Les Quatre Fantastiques

Commentaire Comparé L’extrait d’un journal intime dans le récit Fantastique «  le Horla » écrit par Guy de Maupassant en 1887, et «  le thème du double » extrait de l’ouvrage pédagogique Anthologie littéraire du Moyen Age au XIXe siècle écrit par Michel Lauren en 2006 sont complémentaires. L’extrait de Horla est narratif est descriptif tandis que Le thème du double est informatif et explicatif. Michel Laurent nous donne une explication théorique sur le thème du double tandis que Maupassant nous

nous fait découvrir un narrateur qui, bien qu'il semble apprécier ces moments nocturnes, éprouve soudain une sensation étrange en parcourant Paris. Nous pourrons essayer de comprendre pourquoi ce récit glisse peu à peu vers une imagination fantastique. Le passage décrit ainsi un tableau poétique de la ville, mais aussi contrasté. Cette contradiction semble s'expliquer par le changement d'état d'esprit du narrateur. I – Une description poétique mais pleine de contrastes : a) un récit

socialement. Cet extrait de Bel Ami se situe au début du roman et succède à l’incipit. Nous verrons comment conformément au réalisme, Maupassant veille à la vraisemblance de son récit, tout en nous livrant cependant sa propre vision du monde quelque peu fantastique. Ainsi, à travers une description réaliste de Paris, Maupassant nous amène à percevoir le portrait de Georges Duroy et à nous livrer sa propre vision de la société de l’époque. Cet extrait de Bel-Ami nous présente la ville de Paris par une description

La chevauchée fantastique Alors que, depuis la fin de la production industrielle de films muets, le western est délaissé par la majorité des studios hollywoodiens, John Ford sort son premier film du genre en cinéma parlant en 1939. Même si La Chevauchée Fantastique est désormais reconnue de tous comme l’un des chefs-d’œuvre du genre, le réalisateur du se heurter à plusieurs reprises au fonctionnement du système hollywoodien et mit plus d’un an pour trouver un producteur qui veuille bien

étincelante de blancheur et travaillée comme une truelle à poisson5 , jetez sur le pourpoint6 noir du vieillard une lourde chaîne d'or, et vous aurez une image imparfaite de ce personnage auquel le jour faible de l'escalier prêtait encore une couleur fantastique. Vous eussiez dit d'une toile de Rembrandt7 marchant silencieusement et sans cadre dans la noire atmosphère que s'est appropriée ce grand peintre. Honoré de Balzac, Le Chef-d'÷uvre inconnu, 1832. Texte 2 L'action se déroule en Angleterre

1). Le quatrième texte est un conte intitulé BABAYAGA de TM. LE THANH d'après A. AFANASSIEF et illustre tout à fait les analyses des trois précédents auteurs. La confrontation de ces quatre documents invite à mener une réflexion sur la pérennité étonnante des contes. Viendrait-elle de l'univers complexe et fantastique auquel ils renvoient? Ou bien de leur dimension didactique porteuse d'enseignements? Ou encore de leur fonction psychologique interrogeant les valeurs? Les contes séduisent par

d'étrangeté et d'effroi d'un cauchemar ? Nous étudierons en premier lieu la structure complexe du poème, à la fois décousue – à l'image du rêve, et ordonnée comme un conte. Nous verrons ensuite comment le texte nous plonge dans l'atmosphère à la fois fantastique et effrayante d'un rêve « gothique ». Le poète se propose de « rejouer » devant nous le spectacle d'une expérience initialement intime; celle d'« un rêve ». Le texte s'annonce en effet explicitement comme le récit d'une expérience onirique, et

chères à Baudelaire et à son imaginaire poétique : le Spleen et l’Idéal. Si on devine que cette ambivalence sera encore plus prononcée dans la première section, la plus célèbre, intitulée « Spleen et Idéal », on ne peut que prédire que la série de quatre pièces poétiques, tous nommés « Spleen », sera à étudier avec soin pour comprendre l’écriture baudelairienne.   Le poème qui nous est ici donné à analyser, le quatrième et sûrement le plus célèbre de ces « Spleen », nous marque par le tableau macabre

pathétique. Le registre tragique n'est pas le seul présent dans ce roman. En effet on y retrouve tout au long de cette histoire une grande dimension pathétique crée par des péripéties auxquelles les personnages sont confrontées. Dans le chapitre quatre du sixième livre on assiste à une torture sanglante de Quasimodo où l’on ressent une immense pitié grâce aux descriptions très précises « les lanières et les chaînettes lui entrait probablement dans la chair », « bientôt le sang jaillit, on le vit

met au roman, et étudie avec sérieux les sciences exactes comme les mathématiques et la physique, la géographie aussi, par goût et aussi parce qu’il cherche à faire de la diffusion scientifique auprès du grand public. Son support sera le roman fantastique. Non seulement son œuvre intégrera-t-elle les nouveautés scientifiques de l’époque, mais elle les dépassera. Jules Verne est un visionnaire, un peu comme Léonard de Vinci. Mais à l’inverse de l’inventeur de génie, Jules Verne se contentera d’imaginer