Les Officiers Royaux

finit par s'imposer à la tête du royaume et profite de la faiblesse de rois mérovingiens pour reconstituer l'unité du royaume à son profit et s'emparer du titre royal en 759 Section 1 : la conception du pouvoir et la royauté Dans les actes émis par les mérovingiens on perçoit une certaine conception de la famille royale « Rex francorum » - ce qualificatif montre la double influence romaine et germanique qui fonde la royauté mérovingienne – titulature latine qui évoque l'autorité

Noblesse L’unité de la noblesse vient de la prétention qui les définit comme la fraction supérieure de la société se distinguant du reste de la population par la Vertu, par l’Honneur, ce qui conforte leur attitude à servir au sein de l’administration royale ou de commander l’armée. La vertu est transmise par les hommes, plus la noblesse est ancienne, plus le prestige est grand, plus il est nécessaire de défendre son Honneur. La noblesse est supérieure, il faut donc de la force physique, être courageux

franque/barbare s’assure le soutien de l’Eglise. Cette dynastie s’essouffle alors ; la dynastie carolingienne lui succède, en commençant parfaitement avec Pépin le Bref (751 – 768) ; ce dernier ajoute à la monarchie en se faisant sacrer ; il institue le sacre royal. Son fils Charlemagne (768-814) est un roi conquérant, si bien que pour gouverner cet ensemble territorial, il devient empereur à Noël 800. Son fils Louis le Pieu (814-840) redécouvre le concept d’Etat des romains ; après ces périodes, les deux dynasties

Le même Las Cases se fait l’écho des nombreux officiers de marine qui détestaient Suffren et surnommaient ce dernier le « gros calfat3 » en raison de son physique, mais aussi de son comportement4. Au début du xxe siècle, l’amiral Raoul Castex, le principal stratège maritime français lui rend un hommage appuyé en parlant de « l’un des trois noms immortels qui jalonnent la marine à voile » avec Michiel de Ruyter et Horatio Nelson5. Mais tous les officiers historiens ne partagent pas cet avis. En 1996

carolingienne est caractérisée par le phénomène des liens de vassalité, qui est basé surtout sur un réseau de fidélités. Les rois distribuaient terres, revenus et charges « publiques » à partir du trésor royal, pour récompenser les aristocrates fidèles et s'assurer de leur soutien. Le trésor royal, à la fois privé et public, s'était ainsi substitué aux « biens publics » de l'époque romaine, évolution qui a representé les bases de la vassalité. Ce régime de clientèle, hérité de l'empire romain,

stabuli), chef des services de l'écurie, ayant sous ses ordres des maréchaux (valets de chevaux) ; le chambellan (cubicularius), valet de chambre du roi, sous l'autorité duquel sont placés les camériers (camerarii), responsables de la garde du trésor royal, déposé dans une chambre (camera) qui jouxte celle du roi. - Les bureaux d'écriture (scrinia) Ils réunissent de nombreux scribes (notarii, cancellarii), dirigés par les référendaires (referendarii), auxquels sont même confiés des missions politiques

Louis XIV applique un peu de droit positif. Le droit canonique ou droit canon est le droit de l’église et est appliqué dans les tribunaux en France jusqu’ ‘à la Révolution. Les étudiants connaissaient le droit romain, canonique & quelques lois royales. Il y a eu un changement au 19eme siècle, légalisme : c’est la loi qui doit en priorité être la source du droit. Le peuple crée la loi donc crée le droit. Le droit positif prend donc le dessus, c’est la loi qui organise les individus. Donc les cours

temps dimunier. Les alleux vont etre petit a petit transformes en fiefs ou en tenure. Au fur et a mesure que se met en place le phenomene de feodalisation, se fixe des regles. A partir du XIIe, surtout XIIIe siecle on voit apparaître les institution royale et ecclesaistiques. Chapitre II : les institutions politiques Jusqu’au milieu du XIIe siecle, la totalite des pouvoirs se trouvent entre les mains des detenteurs de fiefs = les feudataires. Certains de ces feudataires ont reussi a maintenir

de canne à sucre » « places pavées… » (l.21 à 26) Hyperboles chiffrées « 224 pieds de haut et 100 de large » (l.3), « 20 belles filles » (l.7 « 1000 musiciens » (l.11 et 12), « 1000 colonnes » (l.22), « 2000 pas » (l.3) Utilisation du pluriel « officiers, officières (néologisme ) »(l.10), « liqueurs » (l.23), « pierreries » (l.25)… Champ lexical des sens qui insiste sur l’aspect agréable des lieux, notion de plaisir. Vue « beauté et splendeur des marché » (l22) ; odorat « une odeur semblable à celle

la faculté de suggérer à la famille d’une victime de recourir à la composition (voie pacifique). Le roi devait avoir deux qualités : il devait être un membre d’une famille noble d’origine divine (du roi des dieux germaniques). Les membres de race royale étaient dotés de signes extérieurs (barbe, symbole de la virilité & chevelure, symbole de la puissance) qui les faisaient ressembler à Wotans (roi de des rois) : bon guerrier & qualité militaire indispensable & magicien, capable de protéger