Les Sentiments Des Poilus Dans Les Tranchées

vulnérables dans les conflits précédents. Les bombardements d'artillerie occasionnent environ 75 % des pertes directes. Les éclats d'obus tuent, mutilent et défigurent. Sous le feu des canons, des mitrailleuses, des mortiers, on se terre au fond des tranchées, dans les trous d'obus. On s'enferre dans les réseaux de barbelés du no man's land. Impossible alors de se présenter le corps droit et dressé face au feu comme jadis. Responsables de souffrances intenses, les gaz horrifient, même s'ils n'ont tué

Dans les tranchées, l’illustration - Histoire des Arts 1. Nature de l’oeuvre : C’est un dessin en N&B paru dans un magazine hebdomadaire français, “L’Illustration”. Ce magazine (1843-1944) a été le premier à publier en 1891 une photographie en N&B, et en 1907 une photographie couleur. De par son nom même, ce journal affirme l’importance qu’il accorde à ses illustrations, à ce que celles-ci relaient au lecteur en termes d’information et à leur pouvoir d’évocation. 2. Situer l’oeuvre dans le temps

combat. Texte 2 : extrait d'E.M. Remarque, A l'Ouest rien de nouveau Cet extrait se passe en 1918 et met en présence deux catégories d'hommes : les vétérans et les recrues. L'auteur fait partie des vétérans, puisqu'il a survécu 2 ans dans les tranchées en dépit de son jeune âge, 20 ans. Pour les désigner, EMR les surnomme : « recrues, mouches, moutons, lièvres, pâles figures de navets, ces jeunes, ces enfants, ces pauvres et braves chiens ». L'auteur animalise les nouveaux venus : mouches

sont longs, les combattants doivent faire face aux horreurs de la guerre, sans pouvoir voir leurs proches, un véritable esprit de famille s’installe alors entre les combattants qui se sentent pourtant seuls. La mort est omniprésente. La guerre des tranchées est une guerre immobile où les ennemis se font face. Lorsque les soldats sortent des boyaux où ils sont abrités ils se lancent alors pour des assauts suicidaires. Parcourant le front, ils risquent leur vie sous les balles et les obus du camp adverse

1918 - La révolution russe : 1917 - La carte de l’Europe au lendemain des traités Décrire et expliquer la guerre des tranchées et le génocide des Arméniens comme des manifestations de la violence de masse. Connaissances essentielles VIOLENCE DE MASSE pendant la Première Guerre mondiale La guerre des tranchées Une guerre de matériel Violence des combats, vie dans les tranchées Victimes nombreuses des batailles longues Mort anonyme Vers une guerre totale Conflit dans tous les espaces (air, terre

soldat Otto Dix est un peintre allemand, il s'engage volontairement dans la première guerre mondiale et combat dans les tranchées de l'Artois et de la Champagne ( front français) et sur le front russe. Il fait partie des peintres expressionnistes qui déforment la réalité pour provoquer une émotion. Pour Otto Dix, il s'agit de peindre les angoisses de son expérience dans les tranchées. Dans l'Allemagne nazie, ses oeuvres seront interdites et il sera relégué au rang des peintres « dégénérés ». C’est

mois avant sa fin,soit la signature de l'armistice. Géographique : Le film commence dans l'Allemagne même à l'école puis au camp d'entraînement et plus tard quand Paul sera en permission,mais il se passe aussi à l'ouest de l'Allemagne dans les tranchées et les hôpitaux. Le titre « A l'Ouest Rien de Nouveau » signifie que ce film se déroule à l'ouest de l'Allemagne et que des 2 cotés opposés rien ne change,toujours autant de morts,de violence,d'horreur. Sociologique : Le narrateur est le personnages

la 1ere guerre inaugure t-elle la mort de masse ? A-L'experience Combattante Pour se proteger des assault enemis et de les attendres.. Se sont des fossés creuser sur la longueur du front, les tranchées ne sont pas rectiligne, il ya des réseaux de tranchées. Les soldats sont en uniforme , ils sont poilues car il portent la barbe , les conditions de vie sont terrible. Les armes emplyer utilisées sont :les hobus,toxique et permet de tuer en masse. C'est une guerre moderne et industrille car on va

La guerre des tranchées demeurent encore aujourd'hui associée à la première guerre mondiale. C'est là que des millions de soldats ont passé, dans des conditions presque inhumaines, la plus grande partie du conflit. Ils y ont durement combattu sous les obus, pour défendre leur nation et s'emparer de l'ennemi. Les « poilus », nom donné aux soldats français,vivent dans des conditions catastrophiques, outre les souffrances morales omniprésentes qui leur ronge leur cœur, les tranchées prennent l'apparence

bombardements d'artillerie occasionnent environ 75 % des pertes directes. Les éclats d'obus mutilent, tuent, enfouissent les vivants... Sous le feu des canons et des mortiers, des mitrailleuses, on se terre, dès la fin de l'année 1914, au fond des tranchées creusées, dans les trous d'obus. On s'enferre dans les réseaux de barbelés du no man's land[2]. Essayés dès octobre 1914, utilisés largement à partir d'avril 1915, les gaz de combat (ex. : le chlore, le « gaz moutarde »...), responsables de souffrances