé. Ces deux textes mettent donc l’accent sur un parcours individuel délaissant les thématiques d’ordre plus général. Leurs personnages évoluent dans un milieu africain et sont confrontés aux maux qui sévissent