Les Valeurs Universelles Du Bien Et Du Mal

Jacinthe Côté Texte argumentatif final La question à débattre : Existe-t-il des principes moraux universels Présenté à M. Nikola Tonich Philosophie et rationalité 340-103-04 Groupe : 108 Cegep de Saint-Jean-sur-Richelieu Le 10 décembre 2009 En 2009, nous vivons dans un monde où les valeurs varient d’un individu et d’une culture à l’autre. Par exemple la polygamie est valorisée dans une culture et dans une autre tout à fait inacceptable. De plus aujourd’hui l’individualisme et

cette ville, dans cette meute…parmi tous ces visages, toutes ces voix qui m’assaillent, qui me dictent le Bien et le Mal… oh, je voudrais plutôt être aveugle… » Honoré de Balzac confie ainsi la détresse de ses derniers jours, dans une lettre adressée à un ami. Gagné par le délire, il désigne clairement son rapport avec la société comme « dictateur » du Bien et du Mal et plus généralement des Valeurs. Balzac rejoint ici le constat opéré par Durkheim : « quand notre conscience morale parle, c’est la société

jugement subjectif (donner son avis, son point de vue) jugement objectif : juger de manière vraie, objective, universelle (valable pour tous, même ceux qui n’y croient pas). … jugement de valeur (juger que c’est bien / mal, beau / laid, etc.) jugement de fait : juger la réalité telle qu’elle est. Quel sens retenir ? … Plutôt le sens de jugement objectif … il s’agit explicitement du juger une valeur : supérieur / inférieur. -peut-on juger ? On retiendra finalement les deux formules équivalentes : … a-t-on

première partie , que le bien ne serais que une question d'opinions et de points de vue, et que la relativité des opinions prédomine. puis dans la deuxième partie nous verrons , ce que la relativité de nos opinions peuvent entrainer et les limites du relativisme moral. Finallement dans la troisième partie nous verrons , qu'il existerais potenciellement une règle de l'opinion qui puisse faire la différence entre bien et mal de façon universelles. Comme nous le savons le bien est relatif aux opinions

l’éthique : le nouvel horizon des relations entre les générations (page 37) : « Nous entendrons par morale, comme il est parfois convenu de le faire, un héritage normatif déontologique, basé notamment sur le caractère d’obligation de la norme, jugée universelle, s’imposant à nous de l’extérieur ». La logique est différente, car ici la connotation est matérielle, pratique, et possède donc un caractère obligatoire, marqué par la norme. La morale régie le comportement d’une société, par un ensemble de règles

Faut-il faire son devoir ? Le devoir est l’acte moral par excellence, l’acte d’une volonté déterminée par la seule idée du bien et de la loi, c’est une obligation morale. L'obligation implique donc la volonté et la liberté de choix, en ce sens chaque sujet peut décider ou non de refuser de se soumettre à ses devoirs. Mais toute obligation n'est pas forcement devoir. Le vrai devoir ne rapporte donc rien et est indépendant de tout contexte

conscience suivant sa définition est conforme au Bien. Avoir bonne conscience, avoir la conscience tranquille, c'est avoir une conscience morale. Celle-ci est une voix parlant en nous qui nous permet de distinguer le bien du mal pour juger de notre conduite et de celle des autres. De même, la moralité est le souci de quelqu'un, d'un groupe de conformer sa conduite à un ensemble de valeurs éthiques relatives aux règles de conduite, de devoirs, de valeurs qui se manifestent à travers la conduite de l'homme

règles d’action et de valeurs qui fonctionnent comme normes dans une société ; la société c’est la collectivité organisée d’humains occupant un territoire donné, réunis par l’échange et la coopération, régis par des institutions propres, partageant une culture commune et fonctionnant comme une entité sociale distincte. La conscience morale est une voix qui parle à l’ « intérieur » de nous et permet de distinguer le bien du mal, d’en fournir des normes, de mesurer la valeur des actions et de juger

LE BIEN et LE MAL … OU ENCORE LE VICE et la VERTU ET PAR COROLLAIRE LA LOI MORALE Ce thème du Bien et du Mal remonte à l’origine de la création et pour l’illustrer j’ai pensé intéressant de vous citer, ci-dessous quelques extraits de la Genèse : Genèse 2.16 L'Éternel Dieu donna cet ordre à l'homme: Tu pourras manger de tous les arbres du jardin; mais tu ne mangeras pas de l'arbre de la connaissance du bien et du mal, car le jour où tu en mangeras, tu mourras. Plus

Mœurs Tome I Termes : Architectonique : structure  Positivisme juridique : rejeter l’importance d’un droit naturel et affirmer que seul le droit positif (lois, jurisprudence…) a une valeur juridique. La loi serait donc la seule norme à respecter.  Jusnaturalisme : doctrine qui défend la notion de droit naturel. Selon le jusnaturalisme il y a des normes naturelles aux individus et ces normes