Les Portes de la gloire

historien Cicéronien. I – Les motivations de l'historien La préface de l'ouvrage nous éclaire clairement sur les objectifs poursuivis par l'auteur. En revanche il apparaît bien difficile de hiérarchiser ces derniers. Ainsi, est-ce la quête de gloire qui motive Salluste en premier lieu, ou bien plutôt se considère-t-il avant tout comme un citoyen romain au service de l'état, qui par son ouvrage, permettrait à Rome de tirer leçon de son passé ? Doit-on voir ici un historien altruiste, ou au contraire

A LA GLOIRE DU GRAND ARCHITECTE DE L’UNIVERS ET AU PROGRES DE L’HUMANITE. V.:M :. Et vous tous mes FF.: et SS.: en vos différents grades et qualité Lorsque la lumière m’est donnée, j’ai un contact visuel brutal avec ces mains gantées et ces tabliers ceints autours des hanches de tous mes FF.: et SS.: Alors que je m’interrogeais sur la signification de ces éléments, le V.:M.: m’a invitée à l’orient et m’a remit les miens ; j’ai vécu avec une intensité rare cet instant, je pourrais dire

aïeux. Néron jouit de tout : et moi, par récompense, Il faut qu'entre eux et lui je tienne la balance, Afin que quelque jour, par une même loi, Britannicus la tienne entre mon fils et moi. ALBINE Quel dessein ! AGRIPPINE Je m'assure un port dans la tempête. Néron m'échappera si ce frein ne l'arrête. ALBINE Mais prendre contre un fils tant de soins superflus ? ACTE PREMIER 4 Britannicus AGRIPPINE Je le craindrais bientôt s'il ne me craignait plus. ALBINE Une juste

la mode française En 1909,elle installe son premier atelier de modiste dans une garçonnière du Boulevard Malesherbes où elle fait des retouches de vêtements. L'année suivante, le premier magasin « Chanel Modes » consacré aux chapeaux ouvra ses portes au 21 rue Cambon à Paris. Ses chapeaux,très originaux,lui permettent de se démarquer des autre modistes. Lors d'un séjour à Deauville en 1913, elle ouvre une nouvelle boutique qui porte le nom de « Gabrielle Chanel ». Elle y créée des tenues simples

réjouissent plus ; il est plein d'aigreur et de désespoir. La sédition1 s'allume peu à peu de toutes parts. Ils croient que vous n'avez aucune pitié de leurs maux, que vous n'aimez que votre autorité et votre gloire. Si le roi, dit-on, avait un cœur de père pour son peuple, ne mettrait-il pas plutôt sa gloire à leur donner du pain, et à les faire respirer après tant de maux, qu'à garder quelques places de la frontière, qui causent la guerre ? Quelle réponse à cela, Sire ? Les émotions2 populaires, qui étaient

autres enfants : Paul, né en 1897, Germaine, née en 1902 et René, né en 1909. Un frère aîné, Maurice, né le 2 avril 1894 et décédé le 18 août de la même année, ne sera jamais mentionné dans l'histoire familiale. Marcel Pagnol écrira en Incipit de la Gloire de mon père « Je suis né dans la ville d'Aubagne, sous le Garlaban couronné de chèvres, au temps des derniers chevriers ». En 1897, le jeune couple s'établit dans le logement de fonction de l'école de Saint-Loup. Lorsqu'elle allait au marché, sa

Trieste, puis à Civita Vecchia, aux portes de Rome. Sa santé qui se dégrade l’oblige à prendre un congé de trois ans en 1836. En 1838, il écrit en cinquante-deux jours La Chartreuse de Parme qui sera publié l’année suivante et qui lui vaudra un article élogieux de Balzac. Il meurt le 23 mars 1842 à Paris. LE RESUME Dans ce le livre le personnage principal est Julien Sorel, jeune homme de 19 ans, fils d’artisan, ambitieux qui admire Napoléon et qui rêve de gloire et qui veut conquérir la société

est un dramaturge et poète français considéré comme l'un des plus grands auteurs de tragédies de la période classique en France sous Louis XIV. Il est Issu d'une famille de petits notables et vite orphelin, il est éduqué par les « Solitaires » de Port-Royal et reçoit une solide éducation littéraire et religieuse . Il choisit ensuite de se consacrer à la littérature et particulièrement au théâtre en faisant jouer La Thébaïde en 1664 et Alexandre le Grand en 1665, qui est son premier succès et qui

Racine a vu le jour en 1639 dans une famille qui faisait partie de la grande bourgeoisie. Ayant perdu ses parents à un jeune âge, le petit Jean est ensuite élevé par ses grands-parents puis par sa tante. Celle-ci est alors religieuse à l'abbaye de Port-Royal, située à Paris, qui constituait à l'époque un couvent pour femmes et un lieu important du jansénisme, ce qui ne manquera pas de marquer durablement Racine. Le jansénisme représente une doctrine catholique rigoureuse, persécutée par les autorités

dans 214 caisses. Avant même l’arrivée de la statue, Frédéric Bartholdi en personne s’était rendu aux Etats-Unis pour discuter de son emplacement avec le président Ulysse S. Grant. Finalement, il a été décidé de l’afficher sur une petite île dans le port de New York. Aujourd’hui l’île est connue sous le nom de « Liberty Island ». Description de la statue : La statue elle-même est une femme vêtue d’une robe tenant un flambeau. Elle est faite de feuille de cuivre pur sur un cadre d’acier, à l’exception