Les Sentiments Des Poilus Dans Les Tranchées

les cartes en main, le contenu est dévoilé parce « les jeux sont faits ». Ces derniers étaient même truqués puisque l’on remarque deux cartes identiques. Leur destin leur a échappé, il était écrit. L’expression des joueurs traduit également le sentiment qu’ils ont de leur propre perte et que celle-ci est due à un hasard arbitraire et tragique. Les cartes sont ici retournées comme le sont leurs enveloppes corporelles. Une précision méticuleuse sur lequel repose le substrat du travail de représentation

Commentaire de document Sujet: L'expérience combattante à travers les sentiments d'un soldat allemande (Otto Dix). Avant la première guerre mondiale, jamais aucune guerre n'avait touché autant de pays et un avec tel degré de violence. Cette guerre opposé la Triple Entente (France, Royaume-Une, Russie) à la Triple Alliance (Autriche-Hongrie, Allemagne, Empire Ottoman). Cette tempera sur toile a été réalisée par le peintre Otto Dix (soldat allemand agé de 23 ans au début de la guerre, est

retournent dans les tranchées “on s’en va là-haut en baissant la tête“. “On dit adieu aux civelots”, c’est une allusion à ceux qui échappent aux tranchées grâce à leurs relations haut-placées. “Notre place est si utile que sans nous on prend la pile” est une façon ironique de dire que les soldats vont se faire tuer au combat pour prendre une position à l’ennemi, laquelle sera reprise le lendemain. Refrain : L’anaphore sur “Adieu “(répété trois fois) témoigne du sentiment des soldats désespérés

renaissance 1700 1800 1900 2000 Dans l’espace géographique : [pic] Mes premières impressions: La peur avec beaucoup de cadavre plutôt l'ultra violence ,beaucoup de mort au début le tableau n'attirent pas les yeux un sentiment de repulsion avec un paysage ruiné avec des masque a gaz et des boules de feu sans oublier des hommes qui combattent . Présentation (auteur, titre, contexte): Le tableau s'appelle la GUERRE de Otto DIX qui est né en 1891 et mort en 1969

cette guerre se caractérise par son aspect extrêmement brutal qui concerne tout d’abord les combattants des différents pays engagés. Parmi ces combattants, le sort réservé à celui qui restera à jamais le symbole de cette guerre, le fantassin (ou « poilu » côté français) est à étudier en priorité. Développement

mitraillettes vont se révéler efficaces et meurtrières dans les tranchées. Il en est de même pour le lance flamme. En 1917, les chars d’assauts sont utilisés pour la première fois, en France c’est Renault qui assure la production. Pour l’historienne Hanson, c’est « la fin du modèle occidental de la guerre ». Pour cause, le champ de bataille est remplacé par des tranchées, trous creusés à même le sol pour se protéger des tirs ennemis. Les tranchées sont séparées par un no mans land et pas quelques barbelés

toute mauvaise façon de faire la guerre. 1. L'horreur des tranchées. Les soldats doivent affronter un certains nombre de difficultés dont la boue. Une fois les tranchées creuses, les soldats vivent sans cesse dans la guerre, la boue rentre partout, salissant tout de même la nourriture. La nourriture est très insuffisante souvent mauvaise et froide. Avant le combat les soldats ont toute fois droit à de l'alcool. L’appellation de poilus est donné aux soldats de la première guerre mondiale car

enthousiasme Doc 4 et 5 p 213 Répondre aux 3 questions Doc 4. La mobilisation dans les Alpes et Doc 5. La mobilisation dans la Beauce Dans ce village des Alpes – Val des Près – où vit Émilie Carles, c’est la stupéfaction qui fut le premier sentiment de la population, comme dans beaucoup de campagnes : « Quand on a entendu les cloches sonner, on s’est tous demander pourquoi ». La méconnaissance de la situation internationale est telle que l’on se demande contre qui la France est en guerre :

Des chirurgiens opèrent. Des financiers s’enrichissent. Des marraines écrivent des lettres. Mille millions d’individus m’ont consacré toute leur activité d’un jour, leur force, leur talent, leur science, leur intelligence, leurs habitudes, leurs sentiments, leur cœur. Et voilà qu’aujourd’hui j’ai le couteau à la main. L’eustache de Bonnot4. « Vive l’humanité ! » je palpe une froide vérité sommée d’une lame tranchante. J’ai raison. (…) Me voici les nerfs tendus, les muscles bandés, prêt à bondir dans

profondes de la Première Guerre mondiale I) QUATRE ANNEES DE GUERRE A) L’échec de la guerre de mouvement (carte p. 84) 1) L’engrenage des alliances 2 ) La bataille de la Marne et le front oriental B) La guerre de position 1) Une guerre de tranchées 2) Le tournant de 1917 C) La victoire militaire des Alliés 1) Les dernières tentatives militaires de l’Allemagne (carte p. 85) 2) La défaite des Empires centraux II) LES VIOLENCES DE GUERRE A) L’expérience combattante (étude pp. 88-91) 1)