Les Scènes De Repas

Annie Ernaux au cours d'un entretien avec Catherine Argand dans Lire (en avril 2000), c'est pour sauver ce qui a lieu, le faire exister par l'écriture, essayer de comprendre, explorer ce que j'ai vécu sans le connaître."  La place commence par deux scènes presque superposées: le récit des épreuves pratiques du Capes - qui va marquer définitivement l'entrée d'Annie Ernaux dans le monde de la bourgeoisie et de la culture - et la mort de son père au-dessus du café-alimentation à Yvetot. Annie Ernaux entame

et payantes. De plus, selon certains médecins, la télévision est dangereuse pour la santé. Ainsi, il est prouvé qu’elle favorise l’obésité car les téléspectateurs restent inactifs, font moins d’activités sportives et grignotent en dehors des repas mais elle provoquerait aussi des troubles du sommeil et de la concentration. Enfin, loin d’éveiller les jeunes, elle les abrutirait , nuirait à leur développement psychique et moteur : les scientifiques ont ainsi prouvé que le cerveau d’un enfant regardant

religieuses, pis tu fais comme elle : tu les entretiens, tu les laves, tu les époussettes... Pis comme t'es pas moman, pis que popa est pas là pour te faire souffrir comme tu voudrais, tu t'assis dans'cuisine pis tu repasses dans ta tête toutes les scènes que t'as vues ! C'est ça, hein?»2 Dans cette extrait, on peut constater que Carmen reproche Manon pour avoir suivit la religion autant que sa mère, tandis qu'elle, une femme libérée par la Révolution tranquille, agissait comme

l'immense dévouement et la générosité des habitants : chaque membre de cette famille est entièrement dévoué aux autres. Les grands-parents de Ma Yan, par exemple, aident un de ses oncles à la construction de sa maison. Ou encore, Ma Yichao laisse son repas à sa grande sœur, se privant lui même de nourriture. La mère de Ma Yan est très malade, mais elle ne cesse de travailler pour l'avenir de ses enfants. La jeune fille, à son tour, travaille à l'école dans le but d'offrir un meilleur avenir à sa mère

« que douze ans » = seize maintenant, pas en hiver (peut-être printemps / été ?), jeunesse étudiante de l'oncle, « le jour d'avant », « la nuit chez eux », « pendant le dîner, ce soir-là », « demain matin » « demain après-midi »), qui montrent deux scènes doubles et renversées : un événement important sur deux jours, entre une « veille » et son « lendemain », à quatre ans d'écart, l'une à l'extérieur au printemps (mai), l'autre à l'intérieur en hiver. Comment l'une appelle-t-elle l'autre ? b) paragr

Grandet, ancien tonnelier que d’habiles spéculations ont fabuleusement enrichi sous la Révolution, mais qui tyrannise sa famille de son avarice méthodique. Le jour de l'anniversaire de sa fille, Eugénie, qui se montre soumise à son despotisme, après le repas du soir à l'occasion duquel est esquissé le personnage de Mme Grandet, les Cruchot, puis les des Grassins viennent offrir leurs vœux et font assaut d'amabilité, la riche héritière étant l’objet des convoitises de ces deux familles. L'arrivée inopinée

retiennent et lui prouvent l’innocence du valet. Amphitryon rencontre Jupiter. Cette fois, la ressemblance le frappe. Il tente de tuer l’imposteur. Les autres n’agissent pas, n’arrivant plus à distinguer le vrai du faux. Les tensions s’apaisent le temps du repas Après un seconde rencontre avec Mercure, Sosie rejoint Amphitryon qui lui prépare sa vengeance. Elément perturbateur Dans la nuit allongée à la demande de Jupiter, Les deux dieux s’introduisent chez Alcmène. Mercure bloque l’entrée alors que Jupiter

(description de nobles, d'un bourgeois, de serviteurs et de paysans) et de caractères (Dom Juan, Sganarelle, Done Elvire). Giovanni Dotoli nous conseille de la lire comme un poème. Dénouement Un dénouement tragique, mais qui reste comique (acte V, scènes 4, 5 et 6). L'ambigüité du dénouement pose beaucoup de questions aux lecteurs. On sait que Dom Juan est emporté dans les flammes de l'enfer par la statue du Commandeur. Certes, la nature même de la pièce, théâtre de machine, et sa notoriété antérieure

Grandet, ancien tonnelier que d’habiles spéculations ont fabuleusement enrichi sous la Révolution, mais qui tyrannise sa famille de son avarice méthodique. Le jour de l'anniversaire de sa fille, Eugénie, qui se montre soumise à son despotisme, après le repas du soir à l'occasion duquel est esquissé le personnage de Mme Grandet, les Cruchot, puis les des Grassins viennent offrir leurs vœux et font assaut d'amabilité, la riche héritière étant l’objet des convoitises de ces deux familles. L'arrivée inopinée

il rencontre un groupe de paysans armés qui le questionnent à propos de son opinion, il répond qu’il est neutre et ils le laissent partir à la grande surprise du spectateur. Bertrand Tavernier et son scénariste Jean Cosmos ont consacré plusieurs scènes à cette partie de l’histoire, avec surtout la nuit de la st Barthélémy (1572) où le personnage principale, Chabannes, défend une huguenote vouée à la mort dans cette nuit de massacre, et perd ainsi la vie durant un combat, ce passage appartient au