Les Valeurs Héroïques

 voici un texte  d’Alexis de Tocqueville :  “S’il vous semble utile de détourner l’activité intellectuelle et morale de l’homme sur les nécessités   de la vie matérielle, et de l’employer à produire le bien­être; (…); si votre objet n’est point de créer   des   vertus   héroïques,   mais   des   habitudes   paisibles;   (…);   si,   enfin,   l’objet   principal   du   gouvernement  n’est point, suivant vous, de donner au corps entier de la nation le plus de force ou  le plus de gloire possible, mais de procurer à chacun des individus qui le composent le plus de bien­

« Mon Dieu ! », ✓ les répétitions l.6 « Tuer une femme, tuer une femme ! », ✓ les démonstratifs l.4 « ce mal abominable », l.5 « cette fille », l.6 « cela sonnait… », l.18 « cette Flore », « cette enfant sauvage » ✓ l.4 « donc » à valeur affective ✓ les éléments qui soulignent les étapes de l’énonciation : l.10 « car », l.23 « pourtant »… 3. la ponctuation et la syntaxe du langage parlé ✓ phrases interrogatives : l.4-5, l.24-25 ✓ phrases exclamatives : l

présent aussi dans cet extrait nʼest là que pour mieux souligner lʼutopie qui porte nos personnages et leur confère un statut de héros. III. Le thème de la mort met en valeur lʼutopie qui soude et porte la famille. 1. Lʼémotion que suscite le texte vient moins des personnages que du cheval et de sa mort - le cheval est mis en valeur, en fin dʼincipit (au sens étroit du terme, à la fin de la première phrase du texte)1, désigné par le déictique et non lʼarticle indéfini - sa fonction, son « travail

qu'est la prison).Ce commentaire est axé sur : l’ascension du Julien Sorel (physique et psychologique) d’un côté et sur sa domination psychologique de l’autre.I. L’élévation physique, associée aux idées de solitude héroïque et de mépris des richesa) L’isolementL’idée de solitude héroïque se concrétise surtout dans le syntagme « séparé de tous les hommes

992 : humanité / générosité : Satan n'a pas ces caractéristiques là (« pour l'amour ») l.992-994 : D.J. est héroïque : il va secourir quelqu'un pour lui sauver la vie. Il utilise le vocabulaire de la justice : « inégale », « souffrir », « lâcheté » (l.994) → il se présente en justicier. Il dit « je ne dois pas » : c'est un devoir, une obligation morale. D.J. a donc des valeurs. On est déstabilisé à la fin de la pièce, on ne sait pas trop s'il est Bon ou Mauvais. Molière joue sur 2

nous. Ce que disent les parents, les amis, la façon dont ils agissent ont une influence sur l’enfant. La relation avec les autres est indispensable pour se forger son caractère. Notre environnement nourrit notre estime, ce sentiment d’avoir de la valeur ou non. Il faut s’accepter, s’apprécier tels que nous sommes. Quelqu’un qui possède de l’estime pour lui, dans une certaine mesure, est une personne qui croit en elle et est convaincue qu’elle peut être appréciée et acceptée des autres. Cette certitude

le fait de la jeunesse, laquelle s'y adonne avec d'autant plus d'ardeur qu'elle n'est pas consciente du temps qui passe puisqu'elle croit en avoir beaucoup en réserve. Le vieillard pour qui l'avenir se rétrécit comme une peau de chagrin connaît la valeur du temps présent et l'alternance des biens et des maux. « L’expérience m’a encore appris ceci, que nous nous perdons d’impatience. Les maux ont leur vie et leurs bornes, leur maladie et leur santé ». Au vieillard et à lui seul il est donné de vivre

homme. Son admiration est visible par les quatre adjectifs mélioratifs ligne 1, mis en relief par la répétition à quatre reprises de l'adverbe d'intensification « si ». De plus, la structure syntaxique introductive «Rien n'était [.. .] que» a la valeur d'un superlatif. Pour Candide, il s'agit donc du plus beau spectacle au monde. A cette beauté visuelle s'ajoute une beauté auditive': l'accord des quatre instruments de musique forme une« harmonie» 1.3. . la violence apparaît tout de même par l'évocation

(déchirement entre deux exigences contradictoires) et son choix ne fait que précipiter l’issue fatale. La tragédie se termine par la victoire du destin. Les principaux auteurs sont corneille (1606-1684) et Racine (1639-1699), le premier soulignant les valeurs héroïques de ses personnages tandis que le second accentue l’emprise du destin. C) le prestige de la tragédie : Les tragédies de Corneille et de Racine sont toujours jouées et vénérées car elles représentent le genre prestigieux par excellence

précédemment, est héroïque mais des héros nous en avons des tas, nos cimetières sont dans ce cas remplis de héros ! Peut-être qu'en réalité la folie est l'apogée de l'héroïsme. Parmi les milliers de héros que cette terre aura porté les seuls dont nous nous souviendrons seront ceux qui auront eu l'audace, le brin de folie nécessaire pour oser s’exprimer. Une sage folie... Par ailleurs le penseur qui gardera le silence n'aura le mérite d'être un éventuel héros que pour lui seul ! Héroïque certes, mais