Les Suppliantes

frise composée de trois parties, comme un triptyque, très utilisé en peinture : - le côté gauche occupé par le taureau, la femme et l’enfant - la partie centrale consacrée au cheval et à la porteuse de lumière - le côté droit où figure la femme suppliante. C’est une composition en triangle dont la torche constitue le sommet, comme un grand œil qui éclairerait la scène pour la mettre en lumière et témoigner des horreurs de la guerre.

analyserons le rôle de la nature qui déclenche et rappelle de nombreux souvenirs. D’abord, l’évocation du regret du temps qui passe est présente tout au long du texte. Le poète et sa bien-aimée s’adressent directement au temps et l’implorent, le suppliant de s’immobiliser, de se figer et le leur offrir encore quelques moments de bonheur pour profiter de leur amour et immortaliser leur heureux souvenir. Ainsi, dans la première strophe de ce poème, Lamartine manifeste le désir d’arrêter le fil du Temps

– sackun grand brûlé – a badly burned personTu parles – You’re joking ! Yeah, sure !sourd – deafdevenait (devenir) dure de la feuille – became hard of hearing guérir – to healfriable – crumbly, fragileéphémère – ephemeral, short-livedun ton suppliant – a pleading tonerapport - relationshipmenteuse – liarbourrage de crâne – brainwashingtournois – tournamentss’est penchée – leaned overpèsent (peser) – carry weights’incrustent (incruster) – become encrustedt’alourdissent (alourdir) – weigh/slow

défaillantes, obstinées quand même » , on peut observer une accumulation d’adjectifs qui traduisent l’état d’esprit des dames exténuées. Nous retrouvons le même procédé d’écriture traduisant le même sentiment dans le passage «  tous les yeux inquiets et suppliants, guettaient les banquettes chargées de monde ». Le verbe « guetter » accentue l’idée de fatigue au point que les femmes sont à l’affût du moindre espace libre pour se reposer. En plus d’évoquer la fatigue, l’auteur décrit les maux qui l’accompagnent

peut dire donc que ce discours utilise la rhétorique dans des divers aspects pour convaincre un public varié. Discours : L’âme de la masse n’est accessible qu’à tout ce qui est entier et fort [...]. La masse préfère le maître au suppliant, et se sent plus rassurée par une doc- trine qui n’en admet aucune autre près d’elle. La tolérance lui donne un sentiment d’abandon ; elle n’en a que faire [...]. La faculté d’assimilation de la grande masse n’est que restreinte, son entendement

je le nourris, je lui promis». On voit ainsi que l'acte de manger suit immédiatement celui de l'accueil par un hôte. Il fait parti du rituel de l'hospitalité, primordiale dans l'Odyssée et dans les récits grecs antique en général: «Un hôte, un suppliant, c’est autant dire un frère / pour l’homme qui n’est pas tout à fait sans raison.» C’est aussi par des rituels liés à la nourriture que les hommes témoignent de leur respect pour les dieux: les repas sont aussi des moments religieux, puisqu’ils

errance. Les Erinyes, rappelées à leur mission par le fantôme de Clytemnestre et chassées du sanctuaire par Apollon, reprennent leur chasse. Athènes. Quand elles rejoignent Oreste, celui-ci enlace déjà la statue d’Athéna. Répondant à ses appels suppliants, la déesse elle-même vient s’informer et refuse de trancher seule entre Oreste et les Erinyes : seul un tribunal où les voix humaines et divines se mêlent pourra juger une telle affaire. Au cours du procès, Apollon en personne vient plaider la cause

« t’adorer »  (l.18) - tournures présentatives : « c’est … qui/que » - p.p « tu » (l.6), « toi » (l.1, 4) - reprise du pronom toi. - Verbes à l'impératif : " daignes " (l.5), " fais que " (l.7). - Répétitions : supplie Dieu. - Formules suppliantes : " s'il est permis à " (l.2). - Dieu et ses qualités : " Dieu de tous les êtres " (l.1) + rep. « tout » ; rythme ternaire : Dieu universel et unique pour tout le monde  opposition grandeur divine/faiblesse humaine : « faibles créatures » souligne

réciprocité des corps. L'interjection laudative « Ô » v.25, ainsi que la récurrence de l'évocation du corps féminin (« jolies filles, gorges de femmes ») disent la désir du poète pour la cité phocéenne. Il est contraint de se placer en posture de suppliant (« je t'en prie ») pour obtenir un moment d'attention. La ville devient maîtresse; et son amant est sinon éconduit, du moins malmené, par une femme avide de liberté. C-La sympathie Enfin, plus qu'un amant, le poète peut être un cœur qui bat

219 « dévastant et détruisant tout sur leur passage » absence d’honneur et de pitié, référence à la méthode de la « terre brûlée » p. 219 «  n’épargner pauvre ni riche, lieu saint, ni profane « … p.221 » Tous se rendaient à leur merci, les suppliant de les traiter avec plus d’humanité » contraire des valeurs chevaleresques : combat à armes égales, protection du civil sans défense, respect des lieux saints et des hommes d’Eglise. absence de pitié l’armée de picrochole ravage tout p. 219 « n’épargnant