Les Rieurs

 Le rire assouplirait les fibres et faciliterait ainsi le  lien entre l’intellect et les sens, entrainant un équilibre vital.  A la révolution française, il devient l’arme des royalistes lors des débats à l’Assemblée : ils manient  les bons mots et mettent les rieurs de leur côté.   Le recul des certitudes, la montée des grandes peurs, des angoisses s’accompagnent d’une montée  du rire. Au fil du temps, les valeurs s’effondrent et le rire les remplace. Nietzsche, du reste va jusqu’à  noter : « J’irais jusqu’à

détracteurs par deux courtes pièces en 1663, La Critique de l’École des femmes et L’Impromptu de Versailles où il se met en scène comme auteur et chef de troupe pour défendre la dignité de la comédie : "Bien des gens ont frondé cette comédie ; mais les rieurs ont été pour elle", dit-il dans la préface, rappelant ainsi que le succès d’une comédie tient surtout… à sa force comique. III. Les personnages Arnolphe : ou M. de la Souche. Le nom renvoie au saint patron des maris trompés. C’est le personnage

quelques secondes en marmonnant de vagues excuses puis continua son chemin, mais le regard de l’inconnue continua de le hanter. Ses yeux, d’un marron pourtant banal, étaient animés par un feu qu’il ne saurait d’écrire et lui rappelaient les yeux rieurs et toujours inquisiteurs de sa tendre moitié. Comme elle lui manquait à l’instant même ! Elle aurait su quoi faire pour le rassurer, elle lui aurait dit que ce n’était qu’un horrible cauchemar, qu’il allait se réveillait tôt ou tard. Penser à elle

est la personne qui m'a élevé et elle a été là pour moi quand j’avais besoin d’elle, depuis que je suis née. Elle a un rire inoubliable qui rend tout le monde heureux et un grand sens de l'humour. Mon père m'a dit qu'il est tombé en amour avec ses rieurs yeux verts que je n’ai pas hérité, malheureusement. Sa taille est trop petite et elle n’est ni trop mince, ni trop ronde (au moins j'ai hérité ça de ma mère). Mais c'est bien sûr que ses lèvres qui me baiser du soir et son nez qui "sent" quand quelque

car elle contient dans ses scènes plusieurs de ses idées. On le voit tout d'abord par la censure lors de ca parution, la pièce du Mariage de Figaro dénonçait trop de valeurs des lumières. Le Mariage de Figaro humilié l'aristocratie, en mettant les rieurs du coté de Figaro. Louis XVI ne voulait prendre aucuns risques et fit lui même censuré la pièce. La pièce du Mariage de Figaro met en avant plusieurs idées du siècle des Lumières. Nous retrouvons la volonté de la fin de la noblesse, qui se rallie

versait des larmes, répondit : « je ne suis pas de la paroisse. » Ce que cet homme pensait des larmes serait bien plus vrai du rire. Si franc qu’on le suppose, le rire cache une arrière-pensée d’entente, je dirais presque de complicité, avec d’autres rieurs, réels ou imagi¬naires. Combien de fois n’a-t-on pas dit que le rire du spectateur, au théâtre, est d’autant plus large que la salle est plus pleine ; Combien de fois n’a-t-on pas fait remarquer, d’autre part, que beaucoup d’effets comiques sont intraduisibles

sa mère et qui a sa femme bien qu'elle soit partie avant l'épidémie. On sait que Tarrou s'est enfui de chez lui a 17 ans c'est pour cela qu'il ne voit plus ses parents. Il y a aussi le fait que l'on connaisse le passé de Tarrou mais pas celui de Rieu. Enfin, Tarrou meurt à la fin de l'oeuvre tandis que Rieux continue de vivre. On peut conclure que dans leurs vies personnels, tout oppose Tarrou et Rieux, l'un est réaliste et l'autre est idéaliste, l'un est en quête de reconnaissance et l'autre

Marie-Thérèse d'Espagne, future femme de Louis XIV. De 1658 à 1661, le poète habite à Paris, avec sa femme, ou à Château-Thierry pour y exercer ses charges. C'est dans sa ville natale, entre 1659 et 1660 qu'il fait représenter par des amis sa pièce :Les Rieurs du Beau-Richard. A Vaux, La Fontaine retrouve, Maucroix, Charles Perrault, il fréquente les plus grands artistes, des financiers, parmi lesquels le banquier Herwarth. Le 17 août 1661, Fouquet donne une fête en l'honneur du roi et de la famille

dénoncer les abus du roi qui exile tous ses opposant « hors des murailles » de la France et qui « rit » de leur sort  Le thème du rire est présent dans tout le texte (commence dès le vers 5) il est question d’un « roi toujours riant entouré d’autres rieurs » (il fait allusion ici à la cours et aux riches aristocrates qui veulent s’attirer les bonnes grâces de l’empereurs On peut presque parler de contagion dans le poème) = Napoléon III face aux critiques d’Hugo. Hugo choisit de reprendre cette œuvre

la particularité d’être un phénomène sociale et morale d’une grande ampleur, le rire exprime un sentiment de gaieté, c’est un sentiment considéré plus ou moins propre à l’homme. Bien que le rire soit manifestement joyeux et positif, pour le ou les rieurs, il est excluant, agressif, moqueur, pour la plus part des cas. Ainsi Gustave Flaubert dans sont roman « Madame de Bovary » traite de l’exclusion du rire, rejoins par Olivier Mongin dans sont article « De quoi rire ? » Qui avance sur la méchanceté