Les Risques L Individualisation Des Salaires

cycle lorsque les fluctuations de l’activité économique sont récurrentes et que les phases sont similaires. Un cycle se caractérise par 4 phases : L’expansion (essor, prospérité) : phase où tous les indicateurs progressent, les profits, les salaires, la production, le commerce, l’emploi augmentent. La crise : période brève, on parle aussi de « krach », où la tendance se renverse. Au sens strict, c’est le moment bref du cycle où la période de croissance se transforme en phase de récession

territoriale, européenne et internationale. - professionnelle, avec l'apparition de nouveaux niveaux de négociation qui ont été reconnu par la loi du 04/05/04 sur le dialogue social. - thématique, si la négociation reste longtemps sur le thème des salaires, aujourd'hui les accords portent sur des thèmes de plus en plus variés : de la formation professionnelle à la protection sociale complémentaire, en passant par le temps de travail et l'emploi. ! 25/01/13 ! 2. L'entreprise et la négociation

Neuchâtel les choses sont explicitées en 1889. L’idéologie bourgeoise prône l’exclusion des mères du marché du travail car trop fragiles. Cet idéal s’impose comme modèle mais pas dans les milieux populaires. Chez les femmes le salaire peut être 70% de moins qu’un homme, c’est un salaire considéré comme d’appoint. Main d’œuvre féminine convoitée pour son coût et sa flexibilité. Toutefois, elles sont d’abord considérées comme des mères devant s’occuper de l’éducation des enfants, leur destinée est d’être

TD StatistiquesTD de Statistiques Présentation 3 TD1 05/02 3 Chapitre 1 : Pourquoi et comment faire des statistiques ? 3 Histoire et vocabulaire essentiel de la statistique 3 Introduction 3 I – Les débuts de la statistique : entre science et administration 3 Etymologie 3 La statistique avant la statistique 4 Statistique publique vs les statistiques: le cas de la France 4 L’institutionnalisation de la statistique avant 1945 5 Un précurseur de l’usage scientifique: Adolphe Quételet 5 Sociologie et

personnalisation (ou de l’individualisation) Cette logique qui répond à la diversité des salariés (à leur besoin de reconnaissance et de développement), irrigue les politiques d’emploi (du recrutement à la gestion de carrière), de rémunération (individualisation des salaires, de la protection sociale complémentaire), de la formation (PIF, CIF, DIF), d’aménagement du temps et de communication. Elle développe aussi certaines pratiques telles que les systèmes d’évaluation, les PPP, les bilans de compétences…

d’entreprise : l’innovation est un facteur incontournable de progrès. Elle implique une imagination fertile et des recherches continues. L’esprit d’entreprise est l’aptitude à créer et à gérer des entreprises : l’entrepreneur type ne craint pas le risque de perte inhérent à tout projet. Il est fonceur, dynamique et courageux. L’épargne : condition nécessaire à la réalisation de l’accumulation du capital. La souplesse (flexibilité): elle facilite l’adaptation aux changements qui accompagnent

contrats. La relation contractuelle est négociable entre l'employeur et le salarié. Le contrat de travail est forcément juste puisqu'il résulte de deux consentements. Il existe des contrats journaliers puis des CDI et CDD. Liberté contractuelle sur les salaires, le temps de travail etc. La question des limites s'est posé très vite dans cette liberté contractuelle. Ex : conditions du travail des enfants. Lire Zola, Marx. Il fallait installer des limites pour protéger la qualité humaine des enfants, des femmes

est aujourd’hui une obligation légale, si bien que la formation est prise en compte dans les budgets et qu’un plan précis de formation est établi. En donnant du sens à la politique de formation, l’entreprise a réellement un moyen pour devancer les risques de pertes de compétences ou de manques vis-à-vis de la concurrence. La mise en place d’un processus de formation permet aussi bien l’écoute du personnel que la mesure des acquis de la formation ainsi que la maîtrise de toutes les

Objectifs du chapitre. 8 a - Les finances - le récolement des données. 8 b - Les finances - Les prévisions de trésorerie 8 c - Les finances - bilan et compte de résultat 8 d - Les finances - l'analyse de la valeur de l'entreprise. 9 - Conclusion - les risques, le suivi et la veille. 9q - Conclusion - les questions 10 - Les Annexes 2 LE BUSINESS PLAN Iº PARTIE - FONDEMENTS ET DÉTAILS 1 - QU'EST CE QU'UN BUSINESS PLAN ? QUAND? POURQUOI L'ÉTABLIR ? Le business plan est un document écrit qui expose

renferme plus de problème qu'elle n'y répond. On a vu à travers l'influence du Jansénisme que se qui est revendiqué est d'avoir un avis personnel et d'en faire part publiquement, de l'inscrire dans des réseaux de discussion. On a donc bien une individualisation de l'opinion. Quand on parle de l'église, on fonde le pouvoir du clergé par le fait qu'un texte n'est abordable que par les représentants de l'église (latin). Lorsque le protestantisme sort, il est abordable par tous c'est se qui fait se lever