Les Sciences Criminelles Empiriques

pouvoir, - de certaines institutions privées (statut de la terre, droit du mariage, droit des obligations). Ce cours est tout particulièrement recommandé pour se présenter aux concours comportant une épreuve de culture générale. INTRODUCTION A LA SCIENCE POLITIQUE Matière obligatoire avec TD optionnels - Premier semestre Descriptif de la matière : 2 L’objectif de ce cours est de fournir aux étudiants quelques « clés » pour mieux comprendre ce qui se déroule dans l’univers politique et d’en saisir

5.6 Région possédant un système juridique spécifique 6 Les grands procès 6.1 Les premiers procès : Socrate et Jésus 6.2 Procès au Moyen Âge 6.3 Procès collectifs 6.4 Procès modernes et « Affaires » criminelles 6.5 Procès internationaux 7 Représentations de la justice dans les arts 7.1 Le thème de la justice en littérature et au cinéma 7.1.1 Iconographie de la justice et allégorie de la justice 7.2 Représentations

certaine liberté et par là même comporte de l'imprévisible, ce qui explique la liberté de l'homme puisque son âme est faite d'atomes. L'éthique : se libérer de toute crainte Épicure subordonne la recherche du vrai à la poursuite du bonheur. La science est en vue de l'éthique. La connaissance de la physique a pour but la paix de l'âme : dissiper les terreurs de l'esprit. Si la théorie de la connaissance ne fait que développer les conséquences nécessaires et logiques du principe de la fidélité aux

stigmate d’Erving Goffman est opérante, à ceci près pour Robert F. Murphy que le cadre établi est trop général pour tenir compte du statut spécifique des infirmes et de son sens par rapport aux populations en marge comme les minorités ethniques ou les criminels par exemple. Si invalides, délinquants et minorités raciales sont!stigmatisés, leur!degré de culpabilité n’est pas du même ordre. ! La théorie de la liminalité ! Si le délinquant choisit son destin, il en va autrement du tétraplégique

ami Gwinner la chute de Napoléon III : Il est trop mauvais", lui disait-il. Il ne portait pas davantage dans sou cœur le premier Bonaparte, ainsi qu'on le verra au cours de ce volume. Schopenhauer rencontre sur son chemin la question du jury criminel, et, en vertu du même courant d'idées aristocratiques, il la résout en un sens peu favorable à cette institution de tout temps si discutée, et de nos jours plus que jamais. Il est vraiment plaisant de l'entendre fulminer contre ces tailleurs" et

dédaigneusement abandonnées aux classes inférieures. Devant elles, on voit de plus en plus reculer les fonctions militaires, administratives, religieuses. Seules, les fonctions scientifiques sont en état de leur disputer la place ; et encore la science actuellement n' a-t-elle guère de prestige que dans la mesure où elle peut servir à la pratique, c' est-à-dire en grande partie, aux professions économiques. C' est pourquoi on a pu, non sans quelque raison, dire de nos sociétés qu’elles sont

Droits et devoirs du citoyen 3° - La protection juridique des citoyens § 2. - Le régime politique de la Cité 1° - L'Assemblée populaire : l'ecclesia athénienne 2° - Les magistratures 3° - Les Conseils SECTION 2 – SPECULATION PHILOSOPHIQUE ET SCIENCE POLITIQUE § 1. - La nature du droit 1° - La loi positive 2° - Les normes juridiques supérieures § 2. - Les formes de gouvernement 1° - Hérodote 2° - Platon 3° - Aristote La Grèce n'a pas connu pendant longtemps une véritable unité politique

statut de la science dans l'antiquité et au moyen age Le mot science evoque a la fois le savoir et le savant. Dans l'antiquité greque, cette notion n'est pas séparée d'autres notions et notament des notions religieuses. Pour Aristote, la science concerne a la fois le necessaire et l'eternel. Dans le moyen age chretien, la science n'est pas d'abord celle des hommes et seul Dieu a la science, c'est a dire la connaissance parfaite des choses. L'idée de separer les differentes science ne va pas de

Fricker, Université de Genève Stefano Spinelli, étudiant, Université de Genève Alain Schoenenberger, économiste consultant Georges Peters, Université de Lausanne Christian-Nils Robert, Université de Genève Robert Castel, Ecole des Hautes études en Sciences Sociales, Paris Daniel Delpeuch, Tribunal de Grande Instance de Grenoble Vito Malcangi, avocat au barreau de Milan Marialuisa Cesoni, Université de Genève Jacques Yguel, médecin, TRANS Pierre Guette, psychologue, CNDT avec la collaboration de: sous

des caractère fondamental du droit. II. LA SOCIOLOGIE DU DROIT En 1830, A. Comte introduit le concept de sociologie. Mais, c’est avec DURKHEIM, qui considère les faits sociaux comme des choses, que la sociologie se constitue vraiment comme une science. Cette réflexion sur les faits sociaux est très ancienne: les pré-socratiques se sont interrogés sur le phénomène des sécrétions de normes par la société bien avant que PLATON et ARISTOTE en explicitent la portée. Déjà, ARISTOTE s’interrogeait sur