Les Suppliantes

tableau. Picasso peint le bombardement qui a lieu en plein jour, comme une scène nocturne et il oscille également entre intérieur et extérieur, comme le montre les tuiles romaines en haut du tableau et l’ampoule électrique au centre. A droite la femme suppliante et désespérée, lève les bras au ciel. Elle est entourée d’écailles évoquant les flammes de l’incendie. La porteuse de lumière, dont on ne voit pas le corps, semble venir de l’extérieur. Annonce-t-elle la fin du bombardement avec la flamme de la

cyclopes ainsi que pour obtenir les cadeau de l'hospitalité, il s'impose comme hôte parce qu'il veut des cadeau c'est de l'hospitalité biaisée (texte très bien travaillé) Achéens : grecques univers du pillage hospitalité = sans armes, posture du suppliant ce mettre genoux en enserrant les genoux du supplié = geste religieux immoral/amoral garder les normes/ignorer le normes jamais du coté amoral, c'est un texte grecque qui postule les règles grecques Polypheme : orgueilleux on appelle ça l'ubris

amicales. Il l’a demande en mariage mais elle refuse, un soir il l’a prend de force par les cheveux pour un baiser, elle se fache et ne se voit plus durant certains jours. Le dernier jour de juin, un mardi soir Coupeau il toque a sa porte en pleur l’a suppliant de se marier Gervaise refuse d’abord puis cède. Gervaise est trop faible et trop naive pour dire non « Gervaise peu à peu, s’attendrissait. Une lâcheté du cœur et des sens la prenait ». « Elle était dans une de ces heures d’abandon dont elle se

conjurant sa nation, en vue de l'avenir, de ne pas nourrir la colère de Zeus [...]. Le peuple, à ces mots, leva les mains pour approuver. Persuadée, la nation se rendait aux raisons de l'orateur, et Zeus nous exauçait.» . D'après Eschyle, Les Suppliantes. v. 460 av. J.C. [pic] Doc 3 : Le théâtre de Dionysos, Athènes, fin Vème' siècle. Il pouvait accueillir 17000 spectateurs. Doc 4 :Les problèmes de la démocratie selon Aristophane Praxagora et une seconde femme pointent les défauts

EXPLICATION LINÉAIRE - texte , séquence introprésentation texteTitre :¨La Princesse de Clèves auteur: Madame Lafayette date: 1678 Genre: RomanMouvement: Classicisme Registre : Tragique, Lyrique, PathétiqueLECTUREstructure- partie 1(l.1-12 ): aveux- partie 2 (l.13-35 ): réactionprojet de lecture Dans quelle mesure ce texte est-il un texte issu du classicisme ?dév.partie 1 (l.1-l.12)Aveu de madame de Clèvesl.1: “Eh bien” interjection qui montre la réaction immédiate à l’interdiction de rester

discrimination , Bakhita a manifesté son courage tout au long de l’histoire: - Quand elle était encore une jeune enfant tentant une fuite pour trouver sa famille avec Binah.- Quand elle a osé se tenir entre deux hommes adultes au milieu de la conversation, suppliant Legnani de l’amener avec lui en Italie. - Quand elle a refusé de suivre les ordres des Micheli, même si cela signifiait aller en justice. Tout cela montre qu’elle ne se conformait pas au role des femmes tel qu’il etait defini alors et qu’elle aurait

façon neutre. D’une part, Suzanne est en état de faiblesse, et elle reconnaît en partie ce qui lui est reproché (l. 8-11). D’autre part, elle s’abandonne littéralement, comme elle y insiste à la ligne 12 (« je leur tendis les bras ») et elle est suppliante (« je suppliai » l. 14, « j’appelais à mon secours » l. 17). L’utilisation, au centre du paragraphe et du texte, de l’hyperbole « j’étais dans un état à toucher des âmes de bronze » (l. 20), a pour objectif évident de toucher celle du destinataire

entrain de s'effondrer. En bas à droite, une femme se traîne péniblement. Elle est comme écrasée par quelque chose et relève la tête d'un air implorant. Elle semble blessée. Un peu plus loin à droite, une autre femme lève les bras désespérée et suppliante. Son corps n'est pas visible, mais elle est entourée d'écailles pointues qui évoquent un incendie. Elle cherche visiblement à atteindre la petite fenêtre, sans y parvenir. Sur la gauche, une femme porteuse de lumière apparaît. On aperçoit que son

se soumet à la moindre demande, effectue des gestes simples pour commencer, lève le bras, tourne sur elle-même, plie une jambe en petit soldat obéissant. Puis elle pose selon les requêtes, joint les deux mains pour prier, lève la tête en 30 suppliant le ciel, imite le crucifiement. Graduellement, ce qui paraissait être une simple démonstration d’hypnose progresse vers le grand spectacle, « la phase des grands mouvements », annonce Charcot. Désormais, Louise est à terre, on ne lui ordonne plus

et sans autre secours que d’un seul chirurgien (l.6 et 8). Ensuite le chirurgien parti et les pillages commencèrent. Pour finir les valets le voyant à sa dernière extrémité firent de même ignorant le duc se rabaissant de façon pathétique en les suppliant « Il leur cria pitoyablement » (l.11). Cette action nous montre que le duc est plein de désespoir et n’a plus aucune issue. Ce passage suscite la pitié du lecteur face à une mort misérable, d’autant plus pour un noble. Les conditions misérables de