Les Salons Mondains

objets d'étude et en dépassant les cadres nationaux4. Sommaire 1 Significations usuelles 2 Traits dominants 3 Combats des Lumières 4 Sciences et savants à l’âge des Lumières 5 « Des espaces publics critiques » 5.1 Salons 5.2 Académies et sociétés littéraires 5.3 Franc-maçonnerie et Lumières 6 Géographie des Lumières 6.1 Naissance des États-Unis : quête du bonheur et droit à la liberté 7 Civilisation matérielle 8 Sensibilité

vite...". 3. Visites à Mme Forestier et à Mme Walter. Toujours Rachel. Et, de nouveau, Mme de Marelle. 4. Conversations chez Mme Walter. L'académie. Le journal et la rubrique des échos. Comment fonctionne "La vie française". Les salons mondains et la peinture. Nobles et parvenus. Le Bois et sa faune. Chap. VII: 1. Forestier, malade, s'en va. Une histoire de duel: lâcheté et courage de Bel-Ami. 2. Duroy acquiert de l'importance et signe "quelques articles de fond...".

est professeur de médecine à Paris), Marcel Proust est un enfant de santé fragile et toute sa vie il aura des difficultés respiratoires graves causées par l'asthme. Très jeune, il fréquente des salons aristocratiques où il rencontre artistes et écrivains, ce qui lui vaut une réputation de dilettante mondain. Profitant de sa fortune, il n'a pas d'emploi et il entreprend en 1895 un roman qui restera à l'état de fragments (publiés en 1952, bien après sa mort, sous le titre Jean Santeuil). En 1900, il

de Riom. Sa famille est de petite noblesse. En 1710, il ambitionne de suivre la voie paternelle et entre en Faculté de droit à Paris. Après sa rencontre avec Fontenelle, cumulée à la fréquentation du salon de Madame de Lambert, Marivaux repère les esprits modernes et s’initie à la préciosité mondaine. Son premier texte est le Père prudent et équitable, ou Crispin l’heureux fourbe en 1712. Il développe alors son observation critique, s’engage dans la bataille contre les classiques et s’essaye à de

Déjeuner sur l’herbe, oeuvre choquante Le tableau Déjeuner sur l’herbe d’Edouard Manet fut rejeté par le jury du Salon de 1863 et conspué au Salon des « refusés » où il fut exposé sous le titre Le Bain. Le scandale portait sur deux points : le sujet et la facture. Edouard Manet Le déjeuner sur l’herbe 1863 Huile sur toile H. 208 cm ; L. 264,5 cm Paris, musée d’Orsay À l’avant-plan, une femme nue est assise entre deux hommes vêtus avec soin et qui semblent converser entre eux en l’ignorant

femmes. Enfin Vautrin se dit quand à lui marchand. Ses connaissances sur la société l'entraine dans certaines déviances qu'il tentera d'apprendre à Rastignac.Recommandé par Mme de Beauséant sa tante, Eugène Rastignac se rend un jour à une soirée mondaine que donne l'une des femmes les plus influentes de la capitale. Là il est ébloui par la Comtesse Anastasie de Restaud qui n'est autre que la fille ainée du Père Goriot. Il se rend chez elle lorsqu'il est brutalement congédié. Rendant visite à sa

cette conjonction de coordination. II – Le ton de l’argumentation : l’auto parodie Vincent Voiture adopte un ton faussement solennel, multipliant les tournures et références précieuses afin de faire sourire l’auditoire : c’est un faire valoir mondain. Décalage entre le fond et la forme : la forme est très recherchée alors qu’il ne sagit que de la défense d’une syllabe. Décalage entre les intentions de l’Académie et la façon dont il les présente (l 3-4). On le retrouve des lignes 18 à 23 :

était réinterpréter à plusieurs reprise par de nombreux artistes tels que Jacquet, Picasso, Monet... Cette toile s’appelait « Le bain » puis « la partie Carrée » ce qui a provoqué un scandale et n’a donc pas été accepté au Salon de Paris. En 1863 la toile fut acceptée au Salon des Refusés, ordonné par Napoléon III. Elle en constitua la principale attraction, objet de moqueries et source de scandale. Les dimensions de la toile permettent d'intégrer des personnages grandeur nature. Analyse : À

Lumières a ainsi ses lieux privilégiés : cénacles des grandes villes thermales, cours des capitales européennes, chambres de lectures, théâtres, opéras, cabinets de curiosité, salons littéraires et salons artistiques, voire salons de physique à l’instar de celui animé par l’abbé Nollet, Académies, loges maçonniques, cafés mondains, clubs politiques à l’anglaise. Dans ces cadres nouveaux ou renouvelés, les gens de lettres prennent le pouvoir de la critique et font vivre débats esthétiques, querelles littéraires

faire écuyer lorsqu’il rencontre un ancien camarade d’armée, Charles Forestier, devenu rédacteur à La Vie française, le journal du banquier juif Walter. Invité à dîner par Forestier, qui le présente à Walter, l’ancien militaire entame sou éducation mondaine et professionnelle : il doit remettre dès le lendemain une chronique sur les souvenirs rapportés de son aventure durant la campagne d’Algérie. Devant l’angoisse de la page blanche, il songe à demander l’aide de Forestier qui le renvoie à... sa femme