Les Plaisirs Qui Divisent Aristote

perception sont les impressions et les idées. Les idées sont simples ou complexes. Les impressions sont soit originales (il s’agit alors de la sensation du plaisir ou de la peine) soit secondaires. Ce sont les impressions de réflexion (ou « passions ») qui peuvent être indirectes (orgueil, humilité amour et haine) ou directes. Elles se divisent à leur tour en « violentes » (désir, aversion, joie, chagrin, espoir, crainte) et « calmes » (les sentiments moraux et esthétiques, la raison). C’est la

cité-Etat comprend des citoyens et des régimes d'états/politiques. N.B: La République de Platon se nommer Politéia en grec. Le mot politès est formé sur le mot politesse, son dérivé politikos signifie "celui qui est spécialiste de la politeia". Aristote écrit politika, La Politique. Le mot rhétorique a été crée sur le mot rhètor qui signifie orateur politique, le sens est plus large que notre mot rhéteur. A l'époque Classique, un rhéteur est un orateur politique, à l'époque Hellénistique c'est

conservation, est à lui mm son propre maître. Famille= 1er modèle des stés pol. Chef= père peuple= enfant, nés égaux et libres différence: chef pas d'amour pr son peuple ms plaisir de commander Grotius: pouvoir humain pas établi en faveur des gouvernés; espèce humaine divisée en troupeaux, gardés par des chefs pr les dévorer. Aristote: h pas naturellement égaux, les uns naissent pr esclavage, les autres pr la domination. JJR: «tout homme né ds l'esclavage nait pr l'esclavage », esclaves aiment leur

responsable de ses actes). Simplement grâce à Kant on voit que la philosophie morale rejoint la philosophie politique. La conscience individuelle n'est pas isolée pour Kant : elle émane de la raison qui est universelle. En revanche, les émotions (plaisir, goût) sont subjectifs. La conscience individuelle doit pouvoir recouper un jugement universel. C'est à partir de là que l'on peut faire le lien entre philosophie morale et philosophie politique. Car l'universel : pluralité des êtres humains, vivre

linéarité traditionnelle et de ses illusions de clarté et de logique. Il apporte une certaine brutalité, les tableaux étant discontinus, séparés par le vide sur le papier et l’ellipse dans le récit. Les subdivisions libres : les jeunes auteurs divisent leurs pièces en numérotant les séquences, en donnant des titres en mettant des dates. En utilisant le découpage cinématographique (Intérieur/ extérieur, Nuit/jour). Parfois aussi, l’auteur se démarque de tout découpage et écrit à jet continue du

encore sur les relations sexuelles. Ex. : parmi les devoirs moraux qui concernent la vie individuelle, il y a les devoirs moraux qui portent sur la manière de se nourrir, de dépenser son argent, ou bien sur la façon dont il convient de jouir des plaisirs sensuels. La troisième propriété de la morale est que les règles qu’elle impose aux hommes sont reliées au bien. Il est donc possible de définir la moral comme l’ensemble des devoirs auxquels les hommes doivent obéir afin de mener une vie conforme

doivent à la fois signifier la variété des occupations humaines (futiles ou sérieuses) et leur retirer toute valeur face à la mort. (p.52) 19Le terme « vanité » vient de l’un des livres de la Bible, L’Ecclésiaste, qui enseigne le renoncement aux plaisirs et à la gloire par ce proverbe : « Vanités des vanités, tout est vanité. » (p.52) 20Les didascalies, inscrites en italique, sont des indications scéniques données par l’auteur. (p.54) Au théâtre, les personnages échangent des paroles qui

à des activités jugées plus nobles telles que la politique. Les tâches étaient confiées aux esclaves, simples producteurs, déconsidérés. Le terme "déconsidérés" apparaît même impropre : le travailleur d’alors (l’esclave) n’est pas considéré. Pour Aristote, il n’est que le "prolongement du bras de son maître", un outil animé. L’individu chargé des tâches matérielles perd totalement son rang d’homme. Travail et servitude (servus signifie esclave en latin) sont alors indissociablement liés. L’étymologie

rationalité de la rhétorique dans son ensemble. Il existe bien des traités de rhétorique mais tous présupposent une même vision de la raison et de la pensée : l’unité de base est la proposition ou le jugement. Ce dont on discute, ce sont des thèses (Aristote), des propositions (au sens littéral du mot « proposer »). Or cette conception est dépassée. Ce dont on débat ce sont des questions et s’il n’y’ avait pas de problème, il n’y aurait pas de discussion. La proposition n’est qu’une réponse et fait partir

la confiance. CHAPITRE 2 : LA PENSEE D’ARISTOTE Aristote naît en 384 avant JC, alors que la Grèce est sous la domination de Philippe de Macédoine. Il vient à Athènes en 366 et étudie à l’académie de Platon, avant de quitter la cité à la mort de celui-ci. Il devient, en 343, le précepteur d’Alexandre le Grand, et ouvre en 336 sa propre école : le lycée. Il meurt en 322 avant JC. Section 1 : la rhétorique I) La justice Aristote donne une définition de l’acte injuste : pour lui, l’acte