Les Trois Unites Andromaque

* Comédie et tragédie classiques (Molière, Racine). * Drame romantique (Hugo, Musset) et drame moderne (Ionesco, Beckett). * ► exercices sur les genres théâtraux. | FORMES | * découpage (actes, scènes) et règles de structure (cf. les trois unités des classiques). * texte conçu pour la scène (alternance discours / didascalies). * l'absence de narrateur entraîne une double énonciation (par exemple, sous-entendus ou quiproquos perceptibles par le seul spectateur). * relation des personnages

et littéraires (burlesques, mondains et précieux, doctes, libertins...) Le baroque 1636 début de l'œuvre de Corneille Corneille, Le Cid 1637 1659 début de l'œuvre de Molière Molière, Dom Juan 1665 1667 début de l'œuvre de Racine Racine, Andromaque 1667 Le classicisme fin du XVIIème Querelle des Anciens et des Modernes   La France Peu intéressée aux ressources de l’expansion coloniale. A un territoire plus restreint qu’aujourd’hui : elle ne comprend ni la Flandre, ni l’Artois,

de scènes par acte varie. L’action (l’intrigue) est issue de l’histoire ou de la légende ; les personnages sont généralement illustres et sont tourmentés par de fortes passions. La tragédie classique avait ses règles, dont la fameuse règle des trois unités (unité d’action, unité de temps, unité de lieu) : « […] Qu’en un lieu, qu’en un jour, un seul fait accompli
   Tienne jusqu’à la fin le théâtre rempli. […] » Boileau, L’Art poétique, chant III. Les règles de la bienséance devaient être aussi

du Vème siècle avant  J­C lors des dionysies,  grandes  fêtes  organisées  en  l’honneur  du  dieu  Dionysos.  Les  dionysies  avaient  lieu  deux  fois  par  an  durant  trois  jours  pendant  lesquelles  on  pouvait  assister  à  des  concours  de  théâtre:  un  auteur  sélectionné  longtemps  à  l’avance  faisait  représenté  à  la  suite  trois  tragédies.  Il  s’agit  des  seuls  moments  ou  le  peuple  peut assister à des représentations théâtrales. Ces  fêtes avaient  pour  origines  le  tyran  Pisistrate 

la découverte d'une lettre dans les vêtements. Il se borna à resserrer le cadre historique, pour accroître I'intensité dramatique et le prestige poétique, selon une pratique habituelle et littérairement légitime. Il retarda le meurtre de Bajazet de trois ans, afin de le rapprocher du nom évocateur de «Babylone», qui remplaça Bagdad ; Orcan disparut ; son nom fut attribué à un autre personnage, et son héroïque résistance à Bajazet. Parmi les «circonstances» qu’il changea, Racine fit de Roxane la concubine

toute sagesse pragmatique ou de spéculation théologique). La Comédie de Mont-de-Marsan (1548): met aux prises la Mondaine (n’aime que son corps) et la Superstitieuse (n’aime que son âme), elles se rendent à l’enseignement de la Sage. Toutes trois rencontrent la Ravie (attitude religieuse purement affective). p 390 2. La Comédie, « miroir de la vie ». Pierre de Larivey. Ses comédies sont « traduites » d’originaux italiens : transposition systématique de l’univers

Lecture de Phèdre LES SILENCES DE PHÈDRE Dès le début Phèdre se sait coupable, et ce n'est pas sa culpabilité qui fait problème, c'est son silence : c'est là qu'est sa liberté. Phèdre dénoue ce silence trois fois : devant Oenone (I, 3), devant Hippolyte (II, 5), devant Thésée (V, 7). Ces trois ruptures ont une gravité croissante ; de l'une à l'autre, Phèdre approche d'un état toujours plus pur de la parole. La première confession est encore narcissique. Oenone n'est qu'un double maternel de Phèdre

et mettent en situation les grandes interrogations humaines : la liberté, les conflits entre la conscience et les lois humaines, le sens de la vie, mais aussi la tentation d’égaler les dieux et les châtiments qui en découlent. On peut citer, comme trois grands auteurs grecs de tragédies : Eschyle, Sophocle et Euripide. 2) Bref historiqueLa tragédie commence à se développer, en France, au xvie siècle avec la redécouverte des auteurs antiques. C’est au départ un art

château de Versailles. [pic] Le château de Vaux-le-Vicomte, situé sur le territoire de la commune française de Maincy à 50km au Sud Est de Paris près de Melun, est un chef d’œuvre classique du XVIIe siècle. Il associe le génie de trois artistes de grand talent, réunis par Nicolas Fouquet : l’architecte Louis Le Vau, le décorateur Charles Le Brun et le paysagiste André Le Nôtre. Sa construction a demandé cinq ans et a mobilisé 17 000 hommes. Il est érigé sur une terrasse entourée

de flûte et de cithare, toutes ces espèces sont, en général, des imitations. Mais, dans ces imitations, il y a trois différences : les moyens avec lesquels on imite, l'objet qu'on imite, et la manière dont on imite. »chapitre 1 Dans sa la Poétique, Aristote distingue deux types de mimèsis : la simple imitation de la nature et la stylisation de celle-ci. Aristote propose également trois façons d'imiter : comme les choses sont, comme on les dit et comme elles devraient être. L'imitation est à la base