Les Néoclassiques Et Le Choix Du Producteur

libéralisme économique est l'application des principes du libéralisme à la sphère économique. Cette école de pensée, dont la dénomination est associée au siècle des Lumières, estime que les libertés économiques (libre-échange, liberté d'entreprendre, libre choix de consommation, de travail, etc.) sont nécessaires en matière économique et que l’intervention de l’État doit y être aussi limitée que possible. Ces idées fondatrices furent formulées antérieurement notamment à l'École de Salamanque aux XVe et XVIe siècles

consommer un objet, c'est l'étape finale de la production et réciproquement, la production, c'est notamment la consommation du travail. Marx critique ainsi la loi de Say, qui est la loi des débouchés, puisque cette dernière prévoit que « plus les producteurs sont nombreux et les productions multiples, plus les débouchés sont faciles, variés et vastes ». Dans une économie où la concurrence est libre et parfaite, les crises de surproduction sont impossibles. Il ne peut y avoir de déséquilibre global dans

cela sous la question des causes de la richesse. Le travail n’est pas une marchandise comme les autres, pour les classiques et pour Marx, le travail constitue la seule source de valeur. Par la suite les théories néoclassiques se sont intéressées à cette question. Pour les néoclassique, le marché du travail est un marché standard (théorie standard, orthodoxe, dominante), càd un marché comme les autres ou s’affronte une offre de travail et une demande de travail. Pour Keynes ou pour les institutionnalistes

rente de monopole, un « sur-profit » (Schumpeter parle de « surplus »), car l’innovation (qu’elle soit innovation de produit ou de procédé) de place l’entrepreneur qui la réalise en situation de monopole : aucun autre producteur ne réalise le nouveau produit, aucun autre producteur ne bénéficie de la baisse des coûts de production liée à l’innovation de procédé. La diffusion de l’innovation permet à l’entrepreneur de monopoliser des droits commerciaux qui lui permettent techniquement de disposer

économique qui cherche à expliquer les théories économiques en partant du comportement des individus. L’homo oeconomicus est un type idéal qui est représentatif de tous les agents économique en particulier. C’est donc une personne qui va faire des choix. La micro économie repose sur trois éléments essentiels : * Un sujet rationnel : homo oeconomicus : c’est donc un individu qui représente tout le monde en général et personne en particulier. Il a trois caractéristiques : * Il est sensé

considérable au XX ème siècle pour justifier le protectionnisme des pays en développement. ⁃ Jean-Baptiste Say se distingue de la pensée classique en rejetant la thèse de la valeur travail au profit d’une conception subjective qui sera reprise par les néoclassiques c’est celle de la valeur utilité (valable encore aujourd’hui). Chaque produit ne vaut pas qu’en fonction du besoin que l’individu en ressent. La confrontation des besoins sur le marché fixe le prix, le coût n’intervient plus. ⁃ Jean-Baptiste

« privé » dès leur achat, ils ne sont plus accessibles à autrui. d. La rareté impose des choix Comme les ressources en travail et en capital (en matière) sont rares, il est impossible de produire tous les biens nécessaires à la satisfaction des besoins illimités. L’homme doit donc procéder à des choix économique (ex : par rapport à des ressources budgétaires limitées). Plus généralement, les choix économiques s’effectuent à l’occasion de 3 grands moments de la vie économique qui sont :

fortement) et Keynes. Say Pour lui, le principe de la valeur n’est pas le travail, mais l’utilité. Sa «loi des débouchés» qui, si elle explique les crises sectorielles, estime impossible une crise généralisée. Il explique cela en montrant que le producteur qui met ses produits sur les marchés a, pour réaliser sa production, créé des revenus (salaires, matières premières, loyers, profits) qui vont, globalement permettre à la production de trouver des débouchés.« Les échanges terminés, il se trouve

existe donc une différence philosophique. Micro ( individualisme (intérêt particulier) Macro ( équilibre (intérêt général) 1 – Le comportement des consommateurs Approche macroéconomique On considère le choix du consommateur. De quoi dépend ce choix ? Le marginalisme : doctrine qui fait de l’utilité marginale la base de la décision. Intérêt d’achat ou vente d’une unité supplémentaire. Comparaison de l’utilité du bien et du prix de ce bien. Etude du montant que le consommateur

croissance naît de tout changement devenant « progrès » et de la quête persistante de marchés (ou de produits). La spécialisation croissante des branches La différenciation des branches industrielles, avec l’insertion de firmes spécialisées entre producteurs de mp et de produits finis permet de dépasser la « firme représentative » de Marshall et la réalisation d’économies par des méthodes détournées de production. La croissance (baisse des prix et extension du marché[1]) appelle ainsi la croissance