Les Notions De Concurrence Directe Et Indirecte

Le guide ou leader d'opinion     2. L'offre :  • Les producteurs : fabriquent le produit.  • Les distributeurs : intermédiaires entre fabriquant et consommateurs; Ils  sont représentés par la grande distribution,  le commerce traditionnel, la vente directe, la vente à distance.  Les types de marché     Marché  Actuel  Potentiel  Caractéristiques  Marché d'entreprise + marché des concurrents  Marché actuel de l'entreprise + non‐consommateurs relatifs  Le marché et son environnement :  Plusieurs 

Etude du prix, est-ce un frein ou non ? Produit haut / bas de gamme, prix par rapport à la concurrence ? - Freins et motivations des consommateurs actuels - Communication antérieure de l’entreprise sur le produit. Faire un tableau situant le produit selon ses qualités, ses défauts, de façon à faire apparaître le ou les plus produits. 4. La concurrence - Etudiez tous les concurrents directs ou indirects de l’entreprise en mettant en avant leurs points forts, points faibles. Produits proposés

modes de recrutement On peut parler de recrutement interne ou de recrutement externe. On peut opposer le recrutement direct au recrutement indirect. &1 : Le recrutement direct ou par intermédiaire Recrutement direct : l’entreprise va gérer elle même les opérations de recrutement. Son recrutement direct peut être aussi bien interne qu’externe. Dans le cadre d’un recrutement directe externe, l’entreprise va devoir faire connaître son besoin de main d’œuvre. Plusieurs solutions, soit une publication

l’état a décentralisé les pouvoir qui étaient centraux à Paris pour les répartir dans de nombreuses assemblées (régionales et départementales) ce qui a engendré un grand nombre d’élus donc également un cout supplémentaire. De plus les employés direct ou indirect de l’état donc les fonctionnaires n’ont jamais été aussi nombreux surtout dans l’éducation national ou les nombres de professeur par élève à atteint de sommet. Donc à cela s’ajoute obligatoirement des dépenses donc une augmentation des dépenses

transactions entre sociétés membres d'un groupe. Si les différents acteurs économiques s'accordent pour reconnaître que ce prix doit respecter le principe de pleine concurrence développé par l'OCDE, sa mise en œuvre suscite de nombreuses incertitudes. Quelle méthode utiliser ? Quels comparables retenir ? Comment définir un intervalle de pleine concurrence ? À cette difficulté s'ajoute celle de l'élimination des doubles impositions en cas de rectification des prix de transfert par l'administration fiscale.

L’Activity Based Costing (ABC) ou calcul de coûts à base d’activités est une méthode de calcul du coût complet d’un produit ou d’un service (ou éventuellement de tout autre objet de coût). C’est une méthode dont on peut dire qu’elle est « en concurrence » avec la méthode des centres d’analyse ou sections homogènes présentées dans le poly sur les méthodes de calcul de coût. 2. L’« Activity Based Costing » (ABC) : rapide aperçu L’objet de ce bref aperçu de l’ABC n’est pas de faire de vous des

d’entreprendre –Liberté professionnel et de la concurrence –Liberté d’établissement. Principe limité : Interdiction de certaines activités répréhensible (proxénétisme) ou du fait d’un monopole d’Etat existant (Tabac) et certaines conditions sont réglementés (pharmacie). Les personnes publiques n’ont pas à prendre en charge des activités commerciales et industrielles au risque de fausser la concurrence normale du marché. Arrêt Casanova 29 mars 1901. La concurrence publique est admise à 2 conditions :

 PLAN Introduction I. L’environnement externe: 1) Le point de vue Macro (indirect) Politique Économique Socioculturel Technologique Ecologique Légal 2) Le point de vue Micro (direct) Marché Fournisseurs Distributeurs Nouveaux entrants Concurrence II. L’environnement interne: 1) Les ressources tangibles Ressources humaines Ressources financières Ressources matérielles 2) Les ressources intangibles La culture d’entreprise Les compétences d’entreprise et

loi bancaire de 1993 : II) Les organismes non bancaires : 1) Les sociétés de gestion de portefeuille : 2) Les sociétés d’assurance et de réassurance : B) La politique monétaire au Maroc : I) Le contrôle direct ou l’encadrement du crédit : II) Le contrôle indirect. a) la réescompte : b) la réserve monétaire : c) le plancher d’effets publics : d) les interventions de la banque centrale sur le marché monétaire : e) l’action par les taux d’intérêt

d’internationalisation des échanges. Ce constat n’est d’ailleurs pas propre à une catégorie d’impôt spécifique car tant les impôts directs que les impôts indirects souffrent d’une inadéquation avec cette nouvelle forme de commerce « new âge » qui représente un risque supplémentaire d’évasion fiscale dans les échanges internationaux. D’autant plus avec le commerce électronique « en ligne » ou « direct », qui se caractérise par la numérisation totale de la transaction et de l’échange. Les produits et services fournis