Les Salons Mondains

aisément grâce aux noms propres (Rubinstein et Planté, célèbres pianistes du début du XXème siècle), à l’atmosphère de réceptions bourgeoises qui s’exhale de ces lignes, que le roman se déroule à l’époque de Proust, au sein de ces sociétés mondaines ou pseudo mondaines. L’auteur accorde une place de choix à la présentation des soirées chez les Verdurin, ce qui nous donne un aperçu du rôle majeur qu’elles occuperont au cours du récit. Ensuite, de nombreux détails sont donnés sur les différents personnages

temps perdu. Ce récit nous raconte la liaison entre Swann, jeune homme passionné d’art et issu de la haute aristocratie, et Odette de Crécy, demi mondaine. Dans ce premier passage, Proust nous plonge dans un monde qui n’est pas celui de Swann : au lieu de nous montrer le milieu où évolue le héros, il nous montre le milieu où il ne devrait pas aller, le salon de Mme Verdurin. Nous verrons tour à tour le portrait de la famille Verdurin, puis plus précisément celui de la maîtresse des lieux, Mme Verdurin

arrive fort en colère dans le salon de Célimène, en compagnie de son ami Philinte, à qui il reproche violemment d'avoir prodiqué des témoignages d'amitié à un individu qu'il connaissait à peine. En vain, Philinte, qui est disposé à s'accommoder des défauts humains et à les traiter avec indulgence, invoque-t-il les usages du monde ; Alceste, homme d'esprit passionné et intransigeant pour qui l'exigence de la vérité prime tous les autres devoirs au sein d'une société mondaine dont les rites et les usages

JEAN BERAUD (1849-1936) Après des études au lycée Condorcet, Jean Beraud devient élève de Léon Bonnat et participe au Salon pour la première fois en 1872. Mais il ne connaît le succès qu'en 1876, grâce à son tableau Le Retour de l'enterrement. Il devient un des principaux peintres de la vie parisienne. Il peint avec réalisme le milieu feutré de la bourgeoisie, les petits métiers, l'ambiance des cafés, les rues de Paris et environ 200 portraits. En 1887, il est nommé chevalier de la Légion d'honneur

Proust fréquente le salon avec son ami le compositeur Reynaldo Hahn, le livre passe à peu près inaperçu et la critique l'accueille avec sévérité. Il en dit tant de mal qu'il se retrouve au petit matin sur un pré, un pistolet à la main. Ce livre vaut à Proust une réputation de mondain dilettante qui ne se dissipera qu'après la publication des premiers tomes de À la recherche du temps perdu. La fortune familiale lui assure une existence facile et lui permet de fréquenter les salons du milieu bourgeois

de l’œuvre : Ce drame se joue autour de trois personnages : Garcin, Inès et Estelle. Ils sont ensemble en enfer et vont se disputer jusqu'à l’éternité. Certes, l’enfer, c’est les autres. Voici qu’un garçon d’étage introduit dans un salon style Second Empire, Garcin le journaliste publiciste. Garcin se renseigne sur des choses comme les instruments de torture et des articles de toilette, mais le garçon se moque de lui parce que l’on n’a pas besoin de ça en enfer. On n’a pas besoin de

chien noir (œuvre exposée au Salon de 1844), le chien étant un épagneul qu'il a acquis la même année ; d'autres autoportraits suivent, où il se représente en homme blessé ou en homme à la pipe. Il se lie avec des artistes tels que Charles Baudelaire, Hector Berlioz… dont il a fait les portraits . Sous l’impulsion de Jules Champfleury, Courbet jette les bases de son propre style ; le réalisme . Jules Champfleury rédige pour le peintre la liste de ses œuvres pour le Salon de 1849 et en aout il fait

richesse de sa famille, lui ouvrent vite les portes des salons parisiens. Son père meurt alors qu'elle n'a que quinze ans. L'année suivante sa mère se remarie avec le chevalier Renaud de Sévigné, l'oncle de la Marquise de Sévigné. Celle-ci devient l'amie intime de Marie-Madeleine. Elles resteront amies toute leur vie. A seize ans, Elle acquiert une éducation littéraire avec Ménage qui lui enseigne l'italien et le latin, et l'introduit dans les salons littéraires en vogue de Catherine de Rambouillet

le caractère des personnages. Puis, nous nous intéresserons à la critique que Voltaire fait de certains de ces contemporains. Axe 1 Le XVIIIème siècle voit se développer une nouvelle forme de réunion mondaine née du besoin de divertissement des nobles ayant quitté la cour de Versailles : le salon qui est très souvent tenu par des femmes. C’est aussi l’espace dans lequel évoluent les Candide dans cet extrait Tout d’abord, nous pouvons remarquer le champ lexical du malheur pour décrire les joueurs

jnx + gds tirages. Ex 1 : Goncourt décerné en 1903 pr la 1ere fois / Le fémina en 1904 Ex 2 : Le Feu d'Henri BARBUSSE paraît en 1906 dans les colonnes du Matin . Certains romanciers se mêlent aux milieux mondains ds salons où jouent gd rôle . Salons de Mme Arman de Callavet , Mme de Strauss sont célèbres. Mécènes comme Noailles, Blanche de Polignac , le comte de Beaumont. Appui imp pr surréalistes. Certains romanciers psts sur scène politique et sociale. Parmi ceux