Les Poetes Surrealites

des Grecs, et notamment de Platon, qui voyait dans l’artiste un homme inspiré par les Muses. Au rhapsode Ion qui est incapable d’expliquer pourquoi il est extrêmement talentueux pour faire parler Homère, mais moins bon en ce qui concerne les autres poètes, Socrate explique : Ce n’est pas un art[6] (…) qui se trouve en toi et te rend capable de bien parler d’Homère. Non, c’est une puissance divine qui te met en mouvement, comme cela se produit dans la pierre qu’Euripide a nommée Magnétis, et

des Grecs, et notamment de Platon, qui voyait dans l’artiste un homme inspiré par les Muses. Au rhapsode Ion qui est incapable d’expliquer pourquoi il est extrêmement talentueux pour faire parler Homère, mais moins bon en ce qui concerne les autres poètes, Socrate explique : Ce n’est pas un art6 (…) qui se trouve en toi et te rend capable de bien parler d’Homère. Non, c’est une puissance divine qui te met en mouvement, comme cela se produit dans la pierre qu’Euripide a nommée Magnétis, et que la plupart

des Grecs, et notamment de Platon, qui voyait dans l’artiste un homme inspiré par les Muses. Au rhapsode Ion qui est incapable d’expliquer pourquoi il est extrêmement talentueux pour faire parler Homère, mais moins bon en ce qui concerne les autres poètes, Socrate explique : Ce n’est pas un art6 (…) qui se trouve en toi et te rend capable de bien parler d’Homère. Non, c’est une puissance divine qui te met en mouvement, comme cela se produit dans la pierre qu’Euripide a nommée Magnétis, et que la

des Grecs, et notamment de Platon, qui voyait dans l’artiste un homme inspiré par les Muses. Au rhapsode Ion qui est incapable d’expliquer pourquoi il est extrêmement talentueux pour faire parler Homère, mais moins bon en ce qui concerne les autres poètes, Socrate explique : Ce n’est pas un art 6 (…) qui se trouve en toi et te rend capable de bien parler d ’Ho mère. Non, c’est une puissance divine qui te met en mouvement, comme cela se produit dans la pierre qu’Euripide a no mmée Magnétis, et que

comprends qu’il y a un autre en moi. Il parle de signal: l vie des surréalistes est une vie qui est constellée de signaux. Cela nous rappelle l’homme baudelairien qui traverse une forêt de symboles. La différences entre les surréaliste et les poètes symbolistes est que la dimension à la quelle se rapporte ces symboles foam partie du monde sensible, il ne s’agit pas d’un au-delà. Importance d’être souple, lire la prose un peu comme de la poésie.
 Il faut faire attention à certaines sensations

Paris, Gallimard, collection « Continents noirs », 2002. 46 33 L’Afrique voit plus qu’elle ne prévoit, elle est plus voyante que visionnaire. En ce sens, nourris eux aussi d’analogies et de correspondances entre les êtres et les choses, les poètes-voyants français sacrifient tout naturellement à la magie de l’Afrique. Le continent noir et le poème européen se répondent analogiquement dans le Poème, à travers des topoï comme « la brune enchanteresse » (À une dame créole) et « le parfum des

métaphoriquement les poèmes. L’activité poétique donne naissance à ces végétaux artificiels « tu m’as donné ta boue et j’en ai fais de l’or » c’est la transmutation poétique. La mort est le mal qui est une source de beauté. Orphée est le symbole des poètes ayant traversé dans les deux sens l’Archéon. - le passé : il recours à la mythologie, le symbole de l’idéal perdu avec un lexique classique : « haine ; les cieux ; l’ennui… », & les pastiches de Ronsard, les archaïsmes « galant ; rouée ;… »

proverbes en fonte, des armes d’en-ferrement mutuel, Mallarmé offre une massue cloutée d’expressions-fixes, pour servir au coup-par-supériorité. Il a créé un outil antilogique. Pour vivre, pour lire et écrire. Contre le gouvernement, les philosophes, les poètes-penseurs. Avec la dureté de leur matière logique. À brandir Mallarmé le premier qui se brise est un disciple soufflé de verre. Chaque désir d’expression poussé à maximité. Poésie n’est point caprice si le moindre désir y fait maxime. Non à tout prix

proverbes en fonte, des armes d’en-ferrement mutuel, Mallarmé offre une massue cloutée d’expressions-fixes, pour servir au coup-par-supériorité. Il a créé un outil antilogique. Pour vivre, pour lire et écrire. Contre le gouvernement, les philosophes, les poètes-penseurs. Avec la dureté de leur matière logique. À brandir Mallarmé le premier qui se brise est un disciple soufflé de verre. Chaque désir d’expression poussé à maximité. Poésie n’est point caprice si le moindre désir y fait maxime. Non à tout prix

Ce personnage trouble, déambulant volontiers dans un monde interlope, vivant d'expédients, est au centre de l'œuvre : «Je n’ai jamais été un fils. J’ai toujours été troublé de constater que beaucoup d’écrivains, y compris Baudelaire et de nombreux poètes maudits, exprimaient dans leur œuvre la conscience très forte d’être un fils. Moi, c’est un sentiment que, à l’adolescence comme à l’âge adulte, je n’ai jamais éprouvé et qui sans doute m’a manqué, me manque.» - «Mon père a pu préserver sa vie grâce