Les Precieuses Ridicules Personnages

joue non à partir d'un texte rédigé à l'avance, mais d'un simple canevas, d'un "scénario" s’opposant à la tragédie. La comédie cherche à divertir, à faire rire (comique) par la légèreté de l’intrigue ou la peinture des personnages qui y est faite. Dans la comédie, les personnages sont de condition moyenne ou modeste, et le dénouement est heureux. Les premières pièces de Moliere ont été conçues dans la veine de la comédie italienne, la commedia dell’arte, elle-même inspirée de la tradition latine

sont: Les Précieuses Ridicules (1659), l'École des Femmes (1662), Tartuffe (1664-69), Don Juan (1665), Le Misanthrope (1666), L'Avare (1668), Le Bourgeois Gentilhomme (1670), Les Femmes savantes (1672), Le Malade imaginaire (1673). Ses comédies ballets: (Genre dramatique, musical et chorégraphique, la comédie-ballet est inventée par Molière en 1661.Mêlant la musique et la danse dans une action unique , la comédie-ballet traite de sujets contemporains et montre des personnages ordinaires de

dramaturge du l’époque du classicisme. Il est comédien et chef de troupe du théâtre français sous le règne de Louis 14. Il est l’auteur de nombreuse pièce de théâtre les plus connues étant Dom Juan, Les fourberies de Scapin, L’école des femmes, Les précieuses ridicules, Le tartuffe, Le médecin malgré lu, L’Avare et Le malade imaginaire. Ce texte est un extrait de Les Femmes savantes qui est une comédie en 5 actes écrite en 1672. Dans cette pièce de théâtre Molière critique les femmes qui se revendiquent comme

revenir aux différents types de procédés comiques (lire ci-dessous). LES DIFFERENTES FORMES DU COMIQUE Le rire dans la comédie théâtrale est un moyen de toucher les destinataires, c'est-à-dire les auditeurs, les spectateurs. Ce qui est ridicule est tout près du rire. Lorsque le rire est déclenché, par la volonté du dramaturge, mais aussi grâce au talent des acteurs, il devient irrésistible. Les choses qui se disent sur la scène de théâtre deviennent plus risibles, plus amusantes, plus réjouissantes

né à Paris, baptisé le 15 janvier 1622 et mort à Paris le 17 février 1673, est un dramaturge et acteur de théâtre français. Grand auteur comique, il a peint les vices de ses contemporains et les plaies de la société de son temps et a crée des personnages immortels : Harpagon, Tartuffe, Don Juan, Alceste. Provocateur, il a osé critiquer, dans Tartuffe et Don Juan, une société qui ne permettait pas l’expression ouverte d’idées non-conformes au système de pensée en vigueur. Il a polarisé les passions

imaginaire, une comédie-ballet de Molière, Argan, qui joue le rôle de ce fameux "malade", ne cesse de clamer haut et fort qu’il est malade. Il joue son rôle à la perfection, car même les autres personnages de cette pièce pensent que celui-ci souffrent réellement. Le spectateur, en remarquant que ces autres personnages croient à la maladie d’Argan, n’ont d’autres choix que d’y croire à leur tour, alors qu’Argan ne fait que réciter et jouer encore et encore les dialogues, monologues et didascalies de l’auteur

obtient la protection du frère du roi : sa troupe prend le nom de « Troupe de Monsieur » et représente ses deux premières comédies et des tragédies de Pierre Corneille, de Rotrou et de Tristan l'Hermite[]. Sa carrière débute vraiment avec Les Précieuses ridicules. Il est soutenu par le roi Louis 14, devant qui ils font de nombreuses représentations. Molière a écrit quarante et une pièces dans lesquelles il dénonce le plus souvent la bourgeoisie. Le 17 février 1673 il fait un malaise au cours de la

un dramaturge et comédien français né en 1622 et mort en 1673. Il s'est illustré au debut du règne de Louis XIV avec Les precieuses ridicules ou encore Dom Juan. Il propose une comédie de divertissement mais il dénonce aussi la bétîse humaine. Les extraits que nous allons étiduer maintenant sont la sixcième et septième scène de l'acte IV de l'Avare. Harpagon en est le personnage principal. Harpagon est un homme avare. Molière veut faire la satire de l'avarice, il veut dénoncer par le rire, ce qui

renvoient à la noblesse : "bête de haut parage" (13), "sultane de renom" (16). On peut faire remarquer d’ailleurs que cette manie de vouloir être noble est raillée par La Fontaine par un jeu sur une opposition, un paradoxe, au vers 1.  Se croire un personnage exceptionnel, un grand, un homme d’importance est une manie très courante en France. Le nombre de ceux qui prétendent être des nobles détruit l’idée même de noblesse qui ne peut être, en principe, qu’exceptionnelle.  B. L’opposition entre la façon

métier et de celui de comédien. Nous assistons ici à une pièce de théâtre dans le théâtre, ce qui donne l'occasion à Molière de partager quelques-unes de ses réflexions et interrogations sur les notions d'identité, de position sociale, de rôle, de personnage et de comédien. On peut rapprocher ce texte de celui de Marivaux, Les Acteurs de bonne foi, qui se penche sur les mêmes problématiques en utilisant le même procédé... Texte étudié : MOLIÈRE : Oui, toujours des marquis. Que diable voulez-vous