Les Usines De Verhaeren

Intro:Intro: Aujourd'hui les zones urbaines, usines, autoroutes,aéroports et tours sont très nombreuses et font parties de la vie quotidienne. Dans un 1er temps nous verrons pourquoi cela peut défigurer le paysage et dans un deuxième temps que ces lieux peuvent avoir un certain charme. (1ere partie: Défiguration du paysage) Ces constructions défigurent le paysage comme à Marseille où de nombreuses zones urbaines, usines, autoroutes et autres créations humaines occupent le paysage.

modernes vont pouvoir à présent évoquer la vie quotidienne et prosaïque. On peut évoquer ici la « poésie au ras du sol » de Max Jacob qui convoque des situations de tous les jours avec un langage délibérément très familier. + Exemple d’Emile Verhaeren : « Les usines ». 3) La poésie ne sert plus à chanter des sentiments hauts mais à épouser les tourments du quotidien. Le poète n’est plus un être à part, qui condescend à se pencher sur le malheur de ses contemporains. C’est désormais un homme terre

Banville « chef sanglant de Jean-Baptiste » Tableaux parisiens – « A une mendiante rousse », « Les aveugles », « A une passante » → ville bruyante/oppressante « La ville autour de moi hurlait » Les Usines - Verhaeren, Apollinaire AUTRES :Charles Baudelaire → poète maudit comme Rimbaud, Verlaine, Lautréamont ↓Se droguait + fumait + buvait - L’Opium, l’Absinthe Ref à un idéal = « Invitation au voyage », « parfum

------------------------------------------------- « Les usines » ------------------------------------------------- ------------------------------------------------- Emile Verharen, Les Villes tentaculaires, 1895 ------------------------------------------------- Introduction : Genre : poésie en vers libres Contexte : révolution industrielle Origines : belges Mouvement lit. : au départ réaliste puis symboliste Symbolisme = réaction au réalisme et au parnasse (la forme) Pour

urbain est constitué d’éléments industriels. 2. Les éléments industriels •Le champ lexical des constructions industrielles (au pluriel) : le titre du poème, « les usines » ; la répétition de « usines et fabriques » (v.7 et 17), •Nombreux éléments extérieurs (au pluriel) : le titre du poème, « les usines » ; la répétition de « usines et fabriques » (v.7 et 17), •Les nombreux éléments extérieurs (au pluriel) : « fenêtre (v.1) ; murs (v.9) ; toits (v.11) ; fers, paratonnerres (v.12) ; cheminées

des pays come l’Allemagne, l’Italie, l’URSS. Ionesco utilise un animal peu commun, n’ayant pas de ressemblance avec l’homme, violent et puissant pour dénoncer ces idéologies qui transforment les hommes en monstre méconnaissables. Dans Les Usines (1895), Verhaeren propose une vision différente de la déshumanisation en créant une animalisation des machines comme dans Mélancholia de Victor Hugo, c’est ici un autre exemple de la déshumanisation par le travail. Pareillement, le film Metropolis de Frizt

elle est aussi le témoin de la modernité puisqu’elle offre le défile de parisiens du XXème siècle : « Les directeurs les ouvriers et les belles sténodactylographes ». Emile Verhaeren, dans le recueil Les Villes Tentaculaire consacre un recueil au paysage industriel, notamment dans «  les Usines  ». C’est aussi le travail sur le vers. Léopold Senghor choisit quant à lui un vers très long qui s’apparente au verset et l’absence de rimes

Corrigé de dissertation Sujet : « On ne peut transporter partout avec soi le cadavre de son père […] Mais nos pieds ne se détachent qu’en vain du sol qui contient les morts. » Cette réflexion d’Apollinaire vous permet-elle de définir la modernité poétique ? Vous développerez votre argumentation en vous appuyant sur l'œuvre, les textes étudiés, ainsi que vos connaissances personnelles. INTRODUCTION [Accroche] Apollinaire est très souvent présenté comme un poète moderne rompant avec les différentes

nous fait part de ses opinons politiques, il défend le peuple, le peuple qui a faim. Puis la poésie peut avoir des thèmes qui ne semblent pas poétiques. En effet on retrouve en 1895, chez le poète belge Emile Verhaeren, le thème de la laideur des villes modernes dans son poème Les Usines, écrit pendant l’avènement des temps modernes. Ensuite, en 1857, Charles Baudelaire écrit L’albatros où il décrit la condition des poètes qui sont incompris. Puis il écrit Les Petites Vieilles dans lequel il décrit

vers le château. J'estimerais beau D'être ces vieillards. Le château, tout blanc Avec, à son flanc, Le soleil couché. Les champs à l'entour... Oh ! que notre amour N'est-il là niché ! Le beau jardin fleuri de flammes, Emile verhaeren (1891) Le beau jardin fleuri de flammes Qui nous semblait le double ou le miroir Du jardin clair que nous portions dans l'âme Se cristallise en gel et or, ce soir.  Un grand silence blanc est descendu s'asseoir Là-bas, aux horizons de marbre