Les Souhaits Morale

se pose diverses questions. Questions posées : 1) Qui sont les parties en présences et que demandent-elles ? Il s’agit d’un litige entre d’une part Isabelle et Cyril et d’autre part l’oncle de ce dernier. L’oncle de Cyril, demandeur, souhaite faire valoir que le chèque qu’il a fait à Isabelle et Cyril consistait en un prêt qui devait être remboursé dans le délai d’un an. Les défendeurs rétorquent qu’il s’agit d’un don, donc qu’ils ne doivent rien au demandeur. 2) Quelle est la juridiction

peut retirer à personne le droit de penser car on peut penser d’une façon et dire l’inverse. * Pour Spinoza, non seulement on est libre de penser, mais en plus, on doit exprimer sa pensée et la faire connaître aux autres par les moyens qu’on souhaite. * D’une part, le fait d’exprimer sa pensée est positif pour un état ; d’autre part, ll est normal que chacun se soumette à loi même s’’il la juge mauvaise. La thèse de l'auteur est donc la suivante : 
La liberté de penser et de parler par

____________________________________________________________________ Chaque homme sur Terre souhaite un jour être heureux dans sa vie. Cet état se définit par la jouissance du bonheur, mais le concept du bonheur peut recevoir plusieurs définitions en fonction de chaque individu. Le degré de bonheur atteint, le contentement de cet état n’est pas le même selon les individus. Il y a tout d'abord une contradiction apparente entre l'idée du devoir moral, et celle d'être heureux. Le bonheur se rapporte à notre égo, notre moi

ne pouvant être choisis simultanément. Cela nous montre que nul être n’est totalement libre de faire tout ce qu’il désire car l’action d’agir induit obligatoirement l’impossibilité de faire certaines autres choses. Prenons l’exemple d’un homme qui souhaite réfléchir intensément sur un sujet quelconque. L’effet de penser une chose est un choix car cela induit que l’individu ne peut en aucun cas traiter simultanément un autre sujet fortement éloigné. Cela nous permet d’introduire la notion d’espèce car

Morale Kantienne Kant met une limite à l’entendement humain, car selon lui, il est préférable de procéder sur un terrain limité mais clair, plutôt qu’un terrain sans fin et obscur qui se contredit et n’avance pas. Il veut donc resstreindre le champ de connaissance mais être certain. Contrairement aux empiristes qui remettent en cause la causalité, qui selon eux est une habitude psychologique et non un loi universelle, Kant rend cette loi de causalité aux sciences mais détache ce déterminisme

individualiste ▪ l’ethnisme : l’éthique concerne les principes moraux et la conduite. On surf sur le principe du retour de la « bonne morale », les distributeurs affichent leur donne conduite par les politiques qui affichent des principes moraux de bonne conduite. L’objectif : est à long terme (avoir un monde meilleur pour demain). Cette valeur est en forte corrélation avec l’écologie. ▪ L’écologie : développement d’un souhait du citoyen, de retour à la nature et au naturel. Il est essentiellement

Fontaine enrichie son texte en montrant l'importance de cette cérémonie et l’importance du Roi. Le Lion fait avertir toute la population. La Fontaine ne se rend pas de suite à l'essentiel comme Abstemuis l'a fait, il souhaite montrer un exemple pour ensuite appliquer dans la vie avec une morale sur le pouvoir du Roi et ce qui l'attendrie. En cette première partie, tous les animaux semblent très concernés, touchés par la mort de la Lionne. Il est vrai que dans le texte source, on passe trop vite à

est encore. Il actualise sa situation et on a l'impression qu'il y est encore. Au lieu du futur, il aurait dû employer le conditionnel, un souhait dans le passé, il nous fait vivre son aventure passé. Un effet de style direct, nous rend plus proche de l'auteur. On la vit avec lui et on souffre avec lui. L'imparfait nous plonge dans la rupture que ses souhaits n'ont pas été réalisés. c) Un apologue ? Ce sonnet met très en avant un conseil de vie générale. Travail de généralisation : le marinier

personne, passé simple, verbes d’action) et le présent de vérité générale de la morale, aussi bien aux lignes 21-24 qu’aux lignes 30-31. • On a bien donc un apologue : courte histoire qui illustre une morale, mais on en a en rtéalité deux : – le premier est une mise en scène de Zadig pour convaincre Ogul (14-26) morale énoncée des lignes 21 à 24. Le second est la manière dont Zadig se sort d’embarras, mais suivie d’une morale comique car l’effet est sans rapport avec la cause : en effet, Zadig (25-31)

conduit à une réflexion interne sur l’euthanasie, sur la morale individuelle et la morale collective.L’euthanasie peut-elle être vue comme une réponse à la souffrance des personnes agonisantes, son point de vue est présenté de manière claire tout au long de l’extrait ou il oppose sa logique habituelle, sa morale individuelle avec la morale collective et l’éthique médicale.I / Morale Sociale : les pensées d’Antoine prohibées pour un médecin 1 / Morale individuelle d’Antoine impactée par le cas du bicéphale