Les Métèques

démocratie (le pouvoir qui appartient au peuple) athénienne était fragile, car selon la dernière phrase le pouvoir était confié à quiconque était tiré au sort, même s'il était peu éduqué et pouvait donc se laisser gouverner par la démagogie. En outre, les métèques, les esclaves et les femmes des citoyens étant exclus de la citoyenneté athénienne , ils l'étaient donc de la vie politique. Question 3 : Un municipe est une cité promue par Rome au droit latin ou romain. Les duumvirs sont les magistrats

posséder une armée et où les soldats sont en réalité les citoyens de la cité. Les esclaves et les femmes considérés respectivement comme des biens et d'éternelles mineures, ainsi que les métèques (les étrangers qui résident légalement à Athènes) furent exclus de la communauté politique. Cependant, si un métèque non grec accomplissait de bonnes actions envers la cité, il pouvait recevoir à titre exceptionnel et en remerciement de ses actions la citoyenneté athénienne. Une si importante décision était

participent. Les femmes et les enfants, ainsi que les métèques, qui d'habitude sont à l'écart, exclus, font partis de la fête. Toute la cité vie au rythme de cette fête et de sa procession. Seuls les esclaves n'y participent pas... Toutes les classes sociales sont présentent et participent à la fête, cependant cette union de la cité a des limites. Chaque personne à une tâche spécifique selon son statut dans la hiérarchie. Par exemple, les métèques ont pour tâche, de porter l'eau et les offrandes.

donc exclue de la citoyenneté : les métèques (hommes libres, étrangers à la cité, protégés par des lois et pouvant résider et travailler à Athènes en échange du paiement d'une taxe) ; les esclaves (hommes non libres, considérés dans l'Antiquité comme des objets) ; les femmes (exclues de toute vie publique) ; les garçons de moins de 18 ans… • L'Ecclésia peut donner la citoyenneté à un métèque s'il a, par exemple, combattu avec bravoure pour Athènes (métèques et esclaves sont mobilisables dans l'armée)

donc exclue de la citoyenneté : les métèques (hommes libres, étrangers à la cité, protégés par des lois et pouvant résider et travailler à Athènes en échange du paiement d'une taxe) ; les esclaves (hommes non libres, considérés dans l'Antiquité comme des objets) ; les femmes (exclues de toute vie publique) ; les garçons de moins de 18 ans… • L'Ecclésia peut donner la citoyenneté à un métèque s'il a, par exemple, combattu avec bravoure pour Athènes (métèques et esclaves sont mobilisables dans l'armée)

donc exclue de la citoyenneté : les métèques (hommes libres, étrangers à la cité, protégés par des lois et pouvant résider et travailler à Athènes en échange du paiement d'une taxe) ; les esclaves (hommes non libres, considérés dans l'Antiquité comme des objets) ; les femmes (exclues de toute vie publique) ; les garçons de moins de 18 ans… • L'Ecclésia peut donner la citoyenneté à un métèque s'il a, par exemple, combattu avec bravoure pour Athènes (métèques et esclaves sont mobilisables dans l'armée)

à la seule condition d'avoir un père citoyen et une mère fille de citoyen. Les esclaves et les femmes considérés respectivement comme des biens et d'éternelles mineures, ainsi que les métèques (étrangers) furent exclus de la communauté politique, comme dans la plupart des cités grecques. Cependant, si un métèque non barbare (c’est-à-dire grec) accomplissait de hauts faits pour la cité, il pouvait recevoir à titre exceptionnel et en remerciement de ses actions la citoyenneté athénienne, moyennant

000 habitants [doc 3 p 43], seuls 42.000 ont le statut de citoyen, soit environ 1/10ème de la population (avec leurs familles, cela fait environ 130.000 personnes). Ils ne représentent donc qu’une petite minorité de la population face aux 40.000 métèques [voc. p 42] (120.000 avec leurs familles), généralement artisans ou commerçants (étrangers ayant le statut d’homme libre et pouvant exceptionnellement devenir citoyen), et aux 130.000 esclaves [voc. p 42] qui n’ont aucun droit et aucune liberté,

Archontes: -Divers archontes. Tirés au sort, un par tribu dans les trois premières classes. -Sièges toute l'année notamment sous les portiques de l'Agora. -Organisent les fêtes; président des tribunaux, protège et surveillent les femmes, mineures, métèque ou affranchis.   Aréopages: -Anciens archontes. Poste à vie politique. -Siège sur la colline de l'Arès -Juge les affaires de sang et les affaires sacrée. -Prestige mais peu de rôle politique. III Mais une démocratie qui peut sembler relative

croit-on, les mauvais esprits. Page 14 C) Les mariages entre grecs et étrangers Dans l'antiquité, les étrangers de la cité d’Athènes prennent le nom de « métèque », ils participent à la vie économique de la cité, ils partagent les mêmes cultes et les même coutumes (exemple : célébration des grandes Panathénées). Cependant, ces métèques n'ont pas le droit de participer à la vie politique de la citée et surtout ne disposent pas le droit de se marier avec une fille de citoyen. Celles-ci sont réservées