Les Variables Explicatives De La Formation De L épargne

objectif à leurs Etats membres par la CNUCED et la Banque mondiale ; il est théoriquement inspiré par la volonté de concilier l’amélioration du bien être des générations présentes avec la sauvegarde de l’environnement pour les générations futures. Formation brute de capital fixe (FBCF) : valeur des biens durables acquis par les unités résidentes pour être utilisées pendant au moins un an dans le processus de production. Elle correspond approximativement à l'investissement national sans L’investissement

l'entreprise. Les liaisons établies par HOWARD ET SHETH montrent clairement le rôle tenu par la satisfaction sur les modifications éventuelles de l'attitude à l'égard de la marque et de la confiance que lui porte l'acheteur, à leur tour ces deux variables agissent sur l’intention d'achat, laquelle préfigure la décision finale (d'où surgit à nouveau la satisfaction...) • OLIVER s'inspire de ce modèle pour aboutir à la relation : Intention t+1=f(intention t, Satisfaction t, Attitude t+1) • LABARBERA

évoqué. Le capital physique y était le seul facteur rare et les prix n'y jouaient aucun rôle. En outre, le modèle était doublement opérationnel. Moyennant des hypothèses sur la valeur numérique de deux paramètres macroéconomiques, la propension à épargner et le coefficient de capital, ainsi qu'une hypothèse sur le volume disponible de fonds extérieurs, il était possible de projeter le taux de croissance du PIB. Alternativement, si ce taux était fixé comme objectif, on obtenait une estimation des besoins

........................................................................................................................ 12 3) L’INFLUENCE PSYCHOLOGIQUE ET CULTURELLE ................................................................. 13 A. LES VARIABLES PSYCHOLOGIQUES ........................................................................................ 13 B. LES DIFFERENTES FORMES D’EPARGNE .................................................................................... 16 CHAPITRE 2 :ANALYSE

Depuis des années, il a guidé de près nos travaux avec rigueur et patience. Ses conseils judicieux, critiques constructifs et discutions fructueuses ont été pour nous d’un intérêt précieux. Ses qualités humaines et scientifiques ont enrichi notre formation et nous ont permis de mener à bien ce travail. Nos remerciements vont également aux membres du jury, les Professeurs Khalid LOUIZI de la FSJES de Settat, Taoufiq DAGHRI de la FSJES de Salé et Mustapha AMRI de l’ENCG d’Agadir, qui nous ont honorés

REMERCIEMENTS 2 Introduction générale 4 Chapitre 1 : L’évaluation de l’efficacité de l’e-learning 7 Section 1: L’e-learning: Définition du concept 7 Section 2 : L’évaluation de l’acquisition des compétences 10 Section 3 : L’expérience de l’ONP en matière de formation électronique 14 Chapitre 2: Discussion des résultats 20 Section 1 : L’élaboration du questionnaire 20 Section 2. Analyses de validité et de fiabilité des construits. 26 Section 3 : Test du modèle théorique et vérification des hypothèses. 29 Section

. Les fonctions de consommation (ou d’épargne). Ce sont deux réalités complémentaires sur le revenu disponible, ce que les consommateurs ne consomment pas est épargner, les fonctions ont la double signification. 1§ : La fonction de consommation de la théorie générale de Keynes. Keynes est partit d’un modèle existant mais dans le domaine de la microéconomie c’est la fonction de demande de Cournot proposé en 1838. Cournot propose une formulation simple qui consiste à admettre

pétrolier ) l’énergie rejoint petit à petit les facteurs de production . Depuis une dizaine d’année l’environnement rejoint presque les facteurs de production . Un facteur de production est un contributeur obligé, l’apporteur indispensable à la formation de la production , la particularité d’un facteur de production est qu’il est rare , c’est à dire qu’il a un prix , il est d’autant plus chère qu’il est rare . Quand une matière première commence à faire défaut (choc pétrolier) , il devient rare

fiscale définit l'importance relative des prélèvements obligatoires dans l'économie nationale.  Elle est une grandeur macroéconomique, dans la mesure où elle est en relation avec la « Croissance économique », à travers la mobilisation de nombreuses variables économiques comme la consommation, l’investissement, l’épargne, le déficit public, et la dette publique …etc. Dont le taux est défini par rapport au PIB (produit intérieur brut) et traduit l'effort de recouvrement des recettes de l'Etat pour faire


un
débouché
à
d’autres
producteurs.
==
Y
=R
=
C,
les
produits
s’échangent
 contre
d’autres
produits,
la
monnaie
n’est
qu’un
intermédiaire
des
échanges
==
 théorie
 quantitative
 de
 la
 monnaie
:
 la
 monnaie
 n’a
 aucune
 influence
 sur
 la
 fixation
des
quantités
ou
des
variables
réelles
==
MV=PY.
 • Homogénéité
 du
 produit
:
 pas
 de
 différenciation
 des
 produits
 en
 fonction
 de
 leur
caractéristiques
intrinsèques.
 • Libre
entrée
sur
le
marché
:
les
agents,
en
fonction
des
opportunités,
peuvent
 librement
 entrer