Les Points De Vue Dans Thérèse Desqueyroux De Mauriac

c'est un passage d'une grande humanité. ______________________ Dissertation Un personnage romanesque en souffrance suscite-t-il de l'intérêt chez le lecteur ? Le personnage romanesque est souvent représenté dans un état de souffrance, au point qu'on peut même se demander si les auteurs de romans ne relient pas l'intérêt de leurs œuvres à l'intensité même des maux, aussi bien physiques que moraux, endurés par leurs personnages. Pour dire les choses de manière un peu crue, la douleur, l'épreuve

Correction de la dissertation sur le sujet tiré d’une citation de Kafka Quel point commun entre les succès de Germinal de Zola, œuvre militante traitant du sort des mineurs de fond dans le nord de la France, et le succès planétaire des aventures du jeune sorcier Harry Potter de J. K. Rowling ? C’est avant tout le lecteur, et le plaisir qu’il trouve dans la lecture d’une œuvre littéraire[1]. Sur ce sujet, Franz Kafka avait un avis bien tranché

célébré également par d’autres poètes au début du XXème siècle, appartenant au mouvement du naturisme, tels que Francis Jammes ou Saint-Georges de Bouhélier. Tous ces différents poètes, en prenant des voies esthétiques et poétiques variées, ont tous en point de mire la nature et le réel dans sa beauté, dans sa diversité et dans sa simple présence. La poésie deviendrait alors un mouvement extatique, une tentative d’approche et de conquête de ce monde extérieur, ou comme l’écrit Adonis dans Autre Sud, l’écriture

roman dans son ensemble car sa nature fière et mélodramatique est la cause du départ du prince. De même, c’est son souvenir qui le pousse à repartir vers sa planète. La charge symbolique de ce personnage est particulièrement forte. La rose peut être vue comme une incarnation de différentes facettes de l’amour : • • Sur la planète du petit prince, elle s’oppose aux baobabs pour représenter la fragilité et la richesse de l’amour. Son comportement, lorsqu’elle cherche à gagner l’amour du prince en

d’Yvan, qui se présente avec sa situation sociale instable, son absence de prétentions intellectuelles, et la fragilité de son caractère, ne fait que relancer l’action. En se rendant chez Yvan, Marc cherche à obtenir l’adhésion de son ami à son point de vue. Si, dans un premier temps, Yvan se laisse piéger par Marc, il finit par se rétracter et cherche à dédramatiser, voulant jouer maladroitement le médiateur. Miné par la curiosité, il rend visite à Serge pour voir le tableau et donne l’impression

d'Emma et ce minable qu'est son mari: « [ ... ] il était incapable d'héroïsme, faible, banal [ ... ] ». Et que dire de Frédéric Moreau, ou de Bouvard et Pécuchet ? Dans le sillage du naturalisme, qui prétend s'attacher à l'humanité moyenne, au point de produire des livres sans héros (ainsi Invasion 14, la fresque unanimiste de Maxence Van der Meersch, 1935), le XXe siècle multipliera les exemples d'anti-héros dont les plus fameux sont Bardamu et ceux de Beckett, de Godot à Molloy – ces épaves

apparences extérieures et les actions. Le récit peut même se confondre avec les mouvements de la pensée d'un personnage : c'est le cas de ce que l'on nomme le monologue intérieur. * roman d'analyse : Stendhal : Le rouge et le noir François Mauriac: Thérèse Desqueyroux Georges Bernanos : Sous le soleil de Satan * monologue intérieur: James Joyce : Ulysse Les formes du roman Les formes prises par le roman sont également très nombreuses. On distinguera * le roman dans lequel l'histoire apparait sans

d’Yvan, qui se présente avec sa situation sociale instable, son absence de prétentions intellectuelles, et la fragilité de son caractère, ne fait que relancer l’action. En se rendant chez Yvan, Marc cherche à obtenir l’adhésion de son ami à son point de vue. Si, dans un premier temps, Yvan se laisse piéger par Marc, il finit par se rétracter et cherche à dédramatiser, voulant jouer maladroitement le médiateur. Miné par la curiosité, il rend visite à Serge pour voir le tableau et donne l’impression

nouveaux et par un langage lourd de symboles, de correspondances et de mystères. Il faudra des années d’efforts nourris par L’angoisse et le désastre causé par la première Guerre mondial (1914-1918), pour que le nouvel esprit prenne forme. Sur certains points on suit la leçon du siècle précédent. Du symbolisme on garde le goût d’un art voilé et la hantise du mystère. Au naturalisme on emprunte ses habitudes d’observation minutieuse. Mais le positivisme et le scientisme tombent en désuétude. Courant

Charles-Ferdinand Ramuz (La grande peur dans la montagne, 1926), Jean Giono (Colline, 1928 - Regain, 1930), Henri Bosco (L'Âne Culotte, 1937) ou l’interrogation morale et métaphysique avec Georges Bernanos (Sous le soleil de Satan, 1926), François Mauriac (Thérèse Desqueyroux, (1927), Charles Plisnier ou Joseph Malègue (Augustin ou le Maître est là) . Le roman d'approfondissement psychologique initié par Maurice Barrès ou Paul Bourget, va trouver deux maîtres avec Marcel Proust et son œuvre fondatrice sur la