Les Trois Types De Domination De Weber

l'état 2 A - Une approche spécifique des concepts sociologiques 3 B - Les origines du monopole de la violence légitime : de la féodalité à l’Etat moderne 4 II) Weber : entre bureaucratie « utopiste » et critique 6 A - L’étude d’une conception wébérienne clef : l’Etat bureaucratique 6 B - Critiques et réflexions postérieurs de Max Weber 8 Conclusion 10 Bibliographie 10 Introduction Le monde ne semble se percevoir qu’à travers des oppositions. Opposition Nord / Sud, opposition entre

on verra comment le pouvoir est assimilé à la domination, ce qui permettra de parler de légitimé avant de se sur la notion de localisation politique. I. Le pouvoir, des approches différentes possibles On va ici déconstruire la notion de pouvoir, et montrer qu’en fonction de l’approche choisie on ne fera pas intervenir les mêmes acteurs ni les mêmes objets, et encore que le pouvoir ne se borne pas au seul pouvoir politique. Le pouvoir, trois approches possibles : - Le pouvoir dans une

Weber, Max (1864-1920) MAX WEBER (1864 – 1920)  Avocat et sociologue allemand. Son œuvre s'inscrit dans un contexte historique marqué par l'émergence des grandes organisations: administrations publiques, grandes entreprises, partis et syndicats de masse.Il est l'inventeur de l'Organisation Bureaucratique. Weber a présenté trois types d'organisation fondées sur la manière dont l'autorité est légitimée:- L'organisation charismatique : fondée sur les qualités personnelles u leader, qui détient

économique des religions mondiales, Weber établit une typologie des différentes formes de domination, il y construit une véritable sociologie de la domination. Il se propose d'identifier les raisons pour lesquelles la domination est acceptée par ceux qui la subissent, ce qui les poussent à obéir et sur quels principes les dominants s’appuient pour revendiquer le droit de dominer. Pour Weber ce sont ces motifs de docilité qui définissent le type de domination et surtout la nature de la légitimité

Max Weber Présentation : Max Weber est un fondateur de la sociologie allemande de la fin du XIXème siècle. Né d’une famille protestante, il adopte un mode de vie ascétique fondé sur le travail. Au tournant du XXème siècle, l’Allemagne s’impose comme une grande puissance européenne : les transformations économiques et sociales s’y succède à un rythme rapide et entraînent un déclin de la société traditionnelle. C’est dans ce contexte favorable que nait l’intérêt de Max Weber pour l’analyse de

La sociologie historique de Weber I. Les catégories fondamentales de la sociologie : D’après Weber «  Nous appelons sociologie une science qui se propose de comprendre par interprétation l’action sociale et par là d’expliquer causalement son déroulement et ses effets. » Par cette définition, Weber fait de la sociologie une science de l’action sociale, en opposition à l’approche holiste de Durkheim, pour qui la sociologie est une science des faits sociaux. De ce fait, l’activité sociale devient

faut pas les réduire à des déterminants purement historiques. Prétendre que les analyses de Marx et Weber sont périmées, c’est se condamner à ignorer certains outils, un certain mode d’interrogation social qui malgré l’époque résiste à l’usure du temps. Aujourd’hui, Max Weber est une figure de la sociologie en général est un des pionniers de la sociologie allemande. « Dans les années 20, Max Weber était encore loin d se détacher du groupe des spécialistes allemands en science sociale, alors qu’aujourd’hui

puissance se raréfie et où la crainte s’estompe. 3) Pensez-vous que les trois types de dominations définis par Max WEBER rendent compte de la réalité de la vie politique contemporaine ? Donnez des exemples. Les types de dominations exprimés par WEBER, la domination légale-rationnelle, la domination traditionnelle et la domination charismatique sont à mon avis effectivement présent dans la vie actuelle. La domination légale-rationnelle : Elle est bien entendu le cas le plus parlant, nombreuse

concepts qui lui sont liés tel que la domination, la soumission, l’autorité, la contrainte… Pourquoi les individus obéissent-ils ? Pourquoi se conforment-ils aux injonctions des gouvernants ? Et enfin, pourquoi reconnaissent-ils aux gouvernants le droit de les gouverner ? SECTION UNE : POUVOIR ET DOMINATION On ne peut parler de pouvoir ni de domination sans rappeler la relation entre gouvernant et gouverné, relation qui engendre des rapports de domination et de contrainte mais aussi une exigence

Ron Pascual Groupe 2« L’analyse du pouvoir et de la domination politiques dans un contexte démocratique doit toujours s’accompagner d’une réflexion sur les modalités de légitimation du pouvoir et les processus qui produisent du consentement » Lorena Parini, « Domination/Pouvoir », in Catherine Achin et al. , Dictionnaire. Genre et science politique , Paris : Presses de Sciences Po, 2013. Exercice 1, Cette