Les Panathénées Une Fête En La

/ face à lui les partisan d’un retour à la tyrannie (en accord avec les perses) Miltiade réussi à convaincre les athéniens à faire face aux perses (spartes refuse la soumission aux perses mais à ce moment à lieu une fête religieuse à spartes = pas d’aide) = aide des Platééns (Béotie) PB : Les perses déploient leurs armes et leur cavalerie avant que les alliés d’Athènes ne soient sur place = BATAILLE DE MARATHON ·

employant une centaine d'esclaves, appartenait ainsi à deux métèques. La cité est aussi une communauté religieuse. Les habitants d'Athènes, toutes catégories confondues, se retrouvent lors de la célébration des grandes fêtes religieuses. La fête des Panathénées, organisée en l'honneur d'Athéna, déesse protectrice de la cité, illustre la puissance d'Athènes et intègre les non-citoyens : femmes, métèques mais aussi esclaves me permet néanmoins de souligner la prééminence des citoyens. Ceux-ci défilent

il ne faut pas négliger le fait que ces derniers attirent néanmoins les étrangers. Athènes, à travers ces monuments et ses liturgies se voient doter de nombreuses célébrations. L’auteur nous fait part alors d’un état constant de fête. f. Un état constant de fête. La ville se voit doter de nombreuses fêtes et cérémonies pour le plaisir de sa population et rendre hommage aux divinités. Ainsi l’auteur en fait plusieurs fois la référence. A la ligne 13, on nous tient les propos suivants : « des

Economique[2]) Jusqu'à leur mariage les jeunes filles ("parthénoi") grandissent à l'ombre du "gynécée", appartement réservé aux femmes (de "gunè", femme, et "oikia", maison). Elles ne peuvent en sortir que pour de rares occasions, la fête des Panathénées par exemple, puisqu'elles participent à la procession. Le reste du temps, elles doivent se tenir à l'écart de tous les regards masculins, même ceux de leur propre famille. Elles n'apprennent que les travaux ménagers et quelques rudiments de

démocratie plus populaire. b) la fête religieuse des Panathénées ou la citoyenneté en représentation Etude du cortège : des divinités chtoniennes aux divinités olympiennes. Signification politique des cérémonies sur l’Acropole et du Parthénon. Les grecs croyaient-ils à leurs dieux ? (extrait d’une comédie d’Aristophane) c) Le théâtre, catharsis et réduction des passions politiques -Le théâtre, spectacle total de la mise en scène de la démocratie car à la fois la fête religieuse, esprit de compétition

enfantent les futurs citoyens. Indispensables à la cité, elles ont aussi un rôle religieux. On leur confie notamment le soin de tisser le vêtement sacré (ou peplos) que la cité offre tous les quatre ans à la déesse Athéna dans le cadre de la fête des Panathénées. Exclues de la vie politique, les femmes sont cependant intégrées à la communauté athénienne.  Athènes Vème siècle : Athènes est une cité (polis), c’est-à-dire une communauté constituée d’une ville et de son territoire qui domine la Grèce

héliaste) tirée au sort pour 1 ans parmi les citoyens depuis de 30 ans. Stratège : magistrats chargés de la politique extérieur et les opérations militaires en liaison avec la boulée, ils sont 10, élu pour 1 an parmi les citoyens les plus riches. Panathénées : fête religieuse en honneur d’Athéna. Métèque : signifie en grec « ce qui vivent avec ». Il s’agit des étrangers de condition libre qui n’ont pas le statut de citoyens mais sont autorisés à résider sur le territoire de la cité, moyennant le versement

les dieux fêtant cet évènement (au nord). C'est un temple amphiprostyle, tetrastyle et ionique. » (http://hellada.free.fr/acropole.html) - Frise des panathénées : «Cette frise sculptée par Phidias, représente la longue procession des Panathénées, une fête organisée à Athènes en l’honneur de la déesse protectrice de la ville Athéna. Cette fête, à la fois religieuse et civique, rassemblait chaque année tous les habitants de la cité pour une procession qui traversait la ville et s’achevait sur l’acropole

quelles ont un caractère obligatoire. La fête principale à Athènes est chaque année celle des Panathénées en juillet-août. C’est une procession à travers le ville jusqu'à l’Erechthéion (et non le Parthénon) pour rendre hommage à la déesse protectrice, Athéna. Cette procession nous est bien connue grâce à la frise de Phidias (p. 21, doc. 22). Qui participe ? Des cavaliers, des éphèbes, etc. => toute la population défile. Tous les quatre ans, les grandes Panathénées: on change le péplos (tunique) de la

construits par la cité et financés par les citoyens les plus riches pour qui c'est un devoir. Le plus célèbre est le Parthénon dédié à Athéna et qui abrite une statue de la déesse oeuvre de Phidias. Les Panathénées et les Dionysies sont les fêtes les plus importantes. - Célébrée en été, la fête des Panathénées (c'est à dire de tous les Athéniens).manifeste l'unité de toute la cité puisque les citoyens sont tenus d'y participer ainsi que tous les autres habitants : les enfants, les femmes, les étrangers