Les Salons Mondains

Tout d’abord, voyons quel vices sont les plus importants dans ces deux pièces. Le Misanthrope répond très bien aux règles du théâtre classique, l’unité de lieu y est parfaitement respectée puisque toute le pièce se déroule dans le salon de Célimène. Ce salon mondain est en quelque sorte un prolongement de la Cour, voire une petite Cour qui gravite autour de la maîtresse de maison : Célimène. Or la Cour est célèbre, à l’époque aussi, pour être un lieu où tous les vices se rencontrent, spécialement

Baudelaire (1821-1867) | Mouvement littéraire : Genres de texte : poésie en vers , poème en prose, critique d'art. Œuvres majeures : → Les Fleurs du Mal (1857) → Spleen de Paris (1869) → critique d'art dans ses Salons. Biographie : → Perd son père dans son enfance. → Pardonne pas à sa mère de s'être remariée avec un militaire qu'il déteste. → Quitte vite le foyer familial. → Fréquente la bohème parisienne. → Voyage contre son gré dans

de Rome, mais va s'instruire de son propre chef. A son retour il va prendre un atelier et un faire une sorte de petit salon mondain où l'on parle de Beaux arts, etc. mais aussi de politique. Au salon de 1847 : Le Buveur d'Absinthe. Personnage non honorable par son activité. Manière de revenir sur la hiérarchie des genres, les règles académiques du portrait. Oeuvre refusée au salon alors que Couture faisait partie du Jury. Cette image va rendre populaire un type qu'il copie de l'Espagne, empreinte

CONTES DE FÉES.......................................................... .................4 A. DÉFINITION...........................................................................................................................4 B. UNE LITTÉRATURE MONDAINE ET FÉMININE.............................................................5 C. FÉES « MODERNES » ET FÉES « POPULAIRES »............................................................9 CHAPITRE II : AUX FRONTIÈRES DE L’ « ART » SAVANT ET DE L’ « ART

Lumières et philosophe français. Fils d'un notaire, François Marie Arouet né à Paris dans un milieu bourgeois et aisé, il reçoit une éducation humaniste et mondaine, sa mère meurt quand il atteint 7 ans. Il poursuit ses brillantes études de rhétorique et de philosophie chez les jésuites du collège Louis Le Grand. Dès 1712, il fréquente les salons littéraires et la bonne société, tout en poursuivant des études de droit. En 1716, son père veut l’envoyer à Saint-Domingue, il lui répond avec ses écrits

y obtient de brillants résultats. Il y est cependant isolé des autres et mal compris. En parallèle de ses études de droits et de sciences politiques, Proust fréquente des salons aristocratiques où il rencontre artistes et écrivains, ce qui lui vaut une réputation mondaine, ce sont les salons littéraires de la Sorbonne (Les salons de Faubourg St. Germain). Les Plaisirs et les Jours est un recueil de poèmes en prose et de nouvelles publié en 1896. Ce recueil s'inspire fortement du décadentisme et notamment

plaisirs. Il aime aussi la grandeur et les honneurs. Il instaure autour de lui une vie de cour brillante avec ses activités intellectuelles, artistiques et mondaines. La cour est un phare qui attire les regards, un modèle de savoir-vivre, une petite société à imiter. 1.3. Le contexte socioculturel Les aspirations de l’époque à une vie mondaine élégante se cristallisent autour d’un idéal qui est celui de l’honnête homme. L’art de vivre honnête est né en réaction contre la grossièreté des manières

mère, il fut élevé par son père, qui occupait la fonction de greffier au parlement.  Il étudia la théologie, puis le droit, et devint avocat en 1656. Dès 1657, il décida alors de se consacrer à la poésie. En 1653 il fut introduit dans des cercles mondains et distingués, où il put faire ses premières armes en littérature.     Il s'illustra d'abord dans le genre satirique (ses premières satires (I à VII), composées de 1657 à 1665) Le Chapelain décoiffé (1665), parodie du Cid. A partir de  1669, cependant

titre « Les Dangers de l'inconduite », en 1934 sous le titre : « Papa Gobseck » une version enrichie des « dangers de l'inconduite » et en 1842 publication sous son titre définitif : « Gobseck » Lieu : La narration initiale se passe dans le salon de la vicomtesse de Grandlieu à la ligne 2 puis ligne 675, ligne 1437, ligne 2119. La maison de Gobseck rue des Grès raconté par Derville à la ligne 124 et 730. Chez la Comtesse de Restaud rue du Helder à la ligne 412 et 1492 Chez Fanny Malvaut

d'Édouard Manet datant de 1862-1863. D'abord intitulé Le Bain, puis La Partie carrée, il a provoqué un scandale lorsqu'il a été proposé au Salon de Paris et a été l’objet de moqueries et source de scandale. La juxtaposition d'une femme nue et de deux hommes tout habillés a suscité la controverse lorsque l'œuvre a été exposée pour la première fois au Salon des Refusés en 1863. En effet, même si Manet revendique l'héritage des maîtres anciens et s'inspire de deux œuvres du Louvre (Le Concert champêtre du