Les Utopies Architecturales

20ème. A. Notion de post-modernité ------------------------------------------------- Histoire du mot : T1 : 1970- USA : apparition du post-modernisme qui désigne un courant architectural ou urbanistique qui s’oppose au courant architectural ou urbanistique de l’après guerre, le courant architectural moderniste, fonctionnaliste ou uniformiste international. Courant qui valorise la rationalité et l’utilité. Le grand architecte français de ce courant Le Corbusier (=barre de béton, bâtiments

apparaitre la cible comme quelque chose d’autre) La réplique (faux char en carton …) Toutes les techniques réunies. Les matériaux de camouflage organique ou non Mercredi 24 septembre Camouflage / Immatériel & Disparition L’une des utopies issues de l’architecture du mouvement moderne était la transparence totale, la fluidité maximum des espaces par l’utilisation du verre en particulier. Un phantasme d’architecture de légèreté, qui aurait perdu ce qui la définit fondamentalement :

traduction de « Vecchie città ed edilizia nuova » est publié en 1931, durant « l’e t e-deux guerres ». Sa réédition en 1998 comporte une introduction rédigée par François Choay (historienne des théories et des formes urbaines et architecturales, auteure de « L’u a is e, utopies et réalités »), présentant le livre comme un véritable tournant à la fois dans la carrière et dans la pensée de GIovannoni, et omme la synthèse de tous sa travaux antérieurs. Le contexte d’ap s- guerre dans lequel se trouve

plus célèbre sonnet sur ce thème est bien sûr le sonnet 31 : « Heureux qui comme Ulysse ». Rome, c’est certes l’urbs, la capitale de l’antiquité admirée des humanistes. Mais Du Bellay met en relief l’art et l’artifice qui cachent mal les ruines architecturales et morales. Opposition donc au locus amoenus de l’Anjou. Lire le sonnet Enfin, exaltation de l’être sur le paraître, que l’on entend déjà dans le sonnet 31 : préférence est donnée à l’authentique, à la pauvreté matérielle mais au profit d’une

les plus fructueuses s'annoncent pour lui. Nombreux sont ceux qui ont considéré la Fallingwater house comme l'un des exemples les plus représentatifs de l'architecture organique où l'homme et la nature sont étroitement liés. Dans cette œuvre architecturale, Franck Lloyd Wright a été précurseur en utilisant le liège comme revêtement décoratif et technique pour le sol et le mur. Dans les pièces d'eau de la chambre du propriétaire, comme dans celles des invités, le liège parcourt le sol et les murs

grecs à se réfugier en Occident. 1453, signifie par cet exode des intellectuels grecs, la ( re) découverte par l’Europe, de la culture classique, dans l’oubli pendant le Moyen Age. Cette renaissance des règles de beauté d’harmonie et du génie architecturale classiques allait de pair avec l’étude critique des textes hérités de l’Antiquité, avec un retour à une conception de l (Homme confiant dans ses capacités de transformer le monde et de maitrise La Renaissance qui a concerné tous les domaines

cosmographicae méditations » est son œuvre majeur. C’est la première fois que le terme « Atlas » est utilisé pour définir un recueil. Mercator à régulièrement peaufiné son recueil dans sa totalité. 2) Les évolutions scientifiques et techniques et architecturales. Au XVIème siècle Nicolas Copernic (1473-1543) rédige un ouvrage où il expose sa théorie selon laquelle le Soleil se trouve au centre de l’espace. Il se base sur les écrits des Anciens, dont Hipparque et pense qu’un astre aussi brillant ne

amené à réfléchir à de nouveaux moyens permettant de transformer ces lieux en pôles économiques attractifs pour le secteur tertiaire et pour le monde culturel, désormais indispensables à un bon développement de la ville. En effet, les projets architecturaux et urbains de grande ampleur et porteurs d'une image moderne de la ville, permettent aux friches urbaines, de dimensions très variées, de retrouver une nouvelle vie au cœur de la ville. Ainsi, la friche urbaine est désormais vue comme une ressource

(point de vue culturel, politique, économique …) tous simultanés. La ville est la substance de notre culture européenne. La notion qui apparait dans les années 70 est que la complexité de la ville constitue le point de départ de tout projet architectural/urbain. I. Modernité, ville et architecture. Introduction historique à la problématique 1. la révolution industrielle : des nouveaux défis pour la ville XIXème siècle : invention de la fonte et de la machine à vapeur -> réflexions utopistes

page 9 / fiche 2 / L’architecture inspirée de la nature page 13 / fiche 3 / Créativité page 18 / fiche 4 / Mobilité : bougeons plus léger, plus propre, plus sûr, autrement page 25 / fiche 5 / Biomimétisme, c’est quoi ce truc ? page 37 / fiche 6 / Utopie et architecture page 40 / fiche 7 / Évolution d’une rue de 1850 à 2150 page 48 / fiche 8 / Villes du futur aux 15e, 20e et 21e siècles page 52 / fiche 9 / Luc Schuiten, portrait multiple page 58 / Petit lexique subjectif visuel COLOPHON / coordination