Les Plaideurs Jean Racine

Introduction historique au droit Bibliographie : - Jean Marie Carbasse, Manuel d’introduction historique au droit, publié à paris au PUF, collection : droit fondamental 3ème édition - Norbert Rouland : Introduction historique au droit - Jean Gaudemet : Introduction histoire au droit, dernière édition 2010 publié à la LGDJ - André Castaldo : Introduction historique au droit, chez Dalloz 3ème édition 2006 INTRODUCTION 7 octobre 2010 : Le Conseil Constitutionnel adopte la loi

du code civil. On énumère alors un certain nombre de matières ou la raison politique peut prévaloir sur des droits individuels notamment concernant les domaines de la police , les bonnes mœurs , le droit fiscal , les procédure judiciaires ( un plaideur ne peut se prévaloir d’un droit acquis , c’est la puissance publique qui décide quel droit est applicable ) , l’état et la capacité des personnes ( livre premier du code civil ). Des domaines donc qui peuvent faire l’objet de lois rétroactives.

significatives étudiées en classe et associées à des mouvements culturels (livre de l’élève, chap. 2 et 3, pp. 24-37). *2. Situer auteurs et œuvres dans différents mouvements L’humanisme  : Montaigne, Essais – Le classicisme : Molière, Tartuffe ; Racine, Andromaque ; La Bruyère, Les Caractères – Les Lumières : Rousseau, Le Contrat social ; Beaumarchais, Le Mariage de Figaro – Le romantisme : Musset, Lorenzaccio – Le réalisme  : Flaubert, Madame Bovary – Le naturalisme  : Zola, Germinal – Le surréalisme 

la littérature également pour dénoncer des injustices par exemple (Sofocle s'est servi d'Antigone). Dans le théâtre aussi (ex : Le marchand de Venise de Shakespeare). Le droit permet aussi de faire rire (ex : Racine a écrit Les Plaideurs 1668). Mais aussi dans les bandes-dessinés. Jean Carbonnier avait écrit une œuvre qui s'adressait au grand public Droit et passion du droit sous la Vème République. Le droit doit être exemplaire : « Nul n'est censé ignorer la loi ». La loi doit être accessible

depuis lors. Ensuite, le rejet dans les relations civiles du recours au surnaturel. C’est le recours au Droit devant les tribunaux qui doit permettre de régler les litiges, les différends. A cet égard apparaît un tournant, le 4ème concile de Saint Jean de Latran, lorsqu’en 1215 il interdit aux clercs de participer à toute procédure dans laquelle il serait recouru au jugement de Dieu ou aux ordalies. Cette position revalorise le Droit et notamment la procédure. Le modèle de la procédure est le Droit

C'est la place du préteur ds l'organisation judiciaire qui détermine son rôle créateur de droit. Début de la République: le citoyen plaide devant le magistrat qui juge si la plainte est recevable. Le 1er doit venir avec la partie adverse. Les plaideurs s'adressent aus magistrats selon des formes précises: formalisme caractéristique de ttes les procédures primitives. Le magistrat désigne un juge (qui n'est pas homme public) qui tranche et termine le procès. Cette division du procès civil en

qui a pris au début du siècle la forme de poésies gaillardes ou burlesques qui désacralisaient sans façon la femme et l’amour. Si la poésie amoureuse de Malherbe recourt parfois à quelque formules pétrarquistes, on y entend souvent, selon les mots de Jean-Pierre Chauveau, « une rudesse bravache et virile », « protestation bourrue contre le féminisme de la tradition poétique ». Mais ce qui importe dans ces poèmes, n’est-ce pas la densité des formules et des rythmes qui faisaient dire à Baudelaire : «

biens * Droit formaliste : les actes juridiques comme la procédure sont soumis à des règles qui rappellent les cérémonies religieuses. Il s’agit de marquer les mémoires. Tout oubli dans un des mots, ordre par exemple fait perdre le procès au plaideur. * Il s’agit d’un droit limité. Le procès ne peut être intenté que dans les cas qui sont prévus par la coutume. Et à chaque cas des formules orales sont prévues par les Pontifes. Se qui veut dire que les prétentions des demandeurs doivent concorder

terre mêlée de débris les racines feuilleuses de ses marronniers d’Inde, et son château démantelé dont le pont tremble sous le pas éreinté de la jument du gendarme regagnant la caserne, — tout atteste deux Dijons : un Dijon d’aujourd’hui, un Dijon d’autrefois.   « J’eus bientôt déblayé le Dijon des quatorzième et quinzième siècles, autour duquel courait un branle de dix-huit tours, de huit portes et de quatre poternes ou portelles, — le Dijon de Philippe-le-Hardi, de Jean-sans-Peur, de Philippe-le-Bon

Ce jeune noble ne reprendra le fief dont il hérite qu'au moment de sa majorité. 2- La famille Cerf ville Il faut distinguer la servitude antique et le servage médiévale et l'esclavage moderne , ces trois mots ont tous la même racine étymologique : la racine de "servus" : esclave en latin, il faut distinguer donc l'asservissement antique, le servage féodale et l'esclavage qui a commencé avec la conquête portugaise de l'Afrique, et la conquête espagnole et portugaise de l'Amérique. L'esclavage