Les Procedes Comiques Des Femmes Savantes

→ Étudier les sources du comique dans la pièce :Le comique visuel : comique de gestes (cavalcades = courses-poursuites ; bastonnades, etc.) et déguisements (Cléante en maître de musique, Toinette médecin, carnaval final) = procédés farcesques.Le comique de langage : jeu sur les noms des personnages (Béline, Purgon, Fleurant, Diafoirus, nom construit sur “foire”, synonyme de “diarrhée”) ;le comique de mots : le jargon médical et le latin ; le comique de répétition (“le poumon”), la cacophonie

pièce, le titre et la distribution Définir une scène d’exposition et en dégager les enjeux Découvrir l’entrée en scène d’Harpagon Comprendre le rôle des répliques Découvrir l’origine d’un personnage type Repérer et expliquer les différents types de comique de la pièce Étudier les paroles rapportées Analyser le rythme de la pièce et la progression des différentes intrigues Analyser le rôle de l’argent dans la pièce Savoir lire et interpréter un monologue Analyser le dénouement de la pièce Maîtriser les

« comédie » a d’abord désigné le théâtre en général. S’opposant à la tragédie, la comédie cherche à divertir, à faire rire (→ comique) par la légèreté de l’intrigue ou la peinture des personnages qui y est faite. Quelques pièces comiques de Molière (1622-1673) : Les Précieuses ridicules (1664) Le Misanthrope (1666) L’Avare (1668) Le Bourgeois Gentilhomme (1670) Les Femmes savantes (1672) Le Malade imaginaire (1673) La comédie a pour but de « corriger les mœurs par le rire » (castigat ridendo mores

plus l’instrument de travail qui doit dominer la nature, elles deviennent le signe de l’accord, et « les mains des femmes leur vont comme un gant ». La poésie est fantaisie, émerveillement comme chez Musset, Sur le clocher jauni La lune Comme un point sur un i… comme chez Prévert, où les énumérations qui rapprochent ou séparent de manière inattendue des alliances de mots comiques, des coq-à-l’âne, des ellipses disloquent le réel pour le reconstruire plus tard selon une vision nouvelle très éloignée

du pays. Grâce à ses deux garçons, cette femme finit par prendre son destin en main. Avec ce récit engagé et plein d’humour, Driss Chraïbi célèbre l’émancipation des femmes. ISBN 978-2-7011-6170-9 224 pages La Civilisation, ma Mère !…  Arrêt sur lecture 1  Arrêt sur lecture 1 2 Dressez la liste des procédés qui donnent au premier chapitre une tonalité p. 38-44 Un quiz pour commencer p. 38-39 1 Où l’histoire racontée par le narrateur se déroule-t-elle ? Dans une ville marocaine

fut la cible privilégiée des poètes comiques et de leurs caricatures. Il n’a pas joué de rôle politique comme Sophocle et on ne sait rien de sa vie privée. Il était probablement issu d’une famille aisée et reçut une bonne éducation à l’idéal du temps : athlétisme, littérature, art des joutes oratoires et des raisonnements philosophiques, musique et peinture. On voyait en lui un disciple des sophistes. Ami de Socrate, il fréquenta aussi les sages et les savants qui furent la parure de l’Athènes classique

qui le trompe et la belle Astarté qui lui reste fidèle mais qui va cependant être la cause de ses malheurs. Zadig n'évolue pas vraiment au cours du livre, il reste lui-même et agis toujours de la même manière pour se liberer de ses ennuis : il procède avec malice et sagesse. Asastré : C’est la Reine de Babylone, femme du roi Moabdar et amante secrète de Zadig. Quand son époux découvre ses sentiment elle fuit et est réduite à l’esclavage. Cador : C’est l’ami intime de Zadig (meilleur ami). Son

que rarement, pour lancer une boutade ou une réplique amicale, bien que peu raffinée ; le reste du temps, il est englobé dans le couple « les Verdurin », où il s’efface inévitablement derrière sa femme. Le docteur Cottard est, selon l’hôtesse, un savant doué et intelligent, il a « plus de diagnostic que Potin ». Il lui arrive même de mettre son talent au service de la petite société, comme, par exemple, « il dut un jour remettre sa mâchoire qu’elle [Mme Verdurin] avait décroché ». Du pianiste, on

plus importante de la première partie du film sera ce procès où l'instituteur défendra la jeune femme contre les témoins qui sont surtout les vieilles femmes de la communauté. La tension sexuelle éclate une fois de plus dans la collectivité pagnolienne, car ce sont la beauté, la jeunesse, la sexualité et la liberté de Manon qui menacent les femmes de la commune et risquent de dissoudre l'unité du groupe. Le procès qui s'ensuit montre l'opposition exemplaire entre un individu lié à la nature et la

Avant le match, le boxeur bourre son entraîneur de coups de poing ! Jean.- Mais pourquoi cette violence avec une femme inconnue ? Philémon.- Le choc de la rencontre ! Paf ! Deux univers qui se rentrent dedans. Ton expérience est nulle. Tu sais, les femmes, c’est comme les voitures, il faut sentir la mécanique ! Jean.- Tu manques … d’au-delà. Philémon.- Et toi, de pratique ! Allons-y … répétons : moi, je ferai la femme. Au départ, tu improvises. Il sort. Jean.- Où vas-tu ? Philémon.- Je sors pour entrer