Les Néo Classique Et La Crise De 1929

risque élevée des entreprises, qui se multiplient (entreprises de type familial). La phase B ou descendante (appelée dépression) souvent accompagnée de phénomènes critiques ponctuels (ex: crise de 1929) est caractérisée par une hausse du chômage et une concentration des entreprises pour survivre face à la crise. Sa théorie des cycles a remis en cause les thèses marxistes projetant la chute du mode de production capitaliste. Milton Friedman Economiste américain (New York, 1912). Chef de file

FATTHALLAH OULALOU op. cit.p72 Classiques Jean-Baptiste Say Adam Smith David RICARDO (1767-1832) (1723-1790) (1772-1823) John Suart MILL (1806-1873) Néoclassiques Marginalisme Karl Menger (1840-1921) Léon Walras (1834-1910) Alfred Marshall 1842-1924) F.von Hayek (1899-1992) Microéconomie Gérard Debreu (né en 1921) Kenneth Arrow (né en 1921) Monétarisme Milton Friedman (né en 1912) Nouveaux classiques Robert Lucas (ne en 1937) Keynésianisme

et finances publiques) sont réalisés. Cependant cette approche de l’équilibre est nuancée selon les courants de pensée. Les keynésiens ne conçoivent l’existence d’une croissance équilibrée que comme une situation éventuelle de croissance. Les néo-classiques considèrent quant à eux que l’existence d’un déséquilibre est liée à l’intervention dans l’économie d’agents perturbateurs (Etat, grandes entreprises, syndicats). 2/ Les grandes phases de la croissance économique au cours du 20ième siècle :

américain souhaite augmenter la productivité au travail pour cela il va créer l’Organisation Scientifique du Travail (OST) aussi appelé le Taylorisme. Il observe les travailleurs et remarque une « flânerie systématique ». Selon Taylor et les classiques, l’individu travail pour avoir un salaire, il échange sa force de travail contre un salaire. Pour cela il propose une division du travail : Division technique ou horizontale : Cette division entraine la parcellisation des tâches comme le préconiser

hiérarchie de ces sciences, mais en plus, elle était exclue de cette classification. Face à l’attitude d’un nombre important d’économistes, d’historiens et de sociologues, qui visent à critiquer la prétention à la scientificité de l’économie des classiques et néoclassiques en particulier, M.Friedman né en 1912 et mort en 2006 et membre de l’école monétariste va rédiger dans l’introduction de son ouvrage Essays in positive economics ce texte d’épistémologie, intitulé The Methodology of positive economics

population ; restituer à la France le transport maritime de ses produits ; développer les colonies et les attacher commercialement à la France… » Le courant physiocratique (1756-1777) pour le « gouvernement de la nature » et contre l’Etat tout puissant (Classiques au sens large) La terre est la mère de tous les biens   A l’amoralisme des mercantilistes qui privilégient la raison d’Etat, ils proposent une philosophie plus humaniste et plus libérale. Ils insistent sur l’importance d’une agriculture créatrice

Chapitre 4 La critique de l’économie politique classique : Karl Marx, F. Engels et le marxisme (1848-1924)4.1 Karl Marx : la synthèse entre philosophie allemande, utopisme social français et économie politique anglaise La pensée philosophique de Marx le mène à sa pensée économique , qui finira par primer sur tout le reste Marx part de 1789 , moment magique de

l’activité économique. Milton Friedman s’attaque notamment à la crise du marché de l’emploi au travers son concept de chômage naturel. La problématique réside essentiellement dans l’hétérogénéité du mouvement monétariste qui est composé d’une multitude de courants minoritaires et qui aboutissent parfois à des conclusions fortement différentes du modèle majoritaire de Friedman. L’école autrichienne a souvent été assimilée à l’école néo-classique affirmant la neutralité de la monnaie, or ses deux représentants

productives avec des quantités des facteurs de production inchangées. Il s’agit de la productivité (la croissance des trente glorieuses). La croissance de molle : désigne la situation où les taux de croissance annuels sont assez faibles (Ex : depuis la crise des années 70 le taux de croissance de PIB fluctue autour de 1 à 2% par an en moyenne. -4- Exemples historiques de croissance : Historiquement en cite deux exemples de croissance qui ont marquées l’histoire économique : La révolution industrielle

La "crise", financière, puis économique, qui s'est emparée du monde depuis 2007, a relancé beaucoup d'interrogations sur le rôle et les responsabilités des Banques centrales. Celles-ci, en tant qu'autorités de tutelle, n'ont pas su préserver la stabilité financière, et éviter la crise historique. Voire, leur action, en visant dans la phase antérieure une reprise conjoncturelle fondée sur l'endettement l'aurait favorisée. La BCE est régulièrement critiquée par ailleurs pour sa focalisation exclusive