Les Valeurs Héroïques

traditionnelle du héros, ,ce qui est  d’autant plus frappant que l'ensemble du récit est à la première personne. Meursault ne se voit attribuer aucuns caractéristiqyes du personnnage héroique. Il mène une vie tout à fait ordinaire et n'accomplit aucun exploit. Au contraire, il commet un meurtre, ce qui est loin d'etre un acte héroique. Peu d'informations sont donnés sur le personnage, il n'a même pas de prenom, aucune description physique n'est faite de lui et on connait très peu son passé. C'est un personnage

l’affrontement avec Adraste ce qui met en doute sa valeur guerrière et son amour. Il se présente comme un héros mais l’invraisemblance des exploits qu’il s’attribue le tourne en ridicule/comique. C’est un personnage héroï-comique issu de la comedia dell’arte. Tout en contant ses exploits, il ne peut affronter son rival. Est-on dans l’illusion ? Matamore Il incarne le rôle du miles gloriusus. Les termes de «  vertus…juste fureur…valeur… perfections » renvoient à l’image d’un héros tragique

belligérants de la première guerre mondiale, montrant dans son triptyque Guerre leur malheur. Ainsi l’antihéros peut être un personnage ordinaire qui n'accomplit aucun acte héroïque, il peut être porteur de valeurs négatives , antihéroïques et, en général, antisociales. L’antihéros peut aussi être déceptif : il possède des qualités héroïques mais les met au service du mal, il se retrouve dans un cadre où ses qualités ne sont plus admises. Et enfin, on peut parler de héros décalé, un personnage ordinaire

nommé Ulrich est comme l'indique le titre du roman, un homme sans qualités, dépourvu de repères. Ce héros est donc un être humain comme les autres, présentant des faiblesses. Meursault non plus ne répond guère aux caractéristiques du personnage héroïque. S’il a un nom, il n’a pas de prénom, nous savons très peu de choses sur lui, sa profession est à peine évoquée, son passé seulement par l’intermédiaire de la mort de sa mère. Il a peu de caractère, n’est déterminé par rien à part la pulsion de l’instant

est choqué et le pousse à se manifester. ==> Par le regard de Candide on a une vision naïve et optimiste. Candide fuit la guerre, V se moque de la lâcheté des intellectuels mais justifiée car il désapprouve la guerre. « une boucherie héroïque » héroïque : aux yeux de la société les soldats passent pour des héros mais en réalité la guerre est une boucherie. Ce mot annonce le 2nd paragraphe qui est une énumération des désastres de la guerre. II- La réalité horrible de la guerre « Te Deum

produite par le drame sur le public, et qui signalent dans le même temps la présence d'une autre tonalité, volontiers qualifiée de lyrique, poétique ou galante. A ces remarques s'en ajoutent évidemment d'innombrables autres, qui situent les attitudes héroïques tout autant dans la salle que sur la scène, que ce soit pour moquer « les chevaliers Hernaniens [...] [dont la] victoire n'a pas été moins glorieuse que celle de Don Quichotte » ou pour louer le courage de Hugo, dont le « drame va [...] opérer la

longue scène d’exposition, la scène 2 présente Jason seul en scène. La question se pose, après une scène d’exposition qui dévoile un Jason suffisant, de sa capacité à incarner des valeurs héroïque. Le débat intérieur de ce court monologue devrait permettre de donner à Jason ce statut héroïque, avec une construction révélatrice et les termes de l’alternative. 1. Construction révélatrice On peut noter la brièveté du monologue (16 vers), l’absence

travers un langage nouveau où l'argot déborde du dialogue réaliste pr s'integrer au récit afin d'exprimer un langage "de la haine". Prblmatique : Comment le roman critique, alors qu'il est héritier de l'épopée, dénonce-t-il la violence du mensonge héroïque à travers la fic°? Ds un 1er tps, ns étudierons l'évolut° d'un engagement déclencheur vers un progressif des enchantements pr ensuite dégager la violence satirique qui s'exprime contre le mensonge de l'héroïsme guerrier A_ Un engagement déclencheur

met en valeur la fameuse description des deux armées. Candide va assister à la grande bataille entre le roi de France et le roi de Prusse, travestis respectivement en roi des Abares et roi des Bulgares. Alors que ce texte apparaît comme un éloge de l’armée et du combat, l’ironie et le réalisme en font un violent réquisitoire contre la guerre. I. Un discours apparemment favorable à la guerre. • Un registre épique au service de l’éloge. - Occurrences en relation avec le héros : « héroïque « (l. 11)

observer que les deux auteurs cherchent à intégrer le sentiment héroïque dans leur récit. C’est l’étude en profondeur des effets de la présence de ce sentiment noble dans les actions et pensées des personnages qui nous permettra de comparer la vraie valeur que chacun des auteurs attribue à l’héroïsme. Nous serons alors capables de porter un jugement sur lequel des deux extraits renferment une plus grande présence du sentiment héroïque. Abordons tout d’abord le récit de Beaugrand, qui par son