Les Sens Et La Connaissance

scientifique s’apparente moins à une illumination qu’à la critique d’anciennes opinions ou de théories déjà vieillies. C’est en ce sens que le philosophe et épistémologue français Gaston Bachelard a pu écrire : « Il n’y a pas de vérités premières, il n’y a que des erreurs premières ». Ces erreurs premières, on le comprend, ce sont les préjugés et les prénotions que la connaissance doit mettre en jugement pour devenir objective. Faut-il en conclure que la vérité nous soit à jamais interdite, ou bien seulement

société ouverte et ses ennemis. Un ouvrage rédigé par Karl Popper, l'un des plus influents philosophes des sciences du XXème siècle. Dans cet extrait, il va développer la place de l'expérience et de l'observation dans l'acquisition de nouvelles connaissances. Jusqu'où l'expérience et l'observation peuvent-elle valider une théorie ? L'auteur répond à cette question en évoquant les théories d'autres philosophes et en nous démontrant la justesse de ses idées. Mais suffit-il de faire appel à la critique

il est réellement fait de ce dont il est fait (or, marbre, stuc, plastique, etc). C'est l'idée qu'il est fait d'or, de marbre… qui peut être vraie ou fausse. Mais comment savoir si un énoncé quelconque est vrai ? Comment peut-on démontrer 1 (au sens large : prouver) la vérité d’une proposition? Les sciences, qui passent aujourd'hui pour les disciplines les plus fiables et les plus rigoureuses, avancent-elles des théories dont vérité serait parfaitement établie? Si même les théories scientifiques

sociologique. Tout au long de l’article, on retrouve un questionnement autour du lien de la connaissance scientifique et de la connaissance ordinaire. Watier va se concentrer sur cette thématique principale, avec l’idée que la “connaissance commune”, dont on définira les fondements plus tard, n’est pas une rupture dans l'analyse sociologique, mais plutôt une “continuité”. Selon lui, les sociologue peuvent partir du sens commun pour développer une analyse sociologique. Le but de l’auteur est alors de faire

recevoir un sens et même étendre nos connaissances : elle est à la fois possible et a une réalité objective. Contexte et résumé : Kant reprend ce problème de la possibilité de la liberté, ou de sa compatibilité avec la nature de la réalité, dans ses propres termes, en revenant sans cesse sur les thèses exposées dans la Critique de la Raison pure. Il y avait cherché à quelles conditions nos connaissances sont objectives, et avait été amené par là à dénoncer l'’mpossibilité de toute connaissance métaphysique

et s’il y a quelque chose de certain. Le problème de Descartes : le fondement des connaissances. Descartes s’est proposé de s’assurer de la validité de toutes les connaissances qu’il a acquises. Il trouve en effet que l’école transmet des connaissances, certes, mais sur un mode dogmatique. Ainsi, il se propose d’examiner à quel titre cette connaissance en est une. Il s’agit de trouver un fondement de la connaissance autre que celui de l'autorité des professeurs (il s’oppose donc à toute autorité)

La connaissance de soi est-elle plus facile que la connaissance des choses? Ce corrigé porte sur le sujet : « La connaissance de soi est-elle plus facile que la connaissance des choses ? ». Ce corrigé propose quelques pistes de réflexion sur le sujet concerné. Une chose désigne la réalité, envisagée comme déterminée et statique, existant hors de la représentation; en ce sens, Kant utilise l'expression de "chose en soi". La connaissance, c'est l'acte par lequel un sujet s'efforce de saisir et

épistèmie = science ; logos = discours articulé faisant sens = Etude. *Philosophie métaphysique (grec : méta = au-dessus ; physica = choses naturelles, concrètes). -Divers sens du mot philosophie, parmi lesquels on trouve l’idée d’un art de vivre, l’idée d’une stratégie, l’idée d’être de philosophe = quelqu’un qui sait prendre du recul, l’idée d’une matière enseignée Equivocité : Q : Quel est le sens premier du mot philosophie ? -a) L’origine du

de la dimension culturelle par l’étude des positions de didacticiens. Les résultats, présentés en fonction de leur importance dans le cadre des nouveaux programmes, se divisent en quatre catégories de contributions : d’abord, l’acquisition de connaissances et le développement de compétences, puis le plaisir et, enfin, le développement personnel. Ensuite, des remarques sont formulées quant à l’écart entre les programmes et les discours didactiques, puis quant à la possible harmonisation des attentes

Que nous apprend la connaissance historique ? Introduction : Alors l'interrogation de la problèmatique : Que nous apprend la connaissance historique ? > suppose deja que l'histoire nous apprend quelque chose. Donc apprendre la connaissance historique nous questionne d'abord sur le pourquoi apprendre ? et quel est l'intéret d'apprendre ? puis qu'est-ce que la connaissance ? et bien ces mots sont en fait liés puisque pour atteindre la connaissance, c a d le fait d'être éclairé ou de gagner une certaine