Les Suppliantes

entamée dès l'an 500[8]. Sur un total d'environ quatre-vingt dix pièces, il n'en subsiste aujourd'hui que sept. Six d'entre elles sont représentées entre 472 et 458, dans l'Athènes de Périclès : Les Perses (472), Les Sept contre Thèbes (467), Les Suppliantes (peut-être 463) et l'Orestie, sa treizième et dernière victoire (458)[9]. Eschyle rejoint ensuite la Sicile (où il s'est déjà rendu, à l'invitation du tyran de Syracuse Hiéron, après la représentation des Perses). C'est peut-être là qu'il compose

Questions : 1.a. - Les suppliantes écrit par Euripide en 422 a.v J.C - Les guêpes écrit par Aristophane en 422 a.v J.C - Les cavaliers écrit par Aristophane en 422 a.v J.C b. Ce sont des pièce de théâtre, ils parlent des pauvres dans la vie démocratique, chacun exprime une opinion sur ce sujet. Présente des critiques de la démocratie, montrent une liberté d'expression. 2. Chacun de ces trois textes adresse des reproches à la démocratie athénienne : - Dans Les Suppliantes le hérault thébain

l’hospitalité, dans la vie de tous les jours est pour les hommes un moyen de manifester leur respect pour les dieux. Les grecs se doivent d’accueillir chez eux tout voyageur même inconnu, Zeus étant vu lui-même comme étant le protecteur des hôtes et des suppliants. Lorsqu’un étranger se présente, son hôte est dans l’obligation de lui offrir la possibilité de se laver, de se changer, de se nourrir… La coutume est également de lui offrir un présent

Amitié vertueuse : amitié vis-à-vis d’un autre soi-même : amitié comme condition de la vertu Hospitalité qui fonctionne comme mariage et commerce : échange avec concept de réciprocité : lien utile et héréditaire. Étapes de l’hospitalité : Rituel suppliant (VI) Embrasse les genoux (se mettre à disposition de l’autre et l’empêcher de me nuire) Prière : ensuite parole Ulysse reste sur l’escalier : il s’exclut (chien) Sous le signe de Zeus : sacrifice La commensalité : Repas (fait de manger ensemble

CLYTEMNESTRE – Mon fils est devenu un assassin ! ORESTE – Je l’ai fait pour le bien des gens d’Argos, pour leur rendre le sentiment de leur dignité. Tu es complice d’Egisthe, tu dois mourir aussi ! Electre se jette aux genoux de son frère, en le suppliant. ELECTRE – Je t’en prie, c’est notre mère ! ORESTE – C’est notre mère mais elle a laissé Egisthe prendre le pouvoir pendant que notre père menait la guerre de Troie. CLYTEMNESTRE – Laisse moi la vie, je partirai loin et tu n’entendras plus jamais

qui l’emporta en 1817. Il est composé de seize quatrains hétérométriques, dans lesquels le poète se remémore un moment passé avec sa bien-aimée au bord d’un lac et se plaint de la puissance du temps corrupteur qui emporte les êtres aimés, tout en suppliant la nature d’être le conservatoire éternel de la passion brisée. Nous verrons donc que ce poème lyrique tente d’être une lutte avec le temps qui passe, en fixant pour l’éternité dans la chair même des mots, un moment de bonheur inoubliable. Ce

loyauté et la droiture. Poena metusque aberant = le châtiment et la crainte n’existaient pas ; nec verba minantia legebantur = et des écrits menaçants n’étaient pas lus ; fixo aere = sur l’airain gravé ; nec supplex turba timebat = et la foule suppliante ne craignait pas ; judicis ora sui = le visage de son juge ; sed (homines) erant = mais les hommes étaient (vivaient) ; tuti = en sécurité ; sine vindice = sans répression. Caesa pinus = le pin abattu ; suis montibus = sur ses montagnes ; ut viseret

s'obstinent à y croire. Ou bien, s'il leur arrive d'être stupéfait par un phénomène qu'ils n'ont jamais vu, ils croient que c'est un "prodige", qui manifeste les intentions des Dieux ou de Dieu. On voit cela dans toutes les fausses religions : des hommes suppliant la divinité et leur faisant des sacrifices pour s'attirer leur bienveillance. Dans les deux cas on les voit interpréter les phénoménes naturels au lieu de chercher à les expliquer. (ça c'est les exemples) On voit partout que ceux qui nous gouvernent

SOPHOCLE ŒDIPE ROI ŒDIPE Mes enfants, les derniers nés de la lignée du vieux Cadmos, Pourquoi restez-vous là, assis, Brandissant vos rameaux de suppliants ? Notre Cité entière, dans les fumées d'encens, Résonne de péans et de gémissements ; Je n'ai pas jugé bon, mes enfants, de vous envoyer Quelqu'un d'autre, je suis venu vous écouter moi-même, Moi, qui suis connu de tous sous le nom d'Œdipe. Dis-moi donc, vieillard, puisque tu es à même De parler en leur nom : que signifie cette posture

retrouve fragile et dévote - elle porte le « deuil » de D.J. - elle n’est pas incluse au troupeau des mugissantes : opposition lexicale sourire/mugissement, brillât/noir, douceur/se tordaient . Est-ce la seule qui a touché D.J. ? - en position de suppliante, tout son drame tient dans le rime signifiante : amant/serment Sa présence aux Enfers, de même que celle des autres personnages victimes de D.J. invite à lire le poème comme une fantasmagorie née de l’imagination de D.J. Ceci expliquerait l’aspect