Les Suppliantes

vous faut abandonner le gouvernement de la cité aux femmes. Nous en faisons bien déjà les tutrices et les trésorières de nos maisons. Aristophane, Assemblée des femmes, 392 avant J-C - Document 2 Dans cet extrait de la tragédie d’Euripide Les Suppliantes le messager de Thèbes répond à son tour à Thésée, qui vient de décrire la démocratie athénienne « […] La ville d'où je viens est gouvernée par un seul, et non par la multitude : on n'y voit pas un orateur agiter les têtes par de vains discours

tragédies et 20 drames satyriques. Il est 13 fois victorieux au total. Nous sont parvenues 7 tragédies : * Les Perses (Πέρσαι / Pérsai, 472 av. J-C). * Les Sept contre Thèbes (Ἑπτὰ ἐπὶ Θήϐας / Heptà epì Thếbas, 467 av. J-C). * Les Suppliantes (Ἱκέτιδες / Hikétides, 464-463 av. J-C). * L’Orestie (458 av. J-C). * Agamemnon (Ἀγαμέμνων / Agamémnôn). * Les Choéphores (Χοηφόροι / Khoêphóroi). * Les Euménides (Εὐμενίδες / Eumenídes). * Prométhée enchaîné (Προμηθεὺς δεσμώτης

Il s'agit d'un document source, extrait d'une pièce de théâtre, Les Suppliantes, tragédie d'Euripide. L'auteur, poète grec ( - 480,-406) est considéré comme « le plus tragique des poètes » . Selon la tradition, il aurait écrit environ 90 pièces. Il ne nous reste que 19 tragédies. Son oeuvre influencera profondément les écrivains classiques du XVIème siècle. Les Suppliantes ont été écrites en 422 avant JC, au moment où Athènes connait son apogée et fait l'expérience de la démocratie. Dans cet extrait

puissance du temps corrupteur, ce qui l’amène à demander à la nature de l’aider. (290 mots) EXEMPLE DE PLAN CADRE Énoncé du sujet : Montrez comment «Le lac» exprime une vision romantique en dénonçant la puissance du temps corrupteur et en suppliant la nature de se faire la mémoire éternelle des passions brisées. Idée directrice: «Le lac» exprime une vision romantique. IDÉES PRINCIPALES IDÉES SECONDAIRES EXEMPLES OU ARGUMENTS (preuves) 1. D’abord, «Le lac» exprime une

sont un peuple qui manifeste beaucoup cette hospitalité. Nausicaa ne s’oppose pas cette tradition et considère même les étrangers comme créatures divines, comme des suppliants. Après le discours flatteur d’Ulysse, Nausicaa l’avertit qu’il ne sera « privé ni d’habits, ni d’aucune chose qu’il convienne d’offrir aux misérables suppliants » ce qui montre bien l’hospitalité qu’elle a envers Ulysse. Calypso, quand à elle, fait de même avec Ulysse lorsqu’il vivait chez elle durant sept ans. Elle lui offrait

ornés de chapelets de mouches voraces qui m’effarouchaient comme une vision cauchemardesque tout droit sortie de mon imagination. J'aperçus d'autre figurants, petits enfants aux ventre ballonnés et déjà en fin de vie, plaçaient ça et là, me suppliant d'un simple regard de les sauver des griffes de terribles vautours sans pitié en appétit sur eux. Aux détours de ruelles scabreuses et colorées de villages indigènes, des hyènes squelettiques s’entre-tuaient pour pouvoir déguster avec délice une

statut sacré de l'étranger que se réclame Ulysse lorsqu'il s'adresse au Cyclope:Nous voici donc à tes genoux dans l'espoir que tu nous accueilles et que, de plus, tu nous fasses un don, selon la coutume des hôtes [...] Zeus défend l'étranger comme le suppliant, il est l'hospitalier, l'ami des hôtes respectables! À ces mots, il [Polyphème] répliqua aussitôt d'un coeur cruel: «Il faut que tu sois bien sot ou que tu viennes de fort loin pour me demander de craindre et de respecter les dieux!» Après que

l’homme, sachant qu’elle veut à tout prix mettre fin à leur fourberie, ne l’écoute pas. Au contraire, il lui demande de se taire ne voulant pas stopper sa soif physique du corps de la jeune femme. Elle essaye à mainte reprise de l’appeler en le suppliant de mettre fin à ce mensonge mais rien ne l’interrompt. Il devient trop haineux et déchaîné. « Elle [veut] résister, échapper à ce jeu, elle [l’appelle] par son prénom, mais il lui [impose] silence, disant qu’elle [n’a] pas le droit de lui parler

colère à travers son utilisation de : L’impératif, et la répétition de ces impératifs, voire même une anaphore : « Vous viendrez […] Vous viendrez » (vers 4) Des points d’exclamation et des jurons : « je vous veux ! Pardieu » 2. Le caractère suppliant de Doña Sol Des interjections en début de tirade de plainte : « Par pitié ! », « Seigneur ! Oh ! » Doña Sol essaie de détourner l’attention de Don Carlos vers d’autres femmes de son entourage : « Vous êtes roi. Duchesse, marquise, ou comtesse,

Tout d'abord, Zola cherche à dramatiser la scène dans le but d'émouvoir son lecteur. Les groupes nominaux désignant Lalie [« l 'enfant » (l.13), « notre petite mère » (l.37)] mais aussi les adjectifs qualificatifs [« tremblante » (l.1), « suppliante » (l13), « si jeune » (l.23)] montrent la faiblesse et l'innocence de Lalie. Elle n'est qu'une enfant. Sa mort n'en est alors que plus émouvante et douloureuse pour le lecteur, qui prend pitié de ce personnage attachant. Zola dramatise aussi la