Les Progres De L Esprit Critique Humanisme

qu'esprit, une existence pour soi : c'est-à-dire qu'il a la capacité de se représenter les choses, et de se représenter comme distinct de ces choses. L'homme n'est donc pas seulement un objet, mais également un sujet, une chose, mais également un esprit, un corps matériel, mais également une conscience. Et c'est par la conscience que va être justifiée l'existence d'une liberté humaine. En effet, qu'est-ce que la conscience ? Ainsi qu'il vient de l'être rappelé, celle-ci se caractérise comme pouvoir

Le développement culturel, progrès ou régression ? 9 B. La culture est édifiée sur du renoncement pulsionnel 11 1. Le malaise dans la culture (Freud) 11 2. Répression et révolution (Marcuse) 12 III. Culture particulière et culture universelle 12 A. Le relativisme culturel 12 1. Le relativisme de Montaigne 12 2. La critique de Lévi-Strauss 14 B. La critique du relativisme : la tartine et les mathématiques 15 1. L’idée de progrès et de supériorité 15 2

par le directeur général de la FAO, Norris Dodd. D’un côté, la montée du néo-malthusianisme : la population mondiale est bien trop élevée et des mesures doivent être prises pour diminuer la natalité. De l’autre, la confiance dans la science et le progrès technologique : ceux-ci vont permettre de faire face aux besoins alimentaires d’une humanité de plus en plus nombreuse. Deux positions qui vont être régulièrement défendues et illustrées au cours des décennies suivantes jusqu’à nos jours. 6 7

Nietzsche. Mais il y a lieu de se demander si cette habitude est justifiée. Est-il vrai d'abord que Stirner ait eu une influence sur Nietzsche ? Est-il juste ensuite de considérer leurs philosophies comme deux systèmes analogues et animés du même esprit ? Est-ce à bon droit qu'on rattache Nietzsche à Stirner, et qu'on parle d'un courant individualiste, anarchiste ou immoraliste ? Chapitre premier NIETZSCHE A-T-IL CONNU STIRNER ? On ne rencontre le nom de Stirner ni dans les œuvres, ni dans

(Kant) 3. Le développement culturel, progrès ou régression ? B. La culture est édifiée sur du renoncement pulsionnel 1. Le malaise dans la culture (Freud) 2. Répression et révolution (Marcuse) III. Culture particulière et culture universelle A. Le relativisme culturel 1. Le relativisme de Montaigne 2. La critique de Lévi-Strauss B. La critique du relativisme : la tartine et les mathématiques 1. L’idée de progrès et de supériorité 2. La valeur de la

culturel (Kant) 9 3. Le développement culturel, progrès ou régression ? 9 B. La culture est édifiée sur du renoncement pulsionnel 11 1. Le malaise dans la culture (Freud) 11 2. Répression et révolution (Marcuse) 12 III. Culture particulière et culture universelle 12 A. Le relativisme culturel 12 1. Le relativisme de Montaigne 12 2. La critique de Lévi-Strauss 14 B. La critique du relativisme : la tartine et les mathématiques 15 1. L’idée de progrès et de supériorité 15 2. La valeur de la pensée (Finkielkraut)

bioéthique, la markétique, la médiaéthique. II/ Le caractère subjectif de l’éthique La science de l’éthique n’est pas objective tel que peut l’être les mathématiques. La philosophie et la sociologie sont analytiques alors que l’éthique est critique. Il y a donc une opposition a des jugements de fait et des jugements de valeur. Ces jugements de valeur sont donc subjectifs. « Si l’éthique est subjective, chacun a son éthique » Cette pensée est naïve. Les gens partagent leur Ethique avec les

La page de Jean Lacroix Le structuralisme de Claude LÉVI-STRAUSS | | | | Le structuralisme est la méthode qui a fait faire aux sciences humaines en ce siècle d'immenses progrès et Lévi-Strauss est en France le maître du structuralisme. Il procède de l'application à l'anthropologie et aux sciences humaines d'un modèle linguistique. Son initiateur fut de Saussure, dans son Cours de linguistique générale. Les linguistes, comme Meillet ou Vendryès, s'efforçaient encore d'expliquer l'évolution

: de la publicité de la raison chez Kant 2.3.2-La question de la connaissance : une nouvelle épistémologie 2.3.3- La question religieuse et le concept de sécularisation Bibliographie Objectifs généraux Ce cours est un survol historique et critique du développement de la pensée moderne du XVII au XVIIIème siècle. Nous y aborderons les concepts clés et les grandes questions de la pensée moderne telles qu’elles ont été thématisées par les philosophes modernes. Nous étudierons tout particulièrement

les limites de la vérité et inversement que cette même vérité ne soit pas dans l’illusion de l’illimité et de la toute-puissance que lui offre les plaisirs de la spéculation et de la rhétorique ? · Bacon : la notion de « progrès » sans « fin »« se rendre comme maître et possesseur de la nature » (Descartes) Cette nécessité de ne jamais disjoindre théorie et expérience, cad le savoir théorique et le savoir-faire technique est au cœur du projet de notre modernité